lundi 6 novembre 2017

L’Allemand N26 lancera sa banque mobile au Royaume-Uni en 2018 pour chasser sur les terres de Revolut#gerardpocquet


L’Allemand N26 lancera sa banque mobile au Royaume-Uni en 2018 pour chasser sur les terres de Revolut


N26, la banque mobile qui promet une ouverture de compte en 8 minutes depuis un smartphone, continue de gagner du terrain. Après avoir annoncé la semaine passée son lancement aux États-Unis l’an prochain, la néobanque a donné de nouveaux éléments sur son expansion internationale. N26 prévoit ainsi de lancer sa banque mobile au Royaume-Uni en 2018.
Forte d’une licence bancaire valide dans toute l’Europe, la banque mobile peut ainsi opérer outre-Manche sans être dans l’obligation d’obtenir une licence distincte en Grande-Bretagne. De cette manière, les clients britanniques pourront bénéficier d’un compte bancaire en livres Sterling, d’une carte Mastercard et d’une application mobile qui leur permettra d’effectuer toutes les opérations classiques d’une banque (visualisation du solde en temps réel, choix du code secret, virements, modification du plafond de dépenses, désactiver la carte bancaire et le paiement sans contact, transferts d’argent à l’international…) directement depuis leur smartphone. N26 prévoit également de lancer prochainement des fonctionnalités d’épargne, de crédit et d’investissement.

600 000 à 800 000 utilisateurs d’ici la fin de l’année

Dans la mesure où le Royaume-Uni dispose de son propre système de paiement, N26 n’a eu d’autre choix que de développer une intégration complète qui corresponde au dispositif britannique. Outre-Manche, la néobanque berlinoise devra faire face à une concurrence féroce, représentée notamment par Revolut, qui est en passe d’atteindre le million de clients en Europe, dont 600 000 clients actifs mensuels, Atom Bank, banque en ligne exclusivement dédiée aux 18-34 ans, Starling Bank, Monzo ou encore Tandem.
La FinTech allemande lancée en 2015 par Valentin Stalf et Maximilian Tayenthal a passé cet été le cap des 500 000 clients dans les 17 pays européens où elle est présente. Disponible en France depuis janvier 2017, la néobanque revendique 100 000 utilisateurs dans l’Hexagone. Elle vise 600 000 à 800 000 utilisateurs en Europe d’ici la fin de l’année, avant de franchir la barre du million l’an prochain.
REVOIR l’interview de Jérémie Rosselli, General Manager France de N26, réalisée par FrenchWeb en janvier 2017 :

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Maxence Fabrion

Journaliste chez Adsvark Media / FrenchWeb - We Love Entrepreneurs

Comment Microsoft veut vaincre le cancer#gerardpocquet

Capture et source: https://www.frenchweb.fr

Comment Microsoft veut vaincre le cancer


Les investissements pour développer la santé de demain se multiplient outre-Atlantique. Parmi les initiatives qui émergent pour améliorer le traitement des maladies, Microsoft a mis en place une unité de recherche dans ses laboratoires de «calcul biologique» à Cambridge, au Royaume-Uni. Ces derniers utilisent le machine learning et l’intelligence artificielle pour analyser des données biologiques complexes.
Une partie de la division de recherche de Microsoft est dédiée au cancer. Pour tenter de vaincre ce fléau, la firme de Redmond adopte une vision informatique à la biologie, rapporte le Digital Journal. Autrement dit, Microsoft observe et analyse des cellules vivantes, à l’image des mutations cancéreuses, comme s’il s’agissait d’ordinateurs. De cette manière, le concept de cette approche repose sur le fait que le cancer doit être considéré comme un «glitch» dans le système immunitaire. Ainsi, cela ouvre la voie à un remède qui pourrait reprogrammer le système pour éliminer le cancer.

