mercredi 18 novembre 2015

Spotify se met à l’open data pour séduire les artistes

Par | le 18 novembre 2015 |

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2015/11/spotify-fan-engagement.pngspotify-fan-engagement
Spotify va donner accès aux artistes à sa propre mine d’or. La plateforme d’écoute de musique en streaming a présenté un nouveau tableau de bord accessible en ligne baptisé «Spotify Fan Insights». Celui-ci doit «aider les artistes à mieux comprendre les auditeurs de Spotify afin de grandir leur base d’écoute plus efficacement et de les engager», explique le Suédois.
Avec ce nouveau service, Spotify entend prendre l’avantage sur ses concurrents (Apple, Spotify) en fidélisant ses artistes et en exploitant les données dont il dispose. L’offre est pour l’instant entièrement gratuite, mais en aidant les artistes à calibrer la promotion de leurs titres, Spotify pourrait rapidement faire évoluer cette version bêta.

Vers un marketing personnalisé

Dans le détail, le tableau de bord doit renseigner sur «qui sont les fans, avec des informations démographiques, où sont-ils, comment l’audience évolue, les préférences des fans, le niveau de passion et d’engagement selon divers comportements entre les passionnés et les écoutes occasionnelles».
«Avec 75 millions d’utilisateurs et 1,7 milliard d’heures d’écoute chaque mois, Spotify possède l’audience la plus large et la plus engagée», revendique la société.
Le Spotify Fan Insights est disponible sur ordinateur et sur mobile en version basique. «Nous commençons à peine», prévient le Suédois. Les artistes et les managers musicaux qui souhaitent accéder au service doivent faire la demande en ligne.
Après une levée de fonds de 350 millions de dollars au printemps 2015 et 115 millions de dollars à l’été dernier, Spotify axe ainsi son développement vers l’exploitation des données. Lancée en 2006 par Martin Lorentzon et Daniel Ek, Spotify revendique, près de 10 ans plus tard, 20 millions d’abonnés dans le monde, dont une quinzaine qui a souscrit à une offre payante.
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Capture d'écran: http://www.frenchweb.fr

HUNGER GAMES LA REVOLTE : PARTIE 2

"Je vais assassiner Snow" annonce le Geai moqueur, Jennifer Lawrence . Ça, ça me plaît".



Voilà le résumé de l'intrigue d'Hunger Games , La Révolte, partie 2.
Le Geai moqueur, Jennifer Lawrence, Katniss, change d'avis, après une introspection de 2h16 mn
agrémentée de deux, trois scènes d'effets spéciaux. Donald Sutherland, (Président Snow), Julianne Moore, Woody Harrelson et Philip Seymour Hoffman sont présents, ils assurent sans grande conviction.
Ce dernier volet clôt la franchise Hunger Games. C'est dommage de terminer ainsi.



Néanmoins, ce n'est pas le premier film qui aborde le thème du "Pouvoir politique", du contrôle des médias de masse et du peuple, ce film suscite notre vigilance quant à nos futures vies de citoyens, de l'humanité et de l'amour de l'autre.



Titre original : THE HUNGER GAMES: MOCKINGJAY - PART 2
Réalisé par Francis Lawrence
Avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth, Woody Harrelson, Elizabeth Banks, Julianne Moore, Donald Sutherland, Philip Seymour Hoffman
Tous publics
Durée : 2h16. - Genre : Aventure
Sortie nationale le 18/11/2015 - En salle depuis le 17 novembre

Synopsis

Alors que Panem est ravagé par une guerre désormais totale, Katniss et le Président Snow vont s'affronter pour la dernière fois. Katniss et ses plus proches amis – Gale, Finnick et Peeta – sont envoyés en mission pour le District 13 : ils vont risquer leur vie pour tenter d'assassiner le Président Snow, qui s'est juré de détruire Katniss. Les pièges mortels, les ennemis et les choix déchirants qui attendent Katniss seront des épreuves bien pires que tout ce qu'elle a déjà pu affronter dans l'arène..

Sources: allociné.com / http://www.metacritic.com / http://www.melty.fr /  http://www.geeksandcom.com

Ubérisation, digitalisation…Gardons avant tout à l’esprit la relation humaine

Ubérisation, digitalisation. Les ressources humaines sont impactées par l'émergence de ces nouveaux modèles qui induisent une nouvelle organisation du travail. Comment en tirer parti ? Peut-on en profiter pour améliorer l'expérience candidat ? Oui, mais à condition de garder à l'esprit le fondement même de notre métier : la relation humaine !
A l'heure de la société uberisée...
Nous vivons des années de révolution incroyable ! En deux ans, l’organisation du travail a profondément évolué, plus qu’au cours de ces trente dernières années. Et le phénomène n’est pas près de s’arrêter.
Les besoins ne sont plus les mêmes, qu’il s’agisse des entreprises dont la majeure partie des investissements consiste à recruter les meilleurs talents, ou des candidats qui se tournent davantage vers des statuts d’indépendants (freelance, free agents,…). On assiste à une inversion des rapports de force.
Chez Uber et Airbnb par exemple, le client devient acteur de l’entreprise. Il en va de même dans le secteur des ressources humaines. Auparavant, un candidat transmettait son CV ou sa lettre de motivation pour obtenir un CDI ou un CDD. Si le profil convenait au recruteur, des rendez-vous étaient organisés. Et la fin de l’expérience se terminait une fois le contrat signé. Aujourd’hui, candidats et entreprises ne recherchent plus uniquement une "boîte aux lettres", mais un service d’accompagnement sur-mesure capable de les faire évoluer ensemble. Les entreprises recherchent des talents et les candidats se positionnent en tant que tel.
... Les RH doivent rester humaines
Là est tout l’enjeu des prochaines années. La digitalisation des RH, voire l’ubérisation, ne peut s’effectuer sans relation humaine. Il s’agit là du fondement même de notre métier. Et celui-ci ne peut disparaître ! C’est ce que confirme une récente étude TNS SOFRES : seulement 33 % des candidats se déclarent satisfaits de leur accompagnement dans la durée. Et plus de 42% d’entre eux recherchent des partenaires d’emploi qui les accompagnent une fois en poste.
Nous, cabinets de recrutement, avons donc un rôle fondamental à jouer pour accompagner les candidats avant, pendant et après leur recrutement ; les aider à développer leurs compétences, à envisager une carrière à l’international… Nous pouvons ainsi accompagner des freelances, des indépendants, des autoentrepreneurs dont les compétences sont très prisées, dans leur recherche de nouvelles missions, et ce tout au long de leur carrière. Mais nous avons également un rôle à jouer auprès des entreprises, en les aidant à s’adapter aux nouvelles générations, aux nouvelles organisations du travail tout en conservant leur cœur de culture. Et cet accompagnement repose avant toute chose sur la relation humaine, sur l’écoute et l’échange. La digitalisation ne doit être qu’un support à cette interaction.
C’est cette digitalisation des RH qui, associée au principe fondamental de la relation humaine, préfigure ce que sera notre métier demain.
Capture d'écran:




Chronique de 
KELLY FRANCE