mardi 30 janvier 2018

#Marketing ContentSquare lève 42 millions de dollars pour asseoir ses marchés américain et européen#gerardpocquet

Capture d'écran et source: https://www.maddyness.com

#Marketing ContentSquare lève 42 millions de dollars pour asseoir ses marchés américain et européen https://www.maddyness.com

La startup ContentSquare observe et analyse des milliards de mouvements tactiles ou de souris pour optimiser le parcours client et maximiser la conversion à l’achat. Une technologie qui a convaincu les fonds Canaad, Highland Europe, Eurazeo et H14.

La plateforme française d’analyse prédictive du comportement client ContentSquare annonce ce lundi avoir bouclé un tour de table de 42 millions de dollars (33,8 millions d’euros) auprès de Canaan (investisseur de LendingClub ou Match.com), Highland Europe (qui a des participations dans WeTransfer ou Photobox), Eurazeo et H14. Il s’agit de la troisième levée de la MarTech, qui avait notamment sécurisé 20 millions de dollars lors de son précédent tour de table, en octobre 2016.
Cet apport au capital doit permettre à ContentSquare de continuer à développer ses activités en Europe et aux États-Unis, où la startup avait ouvert un bureau après son précédent closing. Avec 200 employés engagés en un peu plus d’un an et la signature de 120 nouveaux clients, à l’instar de Carrefour, Orange ou Tiffany’s, la startup a déjà largement entamé son internationalisation. Elle souhaite désormais asseoir sa stature dans ses différents marchés.

S’imposer face à une concurrence foisonnante

ContentSquare observe et analyse les mouvements en ligne de clients (tactiles ou de souris) pour optimiser leur parcours sur un site ou une application mobile. Les données sont ensuite utilisées pour augmenter l’engagement, maximiser les taux de conversion et ainsi rentabiliser au mieux les plateformes d’achat. “La vocation de ContentSquare est d’aider les entreprises à comprendre comment et pourquoi les clients interagissent avec leur site internet, téléphone et applications, explique Jonathan Cherki, PDG de ContentSquare. En utilisant ces datas, notre objectif premier est d’améliorer l’expérience digitale des consommateurs et, bien entendu accroître les ventes de nos clients.
La startup, qui se définit comme “l’arme secrète des équipes digitales” a convaincu les investisseurs grâce à une exécution efficace, alors même que le secteur de la MarTech est très concurrentiel. “Le fait qu’il soit aujourd’hui possible pour une une marque de vendre tout type de bien et de le livrer rapidement au client final signifie que le facteur clé de différenciation pour la fidélité envers la marque est l’expérience client, souligne Michael Gilroy, partenaire chez Canaan. C’est là que la magie de ContentSquare intervient : ses employés peuvent aider les entreprises à vraiment comprendre ses utilisateurs et créer une expérience innovante.

ContentSquare en quelques chiffres

  • Créé en 2008
  • Fondateur : Jonathan Cherki
  • Siège : Paris
  • 49,8 millions d’euros levés depuis la création

 

Singapour : de nombreux magasins d’informatique proposent des rigs de minage clés en main#gerardpocquet


Ferme de minage
Capture d'écran et source: https://www.crypto-france.com

Singapour : de nombreux magasins d’informatique proposent des rigs de minage clés en main https://www.crypto-france.com


Des magasins d’informatique du centre commercial Sim Lim Square, à Singapour, proposent désormais des rigs de minage clés en main.
L’intérêt croissant pour les crypto-monnaies, auquel on assiste depuis quelques mois, ne porte pas seulement sur l’investissement : le minage de monnaies numériques suscite également un engouement sans précédent.
Et il n’est pas étonnant de voir que certains entrepreneurs cherchent à faire face à une forte demande pour du matériel permettant de miner ces actifs. C’est en tout cas ce qui se produit actuellement à Singapour, au sein du centre commercial Sim Lim Quare – au moins 5 magasins d’informatique y proposent des rigs de minage clés en main.
Même si certaines crypto-monnaies peuvent être minées à l’aide d’un simple ordinateur de bureau, ces rigs offrent une puissance de calcul élevée – une puissance indispensable pour ceux qui souhaitent pouvoir générer un profit conséquent à travers cette activité.
Rig de minage à Singapour
On peut retrouver ces rigs – qui coûtent au minimum 3000 dollars – des cartes graphiques, des cartes mères, mais également l’ensemble des cables nécessaires à cette activité. Les boutiques d’informatique offrent également la possibilité de faire construire un rig sur mesure, adapté au budget de leurs clients.