Le cancer considéré comme un problème informatique 

Pour parvenir un jour à un tel succès, les laboratoires de Microsoft utilisent deux sous-systèmes pour entreprendre leurs recherches. Le premier domaine de recherche concerne la modélisation des processus de calcul qui se produisent dans une cellule vivante. Quant à la seconde, elle consiste à développer un outil, baptisé «Bio Model Analyzer», que les chercheurs pourront utiliser pour créer leurs propres modèles informatisés de systèmes biologiques. Au cours des essais, ce dispositif a permis d’illustrer des voies de signalisation cellulaire et de déterminer avec succès la stabilisation cellulaire. Ce système a notamment été repris par des entreprises pharmaceutiques, à l’image d’AstraZeneca, qui étudie les interactions médicamenteuses et les mécanismes de résistance à la leucémie myéloïde chronique.
Outre ses travaux à Cambridge, Microsoft a lancé cette année le programme «Healthcare NExT», qui vise à démocratiser l’usage de l’intelligence artificielle, du big data et du cloud dans la santé pour permettre des avancées dans la recherche médicale et améliorer la relation entre les patients et les médecins. Dans la même veine, Watson, le programme d’intelligence artificielle conçu par IBM, est utilisé dans le cadre du projet Moonshot 2020 de Joe Biden, vice-président des États-Unis pendant les deux mandats de Barack Obama à la Maison-Blanche, qui entend trouver un remède contre le cancer. Dans ce cadre, des recherches sont en cours en Chine et en Norvège.
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Maxence Fabrion https://www.frenchweb.fr

Journaliste chez Adsvark Media / FrenchWeb - We Love Entrepreneurs

Qui se beurre sur le beurre?#gerardpocquet

Capture d'écran et source: http://www.michel-edouard-leclerc.com
ÉCONOMIE Actus / Débats

Qui se beurre sur le beurre?

