jeudi 13 décembre 2018

Clause de Lock Up#Business#pocquetfinance#exclu#transmission#entreprise#gerardpocquet#entreprise

À la lecture du communiqué de presse du 5 septembre 2018 d' AST Groupe,
Les titres cédés sont assortis d’une clause de lock up de 18 et 36 mois afin d’associer les deux dirigeants d’IDEOZ dans le développement du Groupe, conformément à sa stratégie d’acquisition. 

Cette clause de Lock up est de plus en plus proposée dans les transmissions d 'entreprises assortie
d' un earn-out ou faut-il préférer les clauses de prix d'acquisition fixe (locked box deals).
That's the question!

Lexique
Lock-up
Source: https://www.boursedescredits.com/lexique-definition-lock-up-2662.php
"Le lock-up correspond à une période minimale pendant laquelle un ou plusieurs investisseurs actionnaires présents dans le capital d'une société, s'engage à conserver leurs actions après l'introduction en Bourse de la société.  La durée de validité du lock-up est en règle générale courte (elle est rarement supérieure à 9 mois).  Lock-up signifie blocage. Il désigne un contrat qui précise une période pendant laquelle les opérations seront bloquées, en général entre 3 et 9 mois. La clause de lock-up est principalement mise en place lors de l'introduction d'une valeur en Bourse, ou lors d'une augmentation de capital. L'émetteur de titres s'engage à ne pas en proposer de nouveaux, ou l'investisseur accepte de conserver ceux qu'il détient. Une partie du capital n'est donc pas disponible sur le marché. Pour les actionnaires du noyau dur, le but est d'éviter un afflux massif de titres, qui risquerait d'en affecter le cours."
Source: http://www.boursereflex.com/lexique/lock_up
Clause par laquelle un ou plusieurs actionnaires de référence s'engagent à ne pas céder leurs titres pendant une période donnée, ou seulement sous certaines conditions, pour éviter un afflux de titres sur le marché. Il s'agit la plupart du temps d'institutions qui acceptent de former le noyau dur de l'actionnariat d'une société. A noter que la part du capital bloquée de la sorte n'est pas ou plus prise en compte pour calculer le flottant de la valeur.



Acquisition confirmée du Groupe IDEOZ Renforcement de l’activité Maisons Individuelles#GroupeIDEOZ#ASTGroupe#communiquedepresse#exclu#Business#gerardpocquet#LockUp#pocquetfinance


Communiqué de presse https://www.ast-groupe.fr/
A Décines-Charpieu, le 5 septembre 2018 

Acquisition confirmée du Groupe IDEOZ
Renforcement de l’activité Maisons Individuelles
AST Groupe, 3ème constructeur de maisons individuelles en France, a signé hier l’accord définitif pour l’acquisition du Groupe IDEOZ, constructeur indépendant de maisons individuelles. 

Capture d'écran et source: https://www.ast-groupe.fr/https://www.maisons-ideoz.com

De gauche à droite : Olivier Lamy, Sylvain Tur, Bruce Giraud, Alain Tur et Franck Geneix 
 
AST Groupe détient ainsi 100% du capital d’IDEOZ, un constructeur de maisons individuelles opérant en Charente Maritime et en Vendée. Son positionnement innovant s’appuyant notamment sur une forte digitalisation de l’acquisition clients, lui permet d’afficher des ventes en croissance depuis 3 ans. Sur 2018, le groupe IDEOZ anticipe 200 ventes, un chiffre d’affaires de 20 M€ et une rentabilité supérieure à 6%. 

Comme annoncé en juillet dernier, le paiement de cette acquisition se fait à hauteur de 80% en numéraire et 20% en actions AST Groupe. Les titres cédés sont assortis d’une clause de lock up de 18 et 36 mois afin d’associer les deux dirigeants d’IDEOZ dans le développement du Groupe, conformément à sa stratégie d’acquisition.
L’intégration des savoir-faire d’IDEOZ et les nombreuses synergies rapidement mises en œuvre, vont permettre à AST Groupe de renforcer significativement sa branche division Maisons Individuelles.
Cette nouvelle acquisition confirme la dynamique de croissance mixte (organique et externe) engagée par AST Groupe et sa volonté de devenir le 2ème constructeur de maisons individuelles. 

