jeudi 28 avril 2016

Ce qu'attendent les Français du numérique pour changer la politique

Ce qu'attendent les Français du numérique pour changer la politique 

http://www.frenchweb.fr

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/02/elysee-rue-saint-honore.jpg
Palais de l'Elyse 
A l'heure du numérique, comment changer le système politique français? 
Peut-on par exemple y mettre véritablement de la participation citoyenne. 
L'étude «Portrait de la France Numérique» publiée ce mardi par Renaissance Numérique
le think tank de la société numérique tente d'apporter des pistes. 
L'étude réalisée avec Médiamétrie a été menée auprès de 1 000 internautes âgés de 15 ans et plus, représentatifs de la population internaute résidant en France.
53% des Français attendent en priorité des pouvoirs publics qu’ils développent des services administratifs en ligne (impôts, passeports, etc.), 
et qu’ils soient plus transparents concernant les budgets administratifs.
Plus surprenant, ils sont à peine plus d’un tiers à souhaiter pouvoir voter par Internet (36%), et à attendre l’ouverture des données publiques (34%).
Selon les auteurs de l’étude, les jeunes (15-34 ans) sont plus sensibles au développement d’outils de participation citoyenne, comme les pétitions en ligne par exemple, et peu intéressés par la transparence des budgets administratifs. 

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/04/renaissance-numerique-1.png
renaissance-numerique-1
On notera que seuls 7% des répondants déclarent avoir participé à des concertations en ligne organisées par des administrations publiques, 
(à l’image du budget participatif de la ville de Paris par exemple).
29% des répondants n’utilisent pas Internet à des fins politiques (la proportion augmente avec l’âge, avec 32% des plus de 50 ans à déclarer être dans cette situation). 19% des répondants déclarent ne pas être intéressés par les outils politiques en ligne. 


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AccorHotels franchit une nouvelle étape dans le projet d’acquisition de Fairmont Raffles Hotels International

AccorHotels franchit une nouvelle étape dans le projet d’acquisition de Fairmont Raffles Hotels International avec l’obtention des autorisations de l’ensemble des autorités de la Concurrence


Communiqué de presse http://pressroom.accorhotels-group.com/

26 avril 2016
 
AccorHotels annonce ce jour avoir reçu les autorisations de toutes les autorités de la concurrence des juridictions concernées, satisfaisant ainsi l’une des conditions nécessaires à la finalisation du projet d’acquisition de Fairmont Raffles Hotels International.
Comme annoncé, la prochaine étape clé pour finaliser cette opération sera la tenue de l’Assemblée Générale Extraordinaire des Actionnaires, qui sera appelée à se prononcer sur l’augmentation de Capital réservée, ainsi que la nomination au Conseil d’Administration du groupe des représentants de Qatar Investment Authority et Kingdom Holding. Celle-ci devrait être convoquée dans les semaines qui viennent. La clôture de la transaction est prévue pour mi-2016.
À PROPOS DE ACCORHOTELS
AccorHotels, un groupe uni autour d’une même passion, l’accueil, et porté par une même promesse : Feel Welcome.
Plus de 190 000 femmes et hommes, sous enseignes AccorHotels, veillent chaque jour sur des milliers d’hôtes dans 3 900 hôtels implantés dans 92 pays.
Premier opérateur hôtelier au monde, AccorHotels met au service de ses clients, partenaires et collaborateurs :
- ses deux expertises d’opérateur/franchiseur (HotelServices) et de propriétaire/investisseur (HotelInvest) ;
- un large portefeuille de marques de renommée internationale allant du luxe (Sofitel, Pullman, MGallery, Grand Mercure, The Sebel) à l’économique (ibis, ibis Styles, ibis budget, adagio access et hotelF1) en passant par le milieu de gamme (Novotel, Suite Novotel, Mercure, Adagio) ;
- la puissance de sa place de marché et de son programme de fidélité Le Club AccorHotels;
​- l’engagement depuis près de 50 ans d’une entreprise citoyenne et solidaire avec son programme PLANET 21.
ACCOR SA est une société cotée sur Euronext Paris (Code ISIN : FR0000120404) et sur le marché OTC aux USA (Code ACRFY)


Fragilité du projet de reprise des EAUX QUEZAC

Fragilité du projet de reprise des EAUX QUEZAC
27 avril 2016 à 14h44  http://www.fusacq.com/buzz

La SOCIETE DES EAUX DE MONT ROUCOUS

Capture d'écran: https://www.mont-roucous.com/
(siège social à Lacaune-Les-Bains/ Tarn, CA 33 millions d'euros) 
est entrée en négociation le 10 mars dernier pour racheter son concurrent Quézac 
qui appartient au groupe NESTLE 
(siège social à Issy les Moulineaux/ Hauts-de-Seine, CA 7 milliards d'euros).

