lundi 25 avril 2016

Le groupe LEBON rachète les THERMES ALLEVARD

Le groupe LEBON rachète les THERMES ALLEVARD http://www.fusacq.com/buzz
22 avril 2016 à 14h21 

Capture d'écran: http://www.compagnielebon.fr/

Le rachat des THERMES ALLEVARD (siège à Allevard) a été officialisé en début de mois par le tribunal de commerce de Grenoble.

Ils appartenaient jusqu'ici à la municipalité et ont été rachetés par le groupe LEBON, spécialisé dans l'hôtellerie et le thermalisme, qui possède les thermes de Brides-les-Bains.

Il s'agit pour lui d'une première étape en vue de la consolidation de la présence de LeBon dans ce secteur avec la nouvelle marque Sources d'Equilibre.

Le groupe veut acheter des stations en France et à l'étranger, notamment au Maghreb et dans les pays du Golfe.

Les Thermes Allevard complètent l'offre.

Source : Flash-infos


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François Damiens ne veut pas faire de pub pour…


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François Damiens ne veut pas faire de pub pour…http://www.influencia.net/fr


Publié le 22/04/2016

Image actu

Dévoiler les coulisses de la publicité pour faire rire le consommateur. Bonne idée !

Comment parler de transparence sans tomber dans « l’egotrip » ou le ronflant ? Bah, vous utilisez le troisième degré et si possible avec un personnage connu, sympathique et surtout qui sait faire rire. Voilà en deux-trois mots ce qu’a réussi à faire l’agence Rosapark pour LeLynx.fr, un comparateur d’assurance pas très « crétynx » comme il se définit.



La campagne, découpée en plusieurs films d'environ une minute, mise sur l’humour. Elle met en scène l’acteur François Damiens en train de négocier son image avec son agent pour la future campagne du site Lynx. L’artiste devenu, selon lui, incontournable fait preuve d’une condescendance et d’un narcissisme de haute volée lorsqu’il s’agit d’accepter le contrat et le cachet qui va avec.

L’idée de cette campagne, bien écrite, est de faire découvrir, en forçant les traits, les coulisses de la pub. Un message de transparence censé servir la mission première du comparateur : la clarté et la limpidité du service. Une façon comme une autre de créer de la proximité et de l’affectivité avec le consommateur et quoi de mieux que l’humour pour arriver à ses fins. Bon visionnage !

Découvrez le premier épisode :

Gaël Clouzard
Rédacteur en Chef & Associé. En charge de l'éditorial, du développement digital et papier d'INfluencia et contemplatif !

Twitter : @G_ael

15/04/2016 - Lancement opérationnel de l'Agence France Entrepreneur présidée par Mohed Altrad

AFE - Communiqué de presse - 15 avril 2016

L'Agence France entrepreneur (AFE) a été lancée opérationnellement le 13 avril 2016, lors du troisième Comité interministériel à l'Egalité et à la Citoyenneté tenu à Vaulx-en-Velin.
L'AFE renforcera l'accompagnement de tous ceux qui désirent créer et développer leur entreprise, notamment et significativement dans les territoires fragiles où l'offre d'accompagnement et de financement est aujourd'hui insuffisante.


Capture d'écran: https://www.afecreation.fr

L'AFE s'appuiera sur les ressources de l'APCE dont elle reprend notamment les missions d'information et d'orientation des porteurs de projet et entrepreneurs et de promotion de l'entrepreneuriat.
Elle est également investie de nouvelles missions, en particulier le déploiement de la stratégie nationale de soutien à l'entrepreneuriat, la coordination de la mise en œuvre de l'action publique au niveau national, et le renforcement de l'articulation des actions nationales et territoriales.
Son action visera à :

- favoriser les créations et les reprises d'entreprises plus pérennes et créatrices d'emploi ;

- aider au développement des très petites entreprises (TPE) et des petites et moyennes entreprises (PME) qui créent de l'emploi ;
- innover pour créer un cadre plus favorable à l'initiative économique.

