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Le sextoy connecté, pas «politiquement correct»
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Galvanisée par son passage au CES 2016, où elle a fait une razzia sur les cartes de visite, l'entreprise brestoise E Sensory accuse le coup une fois de retour en France. Créatrice du sextoy connecté le « B Sensory », Christel Le Coq a appris que son dossier ne serait pas retenu pour recevoir un coup de pouce de Force 29, le fonds du Finistère du Crédit Agricole doté de 10 millions d'euros. «C'est problématique pour une banque d'associer son image à un sextoy. Ce n'est pas éthique ou politiquement correct selon eux», commente à Frenchweb la société qui comptait faire participer la banque à son tour de table. Elle visait aussi des prêts à taux zéro mis en place par la région. Face à cette réticence, E Sensory cherche à se diversifier dans le secteur textile, de type T-shirt pour «chauffer, refroidir, ou recevoir une balle à la lecture d'un thriller…». Raison business pour justifier le refus, ou un problème d'image comme l'avance la société? La banque régionale n'a pas souhaité commenter le dossier.
D'autres interlocuteurs ont néamoins été convaincus par l'objet connecté. La société est soutenue à hauteur de 75 000 euros par la BPI, et par le Conseil régional de Bretagne et la Brest Tech Plus. Christel Le Coq veut «rester positive» .
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image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/01/esensory2.png
Crédit photo: Nicolas Catard.
Revoir l'interview de B-Sensory par Frenchweb en mars 2015 :
- Le confidentiel:
Le sextoy connecté, pas «politiquement correct»
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Galvanisée par son passage au CES 2016, où elle a fait une razzia sur les cartes de visite, l'entreprise brestoise E Sensory accuse le coup une fois de retour en France. Créatrice du sextoy connecté le « B Sensory », Christel Le Coq a appris que son dossier ne serait pas retenu pour recevoir un coup de pouce de Force 29, le fonds du Finistère du Crédit Agricole doté de 10 millions d'euros. «C'est problématique pour une banque d'associer son image à un sextoy. Ce n'est pas éthique ou politiquement correct selon eux», commente à Frenchweb la société qui comptait faire participer la banque à son tour de table. Elle visait aussi des prêts à taux zéro mis en place par la région. Face à cette réticence, E Sensory cherche à se diversifier dans le secteur textile, de type T-shirt pour «chauffer, refroidir, ou recevoir une balle à la lecture d'un thriller…». Raison business pour justifier le refus, ou un problème d'image comme l'avance la société? La banque régionale n'a pas souhaité commenter le dossier.
D'autres interlocuteurs ont néamoins été convaincus par l'objet connecté. La société est soutenue à hauteur de 75 000 euros par la BPI, et par le Conseil régional de Bretagne et la Brest Tech Plus. Christel Le Coq veut «rester positive» .
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Crédit photo: Nicolas Catard.
Revoir l'interview de B-Sensory par Frenchweb en mars 2015 :
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