A propos d’AST Groupe
Promoteur, constructeur et aménageur. Avec plus de 25 ans d’expérience et de savoir-faire en maisons individuelles, AST Groupe est le 3ème constructeur national et le 1er réseau de franchises de maisons à ossature bois avec sa marque NATILIA.
Retrouvez toute l’information d’AST Groupe sur www.ast-groupe.fr Prochain communiqué : Résultats semestriels 2018 – 25 septembre 2018 après clôture 


jeudi 6 décembre 2018

Faute d’accord européen, la France est prête à taxer les GAFA dès 2019#amazon#Apple#BrunoLeMaire#commissioneuropéenne#Europe#exclu#Facebook#GAFA#google#Frenchweb#finance.pocquet#

Faute d’accord européen, la France est prête à taxer les GAFA dès 2019

Avec l'AFP https://www.frenchweb.fr

La France introduira «dès 2019» une taxe nationale sur les géants du numérique si les discussions en cours pour mieux les imposer au niveau européen n’aboutissent pas, a assuré jeudi le ministre des Finances, Bruno Le Maire. «Nous avons obtenu hier un accord avec le vice-chancelier allemand sur ce sujet-là et je me donne jusqu’au mois de mars pour qu’on obtienne une taxation des géants du numérique», a déclaré Bruno Le Maire, invité de l’émission Les quatre vérités, sur France 2. En cas d’échec des négociations, «nous le ferons au niveau national», a promis le ministre. «Nous le ferons dès 2019 au niveau national : nous taxerons les géants du numérique si les États européens ne prennent pas leurs responsabilités», a-t-il insisté.
Les pays européens discutent d’une directive, présentée en mars par la Commission européenne, qui prévoit la mise en place d’une taxe sur le chiffre d’affaires des GAFA, le temps qu’une solution soit négociée à l’échelle mondiale pour mieux imposer les géants du net. La France, à l’origine de cette proposition, espérait à l’origine voir cette directive approuvée d’ici la fin de l’année. Mais plusieurs pays européens, comme l’Irlande et le Danemark, se sont opposés ces derniers mois à ce projet. L’Allemagne, qui craint des mesures de rétorsion américaines pour son industrie automobile, a également montré des réticences.

Paris et Berlin travaillent sur une version édulcorée du projet de directive européenne 

Pour tenter de sauver un accord, Paris a proposé mardi avec Berlin une version édulcorée du projet, prévoyant l’adoption de la directive au plus tard en mars 2019, pour une entrée en vigueur en 2021. Cette nouvelle proposition réduit considérablement l’assiette de taxation par rapport à ce qui était prévu dans ce projet de la Commission, puisqu’elle propose de se concentrer seulement sur la taxation de la vente de publicités en ligne, par conséquent essentiellement sur Google et Facebook. «Je ne lâcherai rien», a toutefois assuré jeudi Bruno Le Maire. «L’argent, il est chez les géants du numérique, qui font des profits considérables grâce aux consommateurs français, et qui payent 14 points d’imposition en moins que les autres entreprises», a-t-il ajouté.
S’exprimant quelques heures plus tard lors d’un forum économique entre la France et la Roumanie, qui doit assurer au 1er janvier la présidence tournante de l’Union européenne, le locataire de Bercy a de nouveau évoqué la possibilité d’une décision unilatérale si l’Europe ne prenait pas «ses responsabilités». «Nous avons franchi une première étape mardi matin. Est-ce que c’est autant que je le voulais ? Non, j’ai la franchise de le reconnaître. Mais au moins c’est un point de départ», a souligné le ministre, jugeant nécessaire d’aller plus loin sur se sujet.