Franchement cette histoire de pénurie de beurre restera dans les annales.
Jusqu’ici, la spéculation sur les marchés de matières premières restait localisée aux marchés de matières brutes. En trente ans de métier, je ne me souviens pas qu’on ait manqué de produits de marque à cette échelle. Sauf dans le luxe, le cognac et aussi les grands crus bordelais, quand les marchés asiatiques les faisaient flamber au point de les les rendre absents des étals français.
Mais une rupture collective sur des marques de consommation courante, je ne me souviens pas.
Disons d’abord les faits : La pénurie réelle est relative. Les industriels laitiers avaient, en 2016 et au premier semestre 2017, freiné la collecte et poussé la production de fromage. Quand s’est présentée une demande export hyper rémunératrice, l’offre française a été délaissée.
Le système médiatique a provoqué le rush, accélérant les ruptures dans les rayons. C’est en train de se calmer, les livraisons reprennent, les prix seront évidemment plus chers !
Dans cette histoire, que de mensonges colportés et complaisamment relayés ! Il faut arrêter de "barrater" !
1. L’évolution des tarifs !
Contrairement à ce qui est dit ici ou là, je confirme bien que E.Leclerc a accepté les hausses de tarifs sur le beurre, et ce pour les marques nationales comme pour sa marque de distributeur. Je ne crois pas que la situation soit bien différente pour la plupart de nos concurrents (je ne suis pas dans le secret de leurs négociations commerciales...).
On a tous bien vu l’inflation venir, mais puisqu’on parle sans arrêt de référence aux coûts de production, leur évolution n’était pas telle qu’il fallait gober les hausses sans coup férir. Mais dès mars 2017, le processus de hausse était acté.
2. Un choix en opportunité économique
La demande mondiale de beurre s’en est allée crescendo, tandis que la production était à la baisse... Face à cette situation, nos industriels ont fait le choix de délaisser le marché domestique pour céder aux propositions plus rémunératrices des consommateurs chinois, américains et australiens.
Pourquoi pas, mais ils doivent l'assumer. Trop facile de se décharger sur les distributeurs !
Ah, que ne dirait-on d'une enseigne qui doublerait ses prix l'été sur la côte et réclamerait en même temps un alignement des prix à Orléans ou à La Souterraine sur ceux de Cannes ou de Deauville, plus rémunérateurs ? Pour sûr, voilà qui aurait enflammé les discours de notre Bazot national (UFC-Que Choisir) !
Le consommateur français doit-il payer plus cher parce que quelques excités à Pékin ou à Melbourne ont décidé d’acheter le beurre à n'importe quel prix ? C'est, reconnaissez-le, une vraie question.
On me répondra : "C'est la règle du jeu du marché". C'est vrai, mais alors, si on trouve cela normal, il faut stopper l'intox du "patriotisme économique" si, à la première occasion, on accepte que nos transformateurs vendent au plus offrant...
3. C'est mieux ailleurs ?
On me dit : "En Allemagne, le prix de vente du beurre a doublé en 6 mois alors qu'il n'est monté que de 30% en France". Certes. Mais en Allemagne, si les prix consommateurs grimpent vite quand les cours flambent, ils redescendent tout aussi vite quand les cours dégringolent. En France, on préfère "lisser", surtout quand ça baisse. A méditer à l'heure où les Etats généraux de l'Alimentation veulent promouvoir les "tunnels de prix" pour diminuer les aléas des cours...
Faut-il rappeler que l’année dernière, les mêmes industriels plaidaient pour qu’on ne baisse pas les tarifs du lait alors que les cours s’effondraient ? Il y aurait donc deux discours, selon que les prix montent ou descendent ?
4. Combien pour les éleveurs ?
En 18 mois, la tonne de beurre est passée de 2.500 euros à près de 6.900 €. Le beurre qui n’a pas été distribué en France a tout de même été produit et vendu a l’export.
On peut reprocher aux distributeurs de ne pas avoir accepté les tarifs assez rapidement, mais on ne peut leur reprocher d’avoir fait de la marge. Il n'y aura donc aucune difficulté – j'imagine ! – à ce que les éleveurs en touchent un juste retour sur les prochaines payes de lait.
5. La pénurie appelle la pénurie : la prophétie autoréalisatrice
Comme avec le carburant il y a quelques mois, on est tombé en pleine prophétie autoréalisatrice où la peur de la pénurie a généré la pénurie. Nombre d'artisans (boulangers, pâtissiers, etc) et de restaurateurs (qui n’ont pas été livrés alors qu’ils ne font pas partie de la grande distribution 😉) se sont approvisionnés en beurre auprès des grandes surfaces. Au point que certains de nos magasins et drives ont décidé de limiter les ventes à deux plaquettes par acheteur pour limiter les razzias !
Les ruptures en fait s'expliquent principalement par une incapacité logistique à pouvoir réapprovisionner au rythme des achats qui explosaient. 
Bon, je ne suis pas sûr que cette situation (et les polémiques sur les responsabilités) aient servi la cause de quiconque. La bonne nouvelle, c’est qu’on devrait quand même avoir de la bûche à Noël et de la galette à l'Epiphanie !

TripAdvisor ne balancera pas vos porcs#gerardpocquet


TripAdvisor
Capture d'écran et source: http://www.ladn.eu

TripAdvisor ne balancera pas vos porcs

 
Introduction
Une enquête révèle que la plateforme a censuré les posts de plusieurs utilisateurs dénonçant des viols et des agressions, en prétextant le non-respect de ses règlementations.
Menée par le Milwaukee Journal Sentinel, l’enquête nous ramène en 2010, au Mexique, où une dénommée Kristie Love avait tenté d’alarmer les utilisateurs de TripAdvisor après s’être faite agresser et violer par un agent de sécurité dans un hôtel Iberostar de la Riviera Maya. Posté il y a sept ans et à plusieurs reprises sur la plateforme, son commentaire n’avait jamais été publié, jusqu’à aujourd’hui.