Mohed Altrad
indique que « l'AFE a une mission particulière à remplir au bénéfice de tous ceux qui sont aujourd'hui les plus éloignés de la chaîne entrepreneuriale et qui aspirent à devenir des acteurs du développement économique de ce pays ».
L'AFE a pour membres fondateurs, l'Etat, la Caisse des Dépôts et Consignations, l'Association des Régions de France, le Conseil supérieur de l'Ordre des experts-comptables, CCI France et l'Assemblée permanente des Chambres des métiers et de l'artisanat.
Mohed Altrad

Mohed Altrad, premier Français à remporter en 2015 le Prix mondial de l'Entrepreneur de l'année, décerné par le Cabinet EY, préside l'entreprise éponyme.
Originaire de Syrie, arrivé en France très jeune dans les années soixante-dix, il réalise une carrière d'ingénieur après l'obtention d'un doctorat en informatique puis crée sa première entreprise en 1984. L'année suivante, il rachète dans l'Hérault un fabricant d'échafaudages en faillite.
En 30 ans, Mohed Altrad procède à plus de soixante acquisitions, fusions et créations d'entreprises en Europe et dans le monde.
Aujourd'hui, le Groupe Altrad, leader européen de ce secteur industriel, est présent dans plus de 100 pays, déploie 170 filiales et, avec ses 22 000 salariés réalise un chiffre d'affaires de près de 2,5 milliards d'euros. Mohed Altrad affirme d'ailleurs que « ce multiculturalisme représente la véritable richesse de l'entreprise ».
Mohed Altrad est auteur d'ouvrages de management (Stratège de groupe, 1990 - Ecouter, harmoniser, diriger, 1992) et de romans à caractère biographique (dont Badawi, 2002 - L'Hypothèse de Dieu, 2006 - La Promesse d'Annah, 2012). Il est également président du Montpellier Hérault Rugby.
Contact presse : Catherine Sid, contactpresse@afecreation.fr



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Olarent simplifie la relation entre propriétaires et locataires

#SmartCity Olarent simplifie la relation entre propriétaires et locataires

https://www.maddyness.com



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Lancée il y a seulement quelques semaines, Olarent est une plateforme de paiement de loyers et de gestion des relations entre propriétaires et locataires de logements.  

Basé à Neuilly sur Seine, Olarent fait partie de ces startups qui veulent donner un coup de pied dans la fourmilière de l’immobilier. Le marché, encore tenu en majorité par un bon nombre d’agences aussi imposantes que vieillissantes, entame doucement sa transformation vers le numérique, et la startup compte bien y apporter sa pierre.
Le marché immobilier de la location longue durée n’a pas connu de rupture majeure depuis des décennies. Les propriétaires sont constamment en recherche de plus de garanties face à des risques de défaut de paiement croissants
Maxime Sumberac, cofondateur et CEO d’Olarent
Olarent permet ainsi aux futurs locataires de facilement constituer un dossier en ligne, et d’y ajouter des nombreux compléments d’informations telles qu’un profil LinkedIn, des feuilles de paye, ou encore des références d’anciens propriétaires qu’ils peuvent solliciter directement sur la plateforme.
Coté propriétaires, toutes les candidatures sont rassemblées sur l’application, les profils vérifiés et les commentaires d’anciens propriétaires vont permettre de choisir un locataire autrement que sur un critère financier. Propriétaires et locataires mis en relation, le paiement du loyer est ensuite effectué depuis l’application à date fixe par une carte bleue ou un virement. Chaque paiement est suivi d’un commentaire et d’une note réciproque du locataire et propriétaire.
Dévoilées à la fin de la relation contractuelle, elles vont permettre de sécuriser les transactions et de pacifier la relation par un contrôle social simple qui pousse les deux parties à donner le meilleur d’elles-mêmes
Maxime Sumberac
Lancée il y a quelques semaines, la startup se rémunère sur un pourcentage de la transaction plafonné à 2%, peu importe les différents moyens de paiements. Elle prévoit, d’ici peu, de lancer rapidement des services complémentaires tel que les quittances de loyers et devrait communiquer très prochainement sur une première levée de fonds.
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Le futur du contrat de travail ? Les CGU !