Ce qui manque à l’Europe ? Le «courage» aux yeux de Bruno Le Maire

«Si cette fois-ci, nous parvenons à l’unanimité européenne sur un projet de taxation (…) ça montrerait que l’Europe a du courage. Et ce qui fait le plus défaut à la politique en Europe, c’est le courage», a-t-il martelé, avant de mettre en garde ses homologues européens contre la montée des «populismes» : «Ayons à coeur de défendre les intérêts des peuples européens, ils nous en seront reconnaissants. Si, en revanche, ils ne voient des dirigeants que tremblants face aux risques de réactions, face aux sourcils qui se lèvent, et bien ils choisiront d’autres dirigeants, moins responsables et pas forcément les mieux avisés pour obtenir gain de cause.»
Des initiatives pour taxer les GAFA et d’autres géants du numérique ont déjà été prises au niveau national dans quelques pays, comme le Royaume-Uni et Singapour. Mais les mesures en ce sens restent à ce stade timorées. En Italie, les députés ont ainsi voté en fin d’année dernière une taxe sur des transactions en ligne, mais la loi n’entrera finalement pas en vigueur.

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La rédaction

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vendredi 30 novembre 2018

Happytal lève 23 millions d’euros pour faciliter la vie des patients et du personnel dans les hôpitaux#Frenchweb#MaxenceFabrion#pocquetfinance#Cliniques#Ehpad#esanté#gerardpocquet#Établissementsdesanté#Happytal#Hôpitaux#IrwinLan#Pierre Lassarat#RomainRevellat

Happytal lève 23 millions d’euros pour faciliter la vie des patients et du personnel dans les hôpitaux http://www.frenchweb.fr

Interview de Pierre Lassarat, co-fondateur et directeur général de Happytal http://www.frenchweb.fr

Le montant

La start-up française Happytal, spécialisée dans l’amélioration du quotidien des patients dans les établissements de santé, a bouclé un tour de table de 20 millions d’euros mené par Axa Venture Partners. Les investisseurs historiques, Partech et la Compagnie d’Anjou, ainsi qu’un nouvel investisseur, Alliance Entreprendre, ont également participé à l’opération. Celle-ci est complétée par un prêt de 3 millions d’euros auprès de Bpifrance. 

Le marché

Fondée en 2013 par Irwin Lan, Pierre Lassarat et Romain Revellat, Happytal veut donner un nouveau souffle à l’expérience de l’hospitalisation, qui se révèle encore très souvent pénible et longue pour le patient. Pour cela, la société accompagne les patients tout au long de leur parcours de soin, de la pré-admission jusqu’à leur retour à domicile. Afin d’adoucir le séjour des patients à l’hôpital, Happytal a déployé une conciergerie qui leur propose une multitude de services et de produits pour améliorer leur quotidien. Il est ainsi possible pour un patient de bénéficier de soins de massage, de se faire livrer des journaux ou des pains au chocolat, de se faire coiffer ou même de faire garder ses enfants pendant l’hospitalisation. 
La solution développée par Happytal ne s’adresse pas seulement aux patients. En effet, la société propose également aux établissements de santé une plateforme pour améliorer leur fonctionnement. Cette brique supplémentaire, qui se veut phygitale, vise à digitaliser et faciliter la prise en charge des patients (pré-admission en ligne, salons de sortie…, de manière à optimiser la gestion des tâches administratives pour permettre au personnel de se concentrer sur leur première mission : prendre soin des patients. La start-up met également à disposition des établissements un accompagnement conseil et une équipe spécialisée dans l’hôtellerie à l’hôpital pour optimiser les recettes générées par les chambres et fluidifier le fonctionnement des établissements.
A ce jour, Happytal opère dans plus de 70 établissements en France et en Belgique. La société assure que sa solution est utilisée par plus de 25 000 patients, proches et membres du personnel hospitalier chaque mois. «Nous sommes au début de l’histoire. Il y a 3 000 établissements de santé (hôpitaux et cliniques) et 8 000 Ehpad en France, le marché est encore très large», indique Pierre Lassarat, co-fondateur et directeur général de l’entreprise.

Les objectifs 

Ce tour de table doit permettre à Happytal d’accélérer son déploiement dans les établissements de santé en France et en Europe. Outre la Belgique, où elle est déjà implantée dans deux établissements, la société prévoit de lancer ses activités en Allemagne dans les prochains mois avant de mettre le cap sur la Suisse et le Royaume-Uni. Pour accompagner cette expansion, 200 collaborateurs supplémentaires seront recrutés par Happytal en 2019.