La société des Eaux de Mont Roucous annonce la lancée d'un second audit, 
car le Groupe Nestlé avait mis en avant la fragilité du premier projet industriel de reprise. 
En effet ce projet industriel ne serait pas en phase avec les objectifs affichés.

Le désaccord porte aussi bien sur l'aspect commercial que sur l'aspect social. 
Nous suivrons l'évolution du second audit.

Source : Flash-infos

Capture d'écran: http://www.fusacq.com/buzz


Autres articles sur l'opération :

11/03/2016Boissons : Les eaux MONT ROUCOUS pourrait racheter QUEZAC (Flash Infos)
11/03/2016Les EAUX MONT ROUCOUS veulent racheter les EAUX QUEZAC à NESTLE WATERS (AFP)

5 conseils pour trouver ses premiers business angels

5 conseils pour trouver ses premiers business angels


Souvent indispensables pour les premiers financements d'une start-up, les business angels sont très courtisés. Toutefois, dans un contexte où de nouvelles entreprises ne cessent de voir le jour chaque semaine, les entrepreneurs ne sont pas tous logés à la même enseigne. En 2015, les business angels ont investi plus de 41 millions d'euros dans l'Internet français, selon le baromètre FIBAMY.
Stéphanie Hospital, la fondatrice du fonds One Ragtime, et Mounia Rkha, Seed Club Manager chez ISAI Gestion, partagent leurs conseils pour trouver ses premiers business angels.

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/04/St%C3%A9phanie-Hospital.jpg
Stéphanie Hospital1- Développer son réseau : ce n'est un secret pour personne. Pour boucler une levée de fonds, décrocher un sponsor ou trouver un business angel, tout commence par le biais du réseau à sa disposition. Cela commence par le réseau proche (famille, amis, collègues, etc.) pour progressivement trouver les bonnes personnes, celles qui permettront d'accélérer le développement de la société.  «Idéalement, un angel, c'est quelqu'un qui comprend le business, qui est positif, qui apporte une expertise et qui peut l'accélérer par son réseau d'expérience», note Stéphanie Hospital. ll est essentiel de bien s'entourer car ce sont des personnes qui accompagnent le projet pendant 5 à 7 ans. «C'est un mariage», ajoute la fondatrice de One Ragtime.
2- Avoir un mentor : créer des relations avec un mentor peut se révéler très astucieux et efficace. En lui demandant des conseils pour se lancer, il sera sensible à cette demande. Le jour venu pour lever des fonds, il est utile d'en parler à son mentor. «Ce dernier sera tenté d'investir et emmènera ses copains dans son sillage», commente Mounia Rkha, Seed Club Manager chez ISAI Gestion. Il faut prendre le temps d'échanger avec les business angels sur le long terme, ils seront contents de vous voir évoluer.
3- Ne pas s'associer trop vite : avant même de convaincre un quelconque investisseur, le succès futur de la start-up réside dans l'équipe qui la compose. Il est important pour un entrepreneur d'avoir cette capacité de choisir. Une très forte équipe se distingue par un binôme marketing business. Pour être crédible, l'équipe doit établir un plan financier solide et une feuille de route claire pour atteindre ses objectifs. Se précipiter ne va pas accélérer le développement de la start-up. Bien au contraire. Une levée de fonds mal ficelée au départ renvoie une mauvaise image du projet. «Une levée de fonds n'est pas une fin en soi, c'est développer un business», explique Stéphanie Hospital.