Le futur du contrat de travail ? Les CGU !

Par Bertrand Duperrin, expert FrenchWeb


La transformation digitale ne bouleverse pas seulement la manière dont on travaille, elle transforme également le cadre de ce travail. Ce sont les notions mêmes d’emploi et de contrat de travail qui sont chamboulées, selon certains, voire amenées à disparaître ou à n’être que l’apanage de quelques profils favorisés.
Parlons d’un sujet à la mode : l’ubérisation du travail. Sujet à la mode mais terme galvaudé.
L’ubérisation du travail recouvre une foule de choses :
• la rareté du travail salarié telle qu’on l'a connue
• la rareté du travail tout court (même si en la matière je parlerai davantage de la watsonisation à venir que de l’ubérisation en cours)
• la dégradation des relations employeur/employé, ce dernier devenant une commodité, substituable, interchangeable, un mal nécessaire auquel on dénie le moindre droit, la moindre protection.
Si du côté des clients un Uber connaît un succès retentissant, si du côté des chauffeurs il a permis à beaucoup de sortir de l’ornière et de trouver une activité, voire de trouver une place dans la société, on ne peut pas ne pas entendre non plus la voix des déçus. De tous les chauffeurs qui voient leur situation se dégrader du jour au lendemain, voient leurs conditions de collaboration changer sans autre forme de procès, se voient exclure du programme sans autre recours, voire se voient dénier le droit à se regrouper dans un syndicat pour faire valoir leurs droits. Bref, le côté sombre du travail flexible, qui nous fait bien comprendre que ce qu’on désigne souvent sous le nom enjolivé d’économie du partage ou économie collaborative (où sont le partage et la collaboration dans le système ?) est en fait une économie de la demande.

Le vrai enjeu derrière le freelancing : les plateformes

Une réponse facile est de dire que c’est logique. On rentre dans une économie de freelance et le freelance est moins protégé qu’un salarié. Il n’a pas de contrat de travail avec un employeur mais un contrat de prestation de services avec un client avec tout ce que cela implique. Le volet «social», assurances, etc., est de la responsabilité du travailleur et les conditions d’exécution et de rupture du contrat, si elles sont supposées être négociées, sont en fait imposées par le plus puissant des deux contractants. Donc pas le travailleur.
C'est une version dégradée du contrat de travail, adaptée au monde de demain, qui favorise l’activité et la flexibilité au détriment d’une certaine sécurité dans le temps. De toute manière, c’est comme ça. C’est là où nous allons et au moins ça met des gens au travail, peu importe le travail et les conditions dans lesquelles il se réalise. Finalement, peu importe qu’on soit d’accord ou pas avec ce qui va arriver : c’est irrémédiable et c’est la moins mauvaise solution dans le monde qui nous attend. Sauf que ce n’est pas du tout ce qui nous attend : la réalité est même pire.

Vers la «plateformisation» du travail

Ce qui caractérise l’économie vers laquelle nous allons n’est pas qu’elle soit une économie de freelance mais une économie de plateformes. A ce titre, je parlerai plutôt de «plateformisation» du travail plutôt que d’ubérisation.
La plateforme, c’est ce qui permet à une entreprise, Uber ou autres, de mettre en relation client final et prestataire à grande échelle et à coût marginal quasi nul. Il n’y a pas à proprement parler de contrat entre l’opérateur de la plateforme, ses clients et ses prestataires, juste l’acceptation de conditions générales d’utilisation (CGU). Dans la pratique, il y a bien des contrats, implicites, mais ce qui régit tout, notamment dans la relation avec les prestataires, ce sont les conditions générales d’utilisation. La prestation ne se passe que dans le cadre des CGU, une fois que celles-ci sont acceptées.