Happytal : les données clés

Fondateurs : Irwin Lan, Pierre Lassarat et Romain Revellat
Création : 2013
Siège social : Vanves (Hauts-de-Seine)
Activité : amélioration du quotidien des patients dans les établissements de santé
Financement : 23 millions d’euros en novembre 2018

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Maxence Fabrion

Journaliste chez FW - DECODE MEDIA

lundi 19 novembre 2018

La plateforme de recrutement suisse Coople lève 21 millions de dollars et vise la France#Coople#Emploi#plateforme#VictorCalabro#GoldmanSachs#Rothschild#onePeakPartners#Frenchweb#financepocquet#business#gerardpocquet

La plateforme de recrutement suisse Coople lève 21 millions de dollars et vise la France

Le montant

Coople, la plateforme de recrutement suisse, annonce une levée de 21 millions de dollars. L’entreprise qui revendique 310 000 travailleurs inscrits via son marché local et le Royaume-Uni où elle opère également, vise un déploiement plus large à l’international avec la France en ligne de mire.
Le tour de table de Coople a notamment été réalisé auprès de One Peak Partners, Goldman Sachs Private Capital et Rothschild Paris Orléans. Au total, l’entreprise a levé 45 millions de dollars depuis sa création en 2009.

Le marché

Coople, anciennement dénommé Staff Finder, met en relation les personnes à la recherche d’un emploi flexible et les entreprises ayant des besoins ponctuels, par exemple en cas de pic d’activité. La plateforme se base sur un algorithme qui met en relation les chercheurs d’emploi en fonction de leur expérience, classement, situation géographique et de leur disponibilité, et des entreprises. Elle permet aussi d’automatiser l’ensemble du processus, de la planification à la gestion en passant par le recrutement, l’intégration et le traitement de la paie et le paiement de la main-d’oeuvre.
Sur ces deux marchés, en Suisse et au Royaume-Uni (où l’entreprise est présente depuis deux ans), Coople revendique 14 000 entreprises inscrites et cite des clients comme Deliveroo, Four Seasons Hotels & Resorts, Intercontinental Hotels. Sa plateforme est également utilisé pour de l’événementiel comme des concerts, les matchs de la NFL au stade de Wembley ou encore le le Grand Prix de Formule 1 de Silverstone.
Sur ce secteur des pure players du recrutement qui s’adressent plus particulièrement aux entreprises qui peuvent avoir des besoin ponctuels de recrutement, on peut citer les agences d’intérim en ligne Staffmatch ou encore Bruce.

Les objectifs

Outre son déploiement à l’international, Coople va se servir de cette levée pour financer des investissements supplémentaires dans l’innovation (produit et technologie) et le maintien de l’expansion en Suisse et au Royaume-Uni.

Coople: les données clés

Fondateur: Viktor Calabrò
Création: 2009
Siège social: Zurich, Suisse
Effectifs: 140
Activité: plateforme de recrutement
Financement: 45 millions de dollars au total

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Innocentia Agbe http://www.frenchweb.fr

Journaliste @FrenchWeb.fr et @LeJournaldesRH

1.5 M€ pour le producteur de cidre français la MAISON SASSY#Fusacq#Business#pocquetfinance#Sassy#exclu#gerardpocquet

Vendredi 16 novembre 2018 à 15h44 Source :https://www.fusacq.com/buzz

Capture d'écran et source: https://www.fusacq.com/buzz & http://www.maison-sassy.com/chateau-de-sassy-livre-secrets-point-de-vue/
 
Depuis son lancement en Novembre 2014, Maison SASSY a vu son chiffre d’affaire multiplié par deux chaque année.

En 2017, la société affichait fièrement un volume de 1 000 000 bouteilles vendues. Aujourd’hui forte de son expansion à l’international, Maison SASSY prévoit de clôturer l’année 2018 avec plus de 2 000 000 de bouteilles écoulées - des résultats prouvant l’ambition et l’audace de la marque et qui reflètent parfaitement son nom (« sassy » signifie « impertinent » en anglais).