Entre 250 et 275 euros par mois de revenus

Dans un entretien accordé à Bloomberg, Wilson Josup, le propriétaire de l’une de ces boutiques, a indiqué qu’il parvenait à vendre environ 10 rigs par semaine. Il a précisé que la majorité de ses clients achetaient ces rigs pour miner de l’Ether. Ils parviendraient ainsi à générer entre 400 et 450 dollars de Singapour (entre 250 et 275 euros) par mois.
La plupart de mes clients me demandent de les aider à transférer leurs rigs vers un centre de données, parce qu’ils n’apprécient pas la chaleur et le bruit que cela provoque“, a déclaré M. Josup, ajoutant que son taux de marge sur chaque rig s’élevait à environ 10%.

D’après TODAYOnline, l’âge des clients qui se tournent vers ces rigs serait très variable : de 13 à 60 ans. On y retrouve notamment des étudiants, mais également des touristes originaires de pays voisins comme la Chine, le Japon ou l’Indonésie.
Mais la concurrence fait rage entre les boutiques  – et certaines d’entre elles n’ont toujours pas écoulé le moindre rig.
Cet intérêt croissant pour le minage intervient alors que l’autorité monétaire de Singapour a alerté à plusieurs reprises les épargnants sur les risques liés aux actifs numériques. Car même si l’institution lorgne sur la technologie blockchain, elle est loin d’afficher le même enthousiasme vis-à-vis des crypto-monnaies.
Références : Cryptovest, Bloomberg, TODAYOnline

Le premier groupe de rock issu de Pôle Emploi#gerardpocquet


groupe de musique dans une rue parisienne
Capture d'écran et source: http://www.ladn.eu/news-business

Le premier groupe de rock issu de Pôle Emploi

Introduction
À l’occasion de la sortie de son 1er single « Friday on my mind » dispo dans les bacs ce lundi 29 janvier, le groupe Les Boys dévoile les coulisses de sa formation : l’histoire de 5 musiciens qui se sont rencontrés sur les bancs de Pôle Emploi.
Pour remercier le Pôle Emploi, Les Boys feront la Tournée des Pôle Emploi de Paris avec, pour commencer, une série de 3 concerts. Le groupe se produira en effet le mercredi 31 janvier, le jeudi 01 février et le vendredi 02 février à partir de 9h et proposera ainsi de démarrer la journée en musique.
Pour soutenir le lancement du groupe, une campagne publicitaire humoristique démarrera ce lundi 29 janvier. Imaginée et conçue par l’Agence de communication no feelings, cette campagne d’affichage de 3 visuels met en scène les qualités du groupe à travers le regard amusé du Pôle Emploi.
publicite du groupe les boys
publicite du groupe les boys

[CONFIDENTIEL] 30 start-up font ICO commune#gerardpocquet

Capture d'écran et source: https://www.frenchweb.fr

[CONFIDENTIEL] 30 start-up font ICO commune https://www.frenchweb.fr


Trente start-up se sont réunies pour organiser une ICO commune, qui vise une levée de 35 millions de dollars.
22xFund, du nom de ce collectif, réunit des jeunes pousses issues de 14 pays différents et qui sont passés par l’incubateur et fonds d’investissement californien 500 Startups. Celles-ci avaient déjà levé environ 22 millions de dollars selon les modèles traditionnels, capital-risque et autres.
Chaque start-up propose jusqu’à 10% en equity, sous forme d’action, en fonction du montant recueilli. A noter, la plupart des 30 start-up qui forme ce collectif n’ont aucun rapport avec la blockchain. Ils utilisent le token à la manière d’une part, via un mode de financement qu’ils considèrent comme plus « démocratique ». L’analogie qui définit finalement une ICO comme le crowfunding à l’heure des cryptomonnaies prend ici tout son sens.