Les CGU sont l’avenir du contrat de travail

Il est beaucoup plus simple de modifier unilatéralement des CGU qu’un contrat, fût-il de prestation ou de travail. On peut y ajouter des clauses comme le renoncement à certains droits et le seul fait de ne pas accepter la modification unilatérale prive le prestataire de son activité. Il sort du système. Il n’est ni contractant, ni salarié, ni prestataire : il est l'utilisateur d’une plateforme dont il doit accepter les conditions générales d’utilisation avant de rentrer dans une logique de prestation plus classique. Les CGU sont la barrière à l’entrée qui permettent ensuite de contractualiser «normalement», sachant que les clauses les moins acceptables étaient dans les CGU qu’il fallait accepter en amont.
L’avantage des CGU, c’est qu’on peut y mettre des clauses qui ne seraient jamais acceptables dans un contrat de travail ou un contrat classique. Le prestataire est libre d’accepter ou non, d’utiliser la plateforme ou non. Ainsi s’il le veut, il se plie à ses règles. Il n’est ni employé, ni contractant. C'est juste un utilisateur.
A l’heure de l’économie des plateformes, ne cherchez pas plus loin l’avenir du contrat et de la relation de travail : ce sont les conditions générales d’utilisation des plateformes.
De quoi faire frémir ou satisfaire les DRH…. selon leurs valeurs.
Article initialement publié sur Bloc-notes, le blog de Bertrand Duperrin.
  • A propos

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bertrand-duperrinBertrand Duperrin est Digital Transformation Practice Leader chez Emakina. Il a été précédemment directeur conseil chez Nextmodernity, un cabinet dans le domaine de la transformation des entreprises et du management au travers du social business et de l’utilisation des technologies sociales. Il traite régulièrement de l’actualité social media sur son blog.
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Après les Panama Papers, les nouvelles ambitions de la start-up Linkurious

Après les Panama Papers, les nouvelles ambitions de la start-up Linkurious


L'enquête sur les « Panama Papers » n'aurait peut-être pas été aussi rapide sans la technologie développée par cette start-up. Basée à Paris, Linkurious a travaillé pendant un an avec le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) qui a mobilité plus de 300 journalistes dans 70 pays afin d'analyser les documents. Et pour cause : elle développe une plateforme d'analyse de jeux de données afin de détecter les corrélations et les liens entre ces données.
Linkurious a fourni aux journalistes «une interface Web pour laquelle ils pouvaient rechercher dans la donnée et trouver des connexions entre des adresses, des individus, des sociétés offshores», explique à Frenchweb Sébastien Heymann, le fondateur. Il faut dire que l'ICIJ connaissait déjà bien la start-up parisienne puisqu'elle avait déjà collaboré avec elle dans le cadre des « Swiss Leaks ».

Ouvrir un bureau aux Etats-Unis

Outre l'ICIJ, la société s'adresse principalement aux organismes devant analyser des transactions financières, comme le ministère de l'Economie, pour la détection des fraudes à la TVA, ou même le groupe d'assurance Aviva. Pour des raisons de sécurité des données, le logiciel de Linkurious est installé sur site, et non en cloud, ce qui implique un modèle économique différent des éditeurs commercialisant leur offre en Saas (comme un service, ndlr).
Les « Panama Papers » ont offert une forte visibilité à Linkurious : «Nous avons vu une belle explosion du nombre de contacts très intéressants pour commencer à évaluer notre solution», détaille Sébastien Heymann. Désormais, la start-up, qui est basée à la pépinière Paris Soleillet, se fixe pour objectif de recruter de nouveaux employés et d'ouvrir un bureau aux Etats-Unis, où elle réalise déjà un tiers de son chiffre d'affaires. Pour y parvenir, une levée de fonds est envisagée.
Interview Sébastien Heymann, le fondateur de Linkurious :

  • Linkurious : les données clés
PDG : Sébastien Heymann
Siège social : Paris
Création : 2013
Activité : logiciel d'analyse de données
Effectif : 6 collaborateurs
  • L’entreprise de demain
Chaque jour, Frenchweb met en avant une jeune entreprise en croissance pour découvrir sa stratégie et ses objectifs de développement. Vous avez fondé une société en croissance?  Faites vous connaître!

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