UN PARI RÉUSSI

Les deux fondateurs de la marque, Pierre-Emmanuel Racine-Jourdren et Xavier d’Audiffret-Pasquier reviennent sur leur parcours. « C’était un vrai défi, il y a quelques années, de démarcher des points de vente prestigieux avec notre cidre si novateur et de convaincre des restaurants étoilés, des bars à cocktails pointus et des épiceries fines renommées comme Maison Plisson, Galeries Lafayette Gourmet, Selfridges, Publicis Drugstore... » se souvient Pierre-Emmanuel. « Valider nos recettes auprès d’experts reconnus comme Alain Ducasse était un pari fou. Aujourd’hui nous y sommes arrivés et sommes vraiment fiers d’être leur partenaire à l’année ».

Ainsi, ils comptent parmi leurs clients les plus beaux hôtels du monde (Plaza Athénée, Shangri La, Peninsula...), les meilleurs bars à cocktails (Syndicat,
Nightjar...) et les plus grands chefs étoilés (Alain Ducasse, Alexandre Gautier, Jason Atherton...).

Capture d'écran et source: http://www.maison-sassy.com/chateau-de-sassy-livre-secrets-point-de-vue/


LA STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT

« Nous souhaitons à présent étendre notre distribution au retail premium comme Monoprix, et au réseau CHR plus élargi, afin de rendre accessible notre cidre normand au plus grand nombre » ajoute Xavier. Grâce à cette levée de fonds, les fondateurs ont pour objectif de se concentrer sur le développement de la marque à long terme : recruter sur leurs deux marchés majeurs (France et Royaume-Uni) en renforçant les équipes commerciales et marketing, accélérer la production en investissant dans une refonte de la cidrerie au Château de Sassy, toujours dans le but d'améliorer leurs recettes et de proposer des produits innovants. « Sur le plan commercial, cette levée nous permettra d’accompagner de manière plus proactive nos importateurs sur les différents pays où nous sommes déjà présents : Corée du Sud, Japon, Australie, Canada... » explique Xavier, basé au bureau de Londres.

Il ajoute : « Nous exportons aujourd’hui 50% de notre production et espérons accroître encore davantage notre présence à l’export en 2019. »

« Nous sommes tous les deux normands et extrêmement attachés à notre région. Nous avons à cœur de valoriser ce terroir et donner une nouvelle jeunesse au cidre. SASSY, c’est une aventure extraordinaire où nous observons la marque grandir comme nous, avec nos équipes... Nous sommes
convaincus que SASSY est unique sur le marché grâce à une légitimité et une image qu’aucun autre acteur n’a réussi à créer à ce jour ! »

RÉSULTATS SUR UNE PÉRIODE ACTIVE DE 4 ANS :

• Une équipe de 12 personnes

• Une présence dans 15 pays

• Deux sièges sociaux : Paris et Londres

• Plus de 1500 clients : distribution dans plus de 30 restaurants étoilés et palaces, dans les meilleurs bars à cocktails et dans les grands magasins (Galeries Lafayette Gourmet, BHV, Publicis Drugstore, Harvey Nichols, Selfridges...).

Source : Communiqué de presse
http://www.maison-sassy.com/chateau-de-sassy-livre-secrets-point-de-vue/

Toute l'actualité de
• SASSY FRANCE
Capture d'écran  et source : https://www.fusacq.com/buzz

vendredi 16 novembre 2018

Benoît Coeuré (BCE) compare le bitcoin à une « émanation maléfique » de la crise financière#BCE#BenoitCoeuré#bitcoin#exclu#Frenchweb#pocquetfinance#business#gerardpocquet

Benoît Coeuré (BCE) compare le bitcoin à une « émanation maléfique » de la crise financière