« Nous nous excusons auprès de la victime agressée sexuellement dont il est fait état dans l’article, et dont le post a été retiré du forum il y a 7 ans. Depuis 2010, date à laquelle le message a été supprimé, notre politique et nos processus de modération ont évolué pour mieux informer les voyageurs de ce genre d’incident. C’est pourquoi, et après avoir pris connaissance de cette erreur, nos équipes ont aussitôt republié le message initial de la victime sur la plateforme. », déclarait un porte-parole de TripAdvisor à Business Insider.

TripAdvisor
Un mea-culpa un peu tardif qui pourrait bien en cacher d’autres puisque l’enquête affirme également que de nombreux témoignages d’utilisateurs abordant les mêmes thématiques ont été supprimés ces dernières années.

Un an après l’agression de Kristie Love, une jeune touriste de 19 ans avait été agressée de la même manière et dans le même complexe hôtelier de la Riviera Maya. En 2015, une autre femme avait été violée au même endroit après que son mari et elles ont perdu connaissance en pleine journée à la suite d’un verre. Cette dernière avait également essayé d’alerter la communauté TripAdvisor, sans succès.
Selon l’enquête, et pour la plupart des posts censurés, TripAdvisor aurait avancé le manquement de ces utilisateurs à certaines de ses règles de modération comme l’emploi d’un « langage inapproprié » ou de « ouï-dire », même si les expériences évoquées avaient été réellement vécues.
Plus loin, le rapport aborde certains passe-droits obscurs dans la politique de modération du site, comme le fait que certains utilisateurs TripAdvisor bénéficient de privilèges spéciaux, et notamment la possibilité de supprimer des messages du forum. La société refuserait en revanche de divulguer la façon dont ces utilisateurs sont sélectionnés.
Si TripAdvisor base l’intégralité de son fonctionnement sur la confiance qui lie les utilisateurs aux entreprises se soumettant à leurs avis, il reste difficile d’évaluer l’impartialité de la plateforme dans sa modération des commentaires négatifs.
À noter que la plateforme se rémunère à la commission (quand une chambre ou un voyage est booké) ou au clic (lorsqu’un utilisateur visite le site d’un hôtel par exemple).

Le congrès annuel de la Fespa à Bordeaux#gerardpocquet

Capture d'écran: http://fespa-france.fr/
 Source: http://www.caractere.net

Le congrès annuel de la Fespa à Bordeaux

lundi, 06 novembre 2017 | Auteur La rédaction | Télégrammes http://www.caractere.net
Après Montpellier en 2016, le prochain congrès annuel de la Fespa se déroulera à Bordeaux les jeudi 30 novembre et vendredi 1er décembre à Bordeaux. Deux thèmes principaux seront abordés au cours de cette rencontre, notamment avec des interventions de Caroline Marquet, sur la propriété intellectuelle, et de Virginie Bruges, sur l’action contre l’exclusion. Plus d’infos sur : http://fespa-france.fr.

Le Groupement des métiers graphiques a tenu son colloque annuel#gerardpocquet

Le groupement des métiers graphiques a tenu son colloque annuel
Capture d'écran et source: http://www.caractere.net

Si cette fille le peut, pourquoi pas toi ?

Image actu
Capture d'écran et source: http://www.influencia.net/fr

La campagne « This Girl Can », lancée en 2015 par Sport England, a encouragé 450 000 femmes à faire du sport au Royaume-Uni. Décryptage extrait du rapport Golden Club réalisé par la rédaction d'INfluencia et en partenariat avec M6 Publicité.

Si cette fille le peut, pourquoi pas toi ?