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/01/Mounia-Rkha-Une-credit-Olivier-Ezratty.png
Mounia-Rkha-Une-credit-Olivier-Ezratty4- Bien préparer son dossier : c'est une étape primordiale pour convaincre un business angel. Le dossier présenté constitue le premier contact concret avec le projet pour l'investisseur. Ainsi, il est impératif de veiller à la cohérence du projet et à l'intérêt que peut voir l'angel dans l'aventure. Il faut garder en tête que les business angels sont des investisseurs qui vont miser sur la tête de l'entrepreneur. Il est donc indispensable pour ce dernier de connaître parfaitement son marché et la concurrence qui en découle. Ces deux points doivent transparaître dans le dossier. De plus, il est plus facile de vendre un dossier à un business angel qui gravite dans la sphère dans laquelle se trouve la start-up en question. «Si vous prenez un business angel qui n'est pas du tout de votre secteur, ce sera compliqué de lui vendre votre vision. Il sera plus rassuré avec un dossier plus classique», confie Mounia Rkha, Seed Club Manager au sein d'ISAI. Les dossiers trop sophistiqués sont déconseillés, tout comme mentionner l'idée de revendre la boîte deux ans après.
5- Se faire recommander : c'est une option à ne surtout pas négliger. Se faire recommander peut mettre des business angels dans un contexte favorable pour une start-up en quête de financements. «J'ai une règle d'or : quand on m'envoie un dossier provenant de quelqu'un de mon réseau, je rencontre systématiquement les projets qui me sont recommandés», confie Mounia Rkha. Un business angel qui reçoit des entrepreneurs qu'on lui a recommandés sera plus susceptible de les écouter et de les aiguiller pour détecter leur potentiel.
 
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Maxence Fabrion

Journaliste stagiaire chez Adsvark Media / FrenchWeb - We Love Entrepreneurs

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Un entrepreneur en SASU paie plus d’impôts qu’un auto-entrepreneur…

[INSIDERS] Un entrepreneur en SASU paie plus d’impôts qu’un auto-entrepreneur…

  • Le chiffre du jour :

Un entrepreneur en SASU paie 1,5 fois plus de charges qu’un auto-entrepreneur (1/3)

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/04/ilovetax.png
ilovetaxSi un auto-entrepreneur paie en moyenne 6.325 euros de charges (cotisations sociales, impôts sur le revenu et impôts sur les société confondus), un entrepreneur seul ayant choisi d’exercer son activité avec un statut de SASU (Société par Actions Simpifiées Unipersonnelle) en paiera environ 1,5 fois plus. Les 9.785 euros de charges qu’il devra payer se composent de cotisations sociales à 94%, d’impôts sur le revenu à 5% et d’impôt sur les sociétés pour 1%. C’est ce que nous apprend une simulation de charges sociales et d’impôts réalisée par ILoveTax pour Frenchweb, une start-up lancée en 2014 par Jérémie Voslion, spécialiste en fiscalité et Cédric Bidet, développeur informatique.
Autrement dit, cela veut dire un revenu annuel de 13.000 euros pour l'entrepreneur en SASU ou pour l'auto-entrepreneur. Assez peu, mais que la start-up justifie ainsi: «Nous sommes partis de cas hypothétiques, mais qui sont significatifs par rapport aux demandes de simulations que l'on reçoit, et de ce que nous avons pu constater autour de nous. Nous nous intéressons ici au cas d'une personne qui vient de se lancer dans son projet, et qui se verse une faible rémunération car il perçoit des aides de Pôle Emploi». Dont acte. Espèrons que ses revenus puissent croître sur la durée…
image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/04/ilovetax-entrepreneur.png
ilovetax-entrepreneur
** Pour réaliser sa simulation, ILoveTax a considéré le profil d’un entrepreneur célibataire, profession libérale, réalisant 25.000 euros de chiffre d’affaires par an. Il se rémunère 13.000 euros net par an, et dépense 2.000 euros en frais divers.

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mercredi 27 avril 2016

Eve Sleep, le matelas qui vous promet de dormir sur vos deux oreilles

#MaddyPitch Eve Sleep, le matelas qui vous promet de dormir sur vos deux oreilles

https://www.maddyness.com/entrepreneurs 

Capture d'écran:

https://www.maddyness.com/entrepreneurs 

par

Eve sleep est une startup spécialisée dans la fabrication de matelas accessibles à tous. La jeune pousse conçoit et livre ainsi elle même ses produits à sa clientèle B2C, en lui assurant un matelas adapté à ses besoin et pour un prix minime. Charles Digby-Smith, COO de la startup, a répondu aux questions de la rédaction.