Avec l'AFP https://www.frenchweb.fr

L’économiste français Benoît Coeuré, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), a comparé jeudi à Bâle le bitcoin à une sorte d' »émanation maléfique » de la crise financière. « Je vais peut-être être frappé par la foudre en disant cela dans cette tour à Bâle, mais le bitcoin était une idée extrêmement intelligente« , a-t-il affirmé dans son discours d’ouverture d’une conférence organisée par le Comité sur les paiements et les infrastructures de marché, dans la cité suisse des bords du Rhin.
« Malheureusement, toute idée intelligente n’est pas (forcément) une bonne idée« , a-t-il poursuivi, expliquant que la technologie dite de la blockchain ouvre de nombreuses opportunités, mais que les problèmes que pose le bitcoin sont, eux aussi, nombreux.
La naissance de la cryptomonnaie avait coïncidé avec la crise financière déclenchée il y a dix ans par la faillite de la banque américaine Lehmann Brothers, a rappelé M. Coeuré, soulignant que sa genèse avait même été associée à une couverture du Times faisant ses gros titres sur le sauvetage des banques britanniques.
« De bien des façons, le bitcoin est une émanation maléfique de la crise financière« , a-t-il imagé.
Le Comité sur les paiements et les infrastructures de marché, que préside également M. Coeuré, s’est efforcé depuis dix ans de contribuer à renforcer le système financier dans le cadre des réformes lancées au lendemain de la crise de 2007-2008.
Il réunit pendant deux jours des économistes et banquiers centraux pour discuter aussi bien des cryptomonnaies que des réformes des chambres de compensation ou des systèmes de paiement au siège de la Banque des règlements internationaux (BRI), une institution considérée comme la banque centrale des banques centrales.
Mercredi, Christine Lagarde, la dirigeante du Fonds monétaire international (FMI), a fait valoir dans un discours que les banques centrales ont un rôle à jouer dans les monnaies numériques pour faire en sorte qu’elles puissent être utilisées de manière fiable et réglementée.
De nombreuses banques centrales ont mis la question à l’étude, a pointé M. Coeuré, notant cependant que les travaux ne se trouvent qu’à leurs débuts. Il est « peu probable » que les banques centrales émettent des monnaies numériques « au cours de la prochaine décennie« , y compris parmi celles dont les travaux sont les plus avancés, a-t-il jugé.

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La rédaction https://www.frenchweb.fr

mercredi 14 novembre 2018

Impressionnante consolidation du secteur de l'imprimerie aux États-Unis !#www.graphiline.com#FaustineLoison#business#pocquetfinance#Quad/Graphics#exclu#gerardpocquet#LSCCommunications

Impressionnante consolidation du secteur de l'imprimerie aux États-Unis !

En fusionnant, les deux imprimeurs deviennent numéro 1 avec 8 milliards de dollars de chiffre d'affaires.

Le
Capture d'écran et source:


Le groupe américain d'imprimeries basé à Sussex Quad/Graphics annonce, aujourd'hui, qu'il rachète son concurrent LSC Communications, pour une valeur totale de 1,4 milliard de dollars. C'est certainement la transaction la plus importante de toute l'histoire de l'imprimerie jamais réalisée !
Quad/Graphics emploie 22 600 personnes et LSC Communications environ 21 000 personnes. Les deux groupes, spécialisés dans l'impression traditionnelle et numérique, les services liés à l'impression et les solutions marketing, seront fusionnés et créeront une entreprise d'impression aux 8 milliards de dollars de chiffre d'affaires. Elle se hissera sur la première marche des imprimeurs américains, passant devant le leader, RR Donnelley qui affiche un chiffre d'affaires de 6,9 milliards de dollars en 2017.
Joel Quadracci, l'actuel PDG de Quad, prendra la tête de la nouvelle entreprise ainsi formée. La transaction devrait être finalisée vers juin 2019. "C'est un moment décisif dans les 47 ans d'histoire de Quad", déclare Joel Quadracci dans un communiqué. "Nous sommes passés d'une imprimante dotée d'une seule installation à un fournisseur international de solutions marketing. Avec LSC Communications, nous allons créer un ensemble remarquable de talent, d'expertise et de technologie client pour alimenter davantage la transformation de nos solutions marketing Quad 3.0."
En Europe, Quad/Graphics dispose de deux usines d'impression dans le centre-est de la Pologne et emploie 1 900 personnes dans différents pays européens.
Quant à LSC Communications, basé à Chicago, il a annoncé en juillet dernier qu'il se séparait de ses activités européennes. D'ici la fin de l'année 2018, les trois usines rotative offset, le site de logistique et d'entreposage et le site dédié aux services de prémédia, tous situés en Pologne, appartiendront du groupe anglais Walstead.