 
Publié le 05/11/2017

Le fessier se ballotte dans le legging. L’image est tournée au ralenti. Une jeune femme voilée, qui porte des gants de boxe jaunes, donne de violents coups de pied dans un sac de frappe. Une joueuse met un protège-dents avant de plaquer sans vergogne une adversaire. Des mères de famille font du fitness leur bébé dans les bras. Une retraitée effectue des longueurs dans la piscine et une handicapée court sur un sentier avec une prothèse. Le second spot publicitaire de Sport England, l’association publique qui a pour but d’inciter la population à faire du sport en Grande-Bretagne, reprend les mêmes recettes que la campagne qu’elle avait lancée en janvier 2015. Intitulé This Girl Can, le premier film d’une minute trente a été visionné plus de 100 millions de fois sur la Toile et il a reçu plus d’une cinquantaine de récompenses. Tout est parti d’un simple constat…


Pas assez « bonnes » pour faire du sport


Il y a tout juste deux ans, le nombre de femmes britanniques âgées de 14 à 40 ans qui faisaient une activité sportive était près de deux millions inférieurs à celui des hommes alors qu’elles étaient 75% à vouloir être plus actives. Pour comprendre les raisons qui expliquent ce fossé, Sport England a interrogé pendant neuf mois aussi bien les fédérations sportives, que les clubs de football et les jeunes mères de famille. Les résultats de cette enquête, qui sont détaillés dans un rapport de 600 pages, sont édifiants.

Les Anglaises jugent ainsi qu’elles ne sont pas assez « bonnes » pour faire du sport. Plus d’un quart d’entre elles estiment ne pas avoir les compétences nécessaires pour se dépenser. 36% des écolières qui rechignent à aller aux cours de gym sont complexées par rapport à leur physique. Une femme sur quatre explique « détester son apparence » quand elle fait du sport et 81% des mamans d’enfants de moins de quinze ans jugent plus important de passer du temps en famille que de rester en forme. 44% affirment même avoir mauvaise conscience lorsqu’elles s’accordent une pause pour elles seules. Culpabilité quand tu nous tiens…


Le premier spot a connu un succès immédiat


Pour tenter de renverser ces idées préconçues, Sport England a demandé à six agences, qui travaillent généralement avec des associations publiques au Royaume-Uni, de lui proposer des concepts pour une campagne nationale. FCB Inferno a remporté la compétition en préparant non pas un slogan mais un véritable manifeste. « Les femmes ont des formes, des tailles et des niveaux différents », explique le texte « Cela n’a aucune importance si vous êtes nulle ou experte. L’important est que vous soyez une femme et que vous fassiez quelque chose… ». Le premier spot diffusé le 12 janvier 2015 sur ITV a connu un succès immédiat. La campagne d’affichage a, aussi, eu un grand retentissement. Sur les réseaux sociaux, un algorythme envoie automatiquement des tweets d’encouragement aux femmes qui diffusent des messages concernant leurs derniers entraînements ou leurs craintes d’aller dans une salle de fitness. Près de 500 000 personnes sont abonnées à la page Facebook de cette campagne et 117 000 internautes lisent ses tweets. Une application permet, en outre, aux sportives de mettre en ligne des photos les montrant en plein effort. Les meilleurs clichés sont affichés dans des centres commerciaux aux quatre coins du royaume.


Marks & Spencer soutient la campagne


Des partenariats ont également été signés avec plusieurs marques très populaires outre-Manche. Le distributeur Marks & Spencer a ainsi lancé ,en collaboration avec Sport England, une gamme de vêtements de sport pour les femmes comprenant notamment des leggings, des t-shirts et des soutiens-gorge. Plus de 8000 « supporters » allant du simple club de sport de quartier en passant par la fédération anglaise de football et des salles de fitness ont apporté leur soutien à cette campagne dont le succès a dépassé toutes les espérances. En deux ans, la différence entre le nombre d’hommes et de femmes qui font du sport au Royaume-Uni s'est réduite de 1,75 à 1,3 million. « L’objectif est de boucher ce fossé et de normaliser l’exercice physique pour les femmes de tout âge et de tous niveaux », résumait dans les colonnes du quotidien The Telegraph, Jennie Price, la directrice générale de Sport England. This Girl Can semble en passe de réussir cet ambitieux défi.






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