Quel est votre constat de départ ?

Les quatre fondateurs ont constaté que les acheteurs de matelas, indépendamment de la façon dont ils le formulaient pendant leur recherche, étaient heureux (dans 95% des cas) sur le même matelas… alors que les grandes marques de matelas proposent toutes sortes de matières, de fabrications, et se cachent derrière un jargon technique pour justifier des prix tous plus faramineux que les autres.
eve sleep matelas

Quelle est votre solution ?

Nous avons créé le matelas Eve de façon itérative. Cela nous a pris quatre ans et 70 000 produits vendus à travers le monde pour créer LE matelas qui s’adapte au plus grand nombre.

Quel est votre business model ?

Notre business model est “classique” : un pure player B2C dans autant de pays que possible (à l’heure actuelle nous sommes présents en Angleterre, aux  USA, en Allemagne et en France).
Une ligne B2B pour les professionnels de l’hôtellerie sera sûrement proposée ultérieurement.
eve sleep

Pouvez-vous nous raconter votre plus belle anecdote de startuper ?

En octobre 2009, la livraison du 1er client de ma première startup. Je l’ai faite en personne pour faire une “surprise” au client… Et on est tombé sur une dame des plus charmantes pas du tout dans la cible qu’on imaginait (assez âgée alors qu’on était un pure player). Ça nous a fait partiellement remettre en cause notre stratégie com et market, et on a bien fait car on a eu plein de clients similaires par la suite.

Quelle a été votre plus grosse galère ?

En avril 2013, le plantage de ma première startup et dépôt de bilan. La fin d’une belle aventure et plein de bonnes leçons, mais j’étais très inquiet pour les salariés. On a galéré comme jamais avec les autres associés mais on les a tous recasés dans d’autres jobs.
eve sleep matelas 2

Recherchez-vous actuellement des fonds ?

Nous préparons une levée de fonds d’environ 7 millions de livres sterling (environ 9 millions d’euros).

Une actualité particulière à mettre en avant ?

Nous avons lancé officiellement Eve Sleep en France, en février 2016.

mardi 26 avril 2016

Les Lyonnais de Tilkee signent avec Adecco…

[INSIDERS] Les Lyonnais de Tilkee signent avec Adecco… http://www.frenchweb.fr

Par | le 25 avril 2016 | 

  • Le deal :

Tilkee signe avec Adecco pour équiper des commerciaux

Nouveau contrat pour Tilkee. La start-up lyonnaise qui édite un outil d'optimisation des relances de prospects, annonce le déploiement de son offre chez Adecco, le réseau d'agences de travail temporaire. Elle viendra ainsi compléter l’outil de gestion des ventes des forces commerciales du groupe de ressources humaines. Plusieurs commerciaux d'Adecco utiliseront ainsi la technologie développée par Tilkee pour relancer leurs clients.
Il faut dire qu'Adecco et Tilkee se connaissaient déjà. La jeune pousse présidée par Sylvain Tillon avait été lauréate du « Startup Tour 2015 ». Fondée en 2012, Tilkee compte d'autres grands groupes dans son portefuille de clients, comme Gazprom ou Orange. «Nous sommes convaincus que ce partenariat va permettre d’optimiser nos démarches commerciales en fonction des spécificités de nos clients », déclare Jerick Develle, directeur du Marketing, de l’innovation et de la communication du Groupe Adecco en France.