Faustine Loison

@FaustineLoison

Seb met la main sur 750g International pour renforcer son expertise digitale#Frenchweb#seb#750g#pocquetfinance#business#gerardpocquet

Seb met la main sur 750g International pour renforcer son expertise digitale

Seb annonce l’acquisition de 750g International, éditeur de sites et services culinaires en Allemagne, Espagne, Italie, Portugal, Brésil, USA et Royaume Uni. Le montant de la transaction n’a pas été révélé.
Avec cette acquisition, le groupe français spécialisé dans le petit électroménager souhaite renforcer son expertise digitale.

10 millions de visites par mois

Le portefeuille de 750g International comprend des technologies de diffusion de contenus digitaux, 90 000 recettes publiées en 5 langues dans 7 pays, générant selon Seb plus de 10 millions de visites par mois, des services avec notamment l’impression de livres de recettes et une communauté de 10 millions de fans Facebook, 450 000 membres et 5 000 blogueurs. De son côté, Seb revendique une communauté de 5 millions de membres. «Leur savoir-faire nous permettra d’aller encore plus loin dans l’offre de services innovants aux amateurs de cuisine», a commenté Thierry de La Tour d’Artaise, PDG du groupe Seb.
Cette acquisition devrait donc permettre à Seb de créer des convergences entre ses produits, sites Internet et applications et ceux de de 750g International. Le groupe parle d’ailleurs d’un double objectif: enrichir son écosystème digital mais aussi renforcer l’attractivité de ses marques à l’international.
Selon des informations du Figaro, Webedia, propriétaire de 750g depuis 2013, gardera en revanche l’activité en France, notamment via le site 750g.com.

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Innocentia Agbe

Journaliste @FrenchWeb.fr et @LeJournaldesRH

lundi 12 novembre 2018

Le Chinois Xiaomi se lance à Londres avec un nouveau smartphone pour conquérir l’Europe#AFP#FRENCHWEB#exclu#pocquetfinance#business#gerardpocquet#JohnLewis#LeiJun#smartphones#ThreeMobile#Xiaomi

Le Chinois Xiaomi se lance à Londres avec un nouveau smartphone pour conquérir l’Europe

Avec l'AFP https://www.frenchweb.fr

Le géant chinois des smartphones Xiaomi a marqué son entrée sur le marché britannique jeudi à Londres en annonçant la vente hors de Chine de son téléphone Mi 8 Pro et l’ouverture d’une boutique. Le groupe a choisi la capitale britannique pour cette annonce au moment où la jeune entreprise fondée à Pékin il y a huit ans cherche à accroître sa présence en Europe avant un lancement le mois prochain aux États-Unis.
Le fondateur du groupe, Lei Jun, qualifie son entreprise «d’espèce nouvelle», avec un modèle de développement «triathlon», qui mise à la fois sur le matériel, l’Internet et le commerce électronique. Ses produits vendus en ligne vont des appareils électroniques tels que les purificateurs d’air aux simples coussins ou stylos à bille. Les téléphones portables restent cependant au coeur du groupe fondé en 2010 à Zhongguancun, un quartier de Pékin surnommé la «Silicon Valley chinoise».

