Aujourd'hui, Happybreak compte 150 hôtels partenaires en France, essentiellement des trois et quatre étoiles.
Absence de commission
L'e-tourisme. Un secteur qu'Arnaud Lecherf connaît bien. Avant de se lancer dans l' entrepreneuriat, il a travaillé chez voyages-sncf et Smartbox, où il a été directeur associé. Mais contrairement au célèbre coffret cadeau, ici les hôtels partenaires ne doivent pas payer de commission sur les réservations réalisées via le site internet. "Nous leur demandons déjà un effort commercial de 50 %", justifie Arnaud Lecherf. Le chiffre d'affaires provient pour l'instant uniquement de la vente des cartes.Au niveau de la clientèle, la startup se tourne vers les retraités, au pouvoir d'achat plus élevé. "Quand j'ai pensé au concept, j'avais en tête des clients seniors, entre 55 et 75 ans", détaille-t-il. Cependant, si cette catégorie reste majoritaire, le concept semble également séduire les plus jeunes, eux aussi flexibles.
Développer l'offre
Avec 10 000 membres, Happybreak est loin d'avoir atteint son rythme de croisière. D'autant plus que "le printemps est une période importante" qui offre des perspectives de développement. Une levée de fonds est en cours. Elle devrait permettre d'accélérer la croissance de la startup, grâce à l'embauche de "trois à quatre CDD qui seront chargés de démarcher les hôteliers." Objectif : augmenter l'offre et atteindre les 250 établissements à la fin de l'année et, de fait, séduire davantage de clients."Nous avons déjà commencé à démarcher en Suisse et en Belgique", indique Arnaud Lecherf. Et d'ici 2018, Happybreak compte également s'exporter en Espagne, Portugal et Italie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.