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Withings va être racheté par Nokia pour 170 millions d’euros

Withings va être racheté par Nokia pour 170 millions d’euros

Nokia ne voulait pas passer à côté de la révolution IoT. C'est en rachetant les Français de Withings, concepteur d'objets pour le bien-être, qu'il va pouvoir concrétiser son ambition. Le groupe finlandais, ancien acteur de la téléphonie en reconversion, va racheter la société basée à Paris pour 170 millions d'euros (191 millions de dollars), d'après la presse américaine. En février dernier, Nokia annonçait la création d'un fonds de 350 millions d'euros destiné à l'investissement dans les nouvelles entreprises de l'IoT.
Fondé en juin 2008 par Eric Carreel, co fondateur d’inventel et Sculpteo, Frédéric Potter, co fondateur de Cirpack et Cédric Hutchings, Withings a développé une gamme de produits et services tels des trackers d'activité (Pulse, montres connectées), pèse-personne Wi-Fi, tensiomètre, ou encore le système connecté pour le sommeil. 
En 2013, Withings avait levé 23,5 millions d’euros auprès de Ventech, Idinvest Partners, et 360 Capital Partners. Bpifrance avait également participé à ce tour de table. Alors que la société réalisait 50% de son chiffre d'affaires à l'international, son ambition devait être la conquête de nouveaux marchés.
«En associant les produits primés et les salariés talentueux de Withings à l’expertise et aux innovations mondialement reconnues de Nokia Technologies, nous nous plaçons en tête de la prochaine vague d’innovations en matière de santé numérique», affirme Ramzi Haidamus, le président de Nokia Technologies.
« Nous sommes heureux de rejoindre Nokia et d’aider les personnes à travers le monde à partager notre vision de la santé connectée », précise Cédric Hutchings, le CEO de Withings qui prendra la direction de la nouvelle entité santé digitale de Nokia. Withings sera rattaché à la branche d’activités Nokia Technologies. 
La société emploie environ 200 personnes, basées à Paris, aux Etats-Unis et à Hong Kong. L'acquisition devra être finalisée au début du troisième trimestre 2016. Avec cette acquisition, Nokia se place sur le marché de la e-santé. Ce sont 6,4 milliards d'objets qui devraient être connectés à Internet dans le monde cette année, selon Gartner, soit 30% de plus qu'en 2015. Un chiffre qui devrait atteindre les 20,8 milliards d'ici à 2020, selon les projections du cabinet.

REVOIR: L'interview d'Alexis Normand, directeur du développement santé chez Withings chez Frenchweb, sur le marché B2B (janvier 2016).

 
  • Withings: les données clés
Fondateurs : Eric Carreel, Cedric Hutchings et Fred Potter
Création : 2008
Siège social : Issy-les-moulineaux
Activité : objets connectés pour l'e-santé
Financement : 23,5 millions d'euros levés en 2013
Lire aussi: Nokia accélère dans l’IoT avec un fonds de 350 millions de dollars


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lundi 25 avril 2016

Le groupe LEBON rachète les THERMES ALLEVARD

Le groupe LEBON rachète les THERMES ALLEVARD http://www.fusacq.com/buzz
22 avril 2016 à 14h21 

Capture d'écran: http://www.compagnielebon.fr/

Le rachat des THERMES ALLEVARD (siège à Allevard) a été officialisé en début de mois par le tribunal de commerce de Grenoble.

Ils appartenaient jusqu'ici à la municipalité et ont été rachetés par le groupe LEBON, spécialisé dans l'hôtellerie et le thermalisme, qui possède les thermes de Brides-les-Bains.

Il s'agit pour lui d'une première étape en vue de la consolidation de la présence de LeBon dans ce secteur avec la nouvelle marque Sources d'Equilibre.

Le groupe veut acheter des stations en France et à l'étranger, notamment au Maghreb et dans les pays du Golfe.

Les Thermes Allevard complètent l'offre.

Source : Flash-infos


Toute l'actualité de : - COMPAGNIE LEBON


François Damiens ne veut pas faire de pub pour…


AccueilAUDACEFRANçOIS DAMIENS NE VEUT PAS FAIRE DE PUB POUR…

François Damiens ne veut pas faire de pub pour…http://www.influencia.net/fr


Publié le 22/04/2016

Image actu

Dévoiler les coulisses de la publicité pour faire rire le consommateur. Bonne idée !

Comment parler de transparence sans tomber dans « l’egotrip » ou le ronflant ? Bah, vous utilisez le troisième degré et si possible avec un personnage connu, sympathique et surtout qui sait faire rire. Voilà en deux-trois mots ce qu’a réussi à faire l’agence Rosapark pour LeLynx.fr, un comparateur d’assurance pas très « crétynx » comme il se définit.



La campagne, découpée en plusieurs films d'environ une minute, mise sur l’humour. Elle met en scène l’acteur François Damiens en train de négocier son image avec son agent pour la future campagne du site Lynx. L’artiste devenu, selon lui, incontournable fait preuve d’une condescendance et d’un narcissisme de haute volée lorsqu’il s’agit d’accepter le contrat et le cachet qui va avec.

L’idée de cette campagne, bien écrite, est de faire découvrir, en forçant les traits, les coulisses de la pub. Un message de transparence censé servir la mission première du comparateur : la clarté et la limpidité du service. Une façon comme une autre de créer de la proximité et de l’affectivité avec le consommateur et quoi de mieux que l’humour pour arriver à ses fins. Bon visionnage !

Découvrez le premier épisode :

Gaël Clouzard
Rédacteur en Chef & Associé. En charge de l'éditorial, du développement digital et papier d'INfluencia et contemplatif !

Twitter : @G_ael

15/04/2016 - Lancement opérationnel de l'Agence France Entrepreneur présidée par Mohed Altrad

AFE - Communiqué de presse - 15 avril 2016

L'Agence France entrepreneur (AFE) a été lancée opérationnellement le 13 avril 2016, lors du troisième Comité interministériel à l'Egalité et à la Citoyenneté tenu à Vaulx-en-Velin.
L'AFE renforcera l'accompagnement de tous ceux qui désirent créer et développer leur entreprise, notamment et significativement dans les territoires fragiles où l'offre d'accompagnement et de financement est aujourd'hui insuffisante.


Capture d'écran: https://www.afecreation.fr

L'AFE s'appuiera sur les ressources de l'APCE dont elle reprend notamment les missions d'information et d'orientation des porteurs de projet et entrepreneurs et de promotion de l'entrepreneuriat.
Elle est également investie de nouvelles missions, en particulier le déploiement de la stratégie nationale de soutien à l'entrepreneuriat, la coordination de la mise en œuvre de l'action publique au niveau national, et le renforcement de l'articulation des actions nationales et territoriales.
Son action visera à :

- favoriser les créations et les reprises d'entreprises plus pérennes et créatrices d'emploi ;

- aider au développement des très petites entreprises (TPE) et des petites et moyennes entreprises (PME) qui créent de l'emploi ;
- innover pour créer un cadre plus favorable à l'initiative économique.

Mohed Altrad
indique que « l'AFE a une mission particulière à remplir au bénéfice de tous ceux qui sont aujourd'hui les plus éloignés de la chaîne entrepreneuriale et qui aspirent à devenir des acteurs du développement économique de ce pays ».
L'AFE a pour membres fondateurs, l'Etat, la Caisse des Dépôts et Consignations, l'Association des Régions de France, le Conseil supérieur de l'Ordre des experts-comptables, CCI France et l'Assemblée permanente des Chambres des métiers et de l'artisanat.
Mohed Altrad

Mohed Altrad, premier Français à remporter en 2015 le Prix mondial de l'Entrepreneur de l'année, décerné par le Cabinet EY, préside l'entreprise éponyme.
Originaire de Syrie, arrivé en France très jeune dans les années soixante-dix, il réalise une carrière d'ingénieur après l'obtention d'un doctorat en informatique puis crée sa première entreprise en 1984. L'année suivante, il rachète dans l'Hérault un fabricant d'échafaudages en faillite.
En 30 ans, Mohed Altrad procède à plus de soixante acquisitions, fusions et créations d'entreprises en Europe et dans le monde.
Aujourd'hui, le Groupe Altrad, leader européen de ce secteur industriel, est présent dans plus de 100 pays, déploie 170 filiales et, avec ses 22 000 salariés réalise un chiffre d'affaires de près de 2,5 milliards d'euros. Mohed Altrad affirme d'ailleurs que « ce multiculturalisme représente la véritable richesse de l'entreprise ».
Mohed Altrad est auteur d'ouvrages de management (Stratège de groupe, 1990 - Ecouter, harmoniser, diriger, 1992) et de romans à caractère biographique (dont Badawi, 2002 - L'Hypothèse de Dieu, 2006 - La Promesse d'Annah, 2012). Il est également président du Montpellier Hérault Rugby.
Contact presse : Catherine Sid, contactpresse@afecreation.fr



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Olarent simplifie la relation entre propriétaires et locataires

#SmartCity Olarent simplifie la relation entre propriétaires et locataires

https://www.maddyness.com



par

Lancée il y a seulement quelques semaines, Olarent est une plateforme de paiement de loyers et de gestion des relations entre propriétaires et locataires de logements.  

Basé à Neuilly sur Seine, Olarent fait partie de ces startups qui veulent donner un coup de pied dans la fourmilière de l’immobilier. Le marché, encore tenu en majorité par un bon nombre d’agences aussi imposantes que vieillissantes, entame doucement sa transformation vers le numérique, et la startup compte bien y apporter sa pierre.
Le marché immobilier de la location longue durée n’a pas connu de rupture majeure depuis des décennies. Les propriétaires sont constamment en recherche de plus de garanties face à des risques de défaut de paiement croissants
Maxime Sumberac, cofondateur et CEO d’Olarent
Olarent permet ainsi aux futurs locataires de facilement constituer un dossier en ligne, et d’y ajouter des nombreux compléments d’informations telles qu’un profil LinkedIn, des feuilles de paye, ou encore des références d’anciens propriétaires qu’ils peuvent solliciter directement sur la plateforme.
Coté propriétaires, toutes les candidatures sont rassemblées sur l’application, les profils vérifiés et les commentaires d’anciens propriétaires vont permettre de choisir un locataire autrement que sur un critère financier. Propriétaires et locataires mis en relation, le paiement du loyer est ensuite effectué depuis l’application à date fixe par une carte bleue ou un virement. Chaque paiement est suivi d’un commentaire et d’une note réciproque du locataire et propriétaire.
Dévoilées à la fin de la relation contractuelle, elles vont permettre de sécuriser les transactions et de pacifier la relation par un contrôle social simple qui pousse les deux parties à donner le meilleur d’elles-mêmes
Maxime Sumberac
Lancée il y a quelques semaines, la startup se rémunère sur un pourcentage de la transaction plafonné à 2%, peu importe les différents moyens de paiements. Elle prévoit, d’ici peu, de lancer rapidement des services complémentaires tel que les quittances de loyers et devrait communiquer très prochainement sur une première levée de fonds.
olarent 2

Le futur du contrat de travail ? Les CGU !

Le futur du contrat de travail ? Les CGU !

Par Bertrand Duperrin, expert FrenchWeb


La transformation digitale ne bouleverse pas seulement la manière dont on travaille, elle transforme également le cadre de ce travail. Ce sont les notions mêmes d’emploi et de contrat de travail qui sont chamboulées, selon certains, voire amenées à disparaître ou à n’être que l’apanage de quelques profils favorisés.
Parlons d’un sujet à la mode : l’ubérisation du travail. Sujet à la mode mais terme galvaudé.
L’ubérisation du travail recouvre une foule de choses :
• la rareté du travail salarié telle qu’on l'a connue
• la rareté du travail tout court (même si en la matière je parlerai davantage de la watsonisation à venir que de l’ubérisation en cours)
• la dégradation des relations employeur/employé, ce dernier devenant une commodité, substituable, interchangeable, un mal nécessaire auquel on dénie le moindre droit, la moindre protection.
Si du côté des clients un Uber connaît un succès retentissant, si du côté des chauffeurs il a permis à beaucoup de sortir de l’ornière et de trouver une activité, voire de trouver une place dans la société, on ne peut pas ne pas entendre non plus la voix des déçus. De tous les chauffeurs qui voient leur situation se dégrader du jour au lendemain, voient leurs conditions de collaboration changer sans autre forme de procès, se voient exclure du programme sans autre recours, voire se voient dénier le droit à se regrouper dans un syndicat pour faire valoir leurs droits. Bref, le côté sombre du travail flexible, qui nous fait bien comprendre que ce qu’on désigne souvent sous le nom enjolivé d’économie du partage ou économie collaborative (où sont le partage et la collaboration dans le système ?) est en fait une économie de la demande.

Le vrai enjeu derrière le freelancing : les plateformes

Une réponse facile est de dire que c’est logique. On rentre dans une économie de freelance et le freelance est moins protégé qu’un salarié. Il n’a pas de contrat de travail avec un employeur mais un contrat de prestation de services avec un client avec tout ce que cela implique. Le volet «social», assurances, etc., est de la responsabilité du travailleur et les conditions d’exécution et de rupture du contrat, si elles sont supposées être négociées, sont en fait imposées par le plus puissant des deux contractants. Donc pas le travailleur.
C'est une version dégradée du contrat de travail, adaptée au monde de demain, qui favorise l’activité et la flexibilité au détriment d’une certaine sécurité dans le temps. De toute manière, c’est comme ça. C’est là où nous allons et au moins ça met des gens au travail, peu importe le travail et les conditions dans lesquelles il se réalise. Finalement, peu importe qu’on soit d’accord ou pas avec ce qui va arriver : c’est irrémédiable et c’est la moins mauvaise solution dans le monde qui nous attend. Sauf que ce n’est pas du tout ce qui nous attend : la réalité est même pire.

Vers la «plateformisation» du travail

Ce qui caractérise l’économie vers laquelle nous allons n’est pas qu’elle soit une économie de freelance mais une économie de plateformes. A ce titre, je parlerai plutôt de «plateformisation» du travail plutôt que d’ubérisation.
La plateforme, c’est ce qui permet à une entreprise, Uber ou autres, de mettre en relation client final et prestataire à grande échelle et à coût marginal quasi nul. Il n’y a pas à proprement parler de contrat entre l’opérateur de la plateforme, ses clients et ses prestataires, juste l’acceptation de conditions générales d’utilisation (CGU). Dans la pratique, il y a bien des contrats, implicites, mais ce qui régit tout, notamment dans la relation avec les prestataires, ce sont les conditions générales d’utilisation. La prestation ne se passe que dans le cadre des CGU, une fois que celles-ci sont acceptées.

Les CGU sont l’avenir du contrat de travail

Il est beaucoup plus simple de modifier unilatéralement des CGU qu’un contrat, fût-il de prestation ou de travail. On peut y ajouter des clauses comme le renoncement à certains droits et le seul fait de ne pas accepter la modification unilatérale prive le prestataire de son activité. Il sort du système. Il n’est ni contractant, ni salarié, ni prestataire : il est l'utilisateur d’une plateforme dont il doit accepter les conditions générales d’utilisation avant de rentrer dans une logique de prestation plus classique. Les CGU sont la barrière à l’entrée qui permettent ensuite de contractualiser «normalement», sachant que les clauses les moins acceptables étaient dans les CGU qu’il fallait accepter en amont.
L’avantage des CGU, c’est qu’on peut y mettre des clauses qui ne seraient jamais acceptables dans un contrat de travail ou un contrat classique. Le prestataire est libre d’accepter ou non, d’utiliser la plateforme ou non. Ainsi s’il le veut, il se plie à ses règles. Il n’est ni employé, ni contractant. C'est juste un utilisateur.
A l’heure de l’économie des plateformes, ne cherchez pas plus loin l’avenir du contrat et de la relation de travail : ce sont les conditions générales d’utilisation des plateformes.
De quoi faire frémir ou satisfaire les DRH…. selon leurs valeurs.
Article initialement publié sur Bloc-notes, le blog de Bertrand Duperrin.
  • A propos

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bertrand-duperrinBertrand Duperrin est Digital Transformation Practice Leader chez Emakina. Il a été précédemment directeur conseil chez Nextmodernity, un cabinet dans le domaine de la transformation des entreprises et du management au travers du social business et de l’utilisation des technologies sociales. Il traite régulièrement de l’actualité social media sur son blog.
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Après les Panama Papers, les nouvelles ambitions de la start-up Linkurious

Après les Panama Papers, les nouvelles ambitions de la start-up Linkurious


L'enquête sur les « Panama Papers » n'aurait peut-être pas été aussi rapide sans la technologie développée par cette start-up. Basée à Paris, Linkurious a travaillé pendant un an avec le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) qui a mobilité plus de 300 journalistes dans 70 pays afin d'analyser les documents. Et pour cause : elle développe une plateforme d'analyse de jeux de données afin de détecter les corrélations et les liens entre ces données.
Linkurious a fourni aux journalistes «une interface Web pour laquelle ils pouvaient rechercher dans la donnée et trouver