Quatrième vendeur mondial de smartphones 

Ses ventes se sont envolées ces dernières années, faisant de Xiaomi («petit riz» ou «millet» en chinois) le quatrième vendeur mondial de smartphones à la fin de l’an dernier, après Samsung (Corée du Sud), Huawei (Chine) et Apple (États-Unis), selon le cabinet International Data Corp. «L’Europe est notre prochaine cible», a déclaré Lei Jun à des investisseurs à l’été dernier, notant que ses appareils figuraient également à la quatrième place du classement en Europe occidentale, où les consommateurs sont parfois tentés par les modèles haut-de-gamme de Xiaomi vendus à des prix plus bas que ceux d’Apple ou Samsung.
En Inde, Xiaomi contrôle le tiers du marché en dépit de difficultés d’adaptation qui ont révélé à quel point les entreprises chinoises ont parfois du mal à s’installer à l’étranger. Ses chargeurs ont souffert d’un taux de panne supérieur à la moyenne du fait des problèmes d’alimentation électrique en Inde, obligeant Xiaomi à travailler sur un nouveau type de chargeurs afin d’accroître leur voltage. Xiaomi devrait s’épargner ce genre de mésaventure au Royaume-Uni mais il pourrait se heurter à des craintes en matière de protection des données auxquelles sont parfois confrontées les entreprises chinoises.
Pour sa distribution sur le marché britannique, outre l’ouverture de sa boutique dans un vaste centre commercial londonien et de son site britannique officiel, le groupe a choisi de s’associer à l’opérateur Three Mobile ainsi qu’à plusieurs vendeurs, comme le groupe de grands magasins John Lewis. Xiaomi a connu une entrée en Bourse poussive en juillet dernier à Hong Kong, après avoir renoncé à se lancer simultanément sur la place de Shanghai.

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vendredi 9 novembre 2018

Trottinettes électriques : Ford s’offre Spin pour contrer Lime et Bird#frenchweb#gerardpocquet#business#pocquetfinance

Trottinettes électriques : Ford s’offre Spin pour contrer Lime et Bird https://www.frenchweb.fr

La folie des trottinettes électriques gagne les constructeurs automobiles. S’intéressant de près aux nouvelles formes de mobilité, l’Américain Ford a décidé de mettre la main sur la start-up californienne Spin, qui propose des trottinettes électriques en free-floating. Les modalités financières de l’opération n’ont pas été dévoilées mais le montant total de la transaction avoisinerait les 100 millions de dollars, selon Axios.
Fondé en 2016 par Derrick Ko, Euwyn Pool et Zaizhuang Cheng, Spin fait figure de pionnier sur le marché des trottinettes électriques. Après avoir proposé initialement des vélos en libre-service, la société a déployé ses premières trottinettes électriques en mars dernier à San Francisco, au même moment que Lime et Bird, qui sont désormais les leaders mondiaux du secteur. 
Cependant, face aux chaos provoqué par ces nouveaux engins dans la ville californienne, la municipalité a vu rouge et a donc ordonné aux trois opérateurs de retirer leurs trottinettes électriques en free-floating de la circulation. Désormais, il faut obtenir un permis d’exploitation et seules les sociétés Scoot et Skip ont réussi à décrocher le précieux sésame à San Francisco. A ce jour, Spin opère dans 9 villes américaines, dont Detroit, où est situé le siège historique de Ford, et 5 campus universitaires. 

Ford diversifie son activité dans les nouvelles formes de mobilité 

Avec Spin, Ford fait une nouvelle percée dans les nouvelles mobilités. «Spin marque une étape importante et témoigne de nos ambitions pour le futur de la mobilité urbaine», souligne d’ailleurs la firme américaine. Avec l’appui de la start-up californienne, le constructeur américain entend déployer son propre service de trottinettes électriques dans une centaine de villes d’ici 2020.
Cette acquisition est une preuve supplémentaire des ambitions de Ford dans les services de mobilité. Ces dernières années, la firme de Detroit a notamment racheté Chariot, qui propose un service de navettes partagées, en 2016, puis Autonomic Technologies et TransLoc, deux start-up développant des logiciels de transport, en début d’année. Cet été, Ford a également annoncé la création de sa propre division dédiée aux véhicules autonomes. Dans ce cadre, le constructeur compte investir 4 milliards de dollars d’ici 2023. Ford s’est aussi allié à Baidu pour tester des voitures autonomes en Chine et développer la conduite automobile de demain.

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Maxence Fabrion

Journaliste chez FW - DECODE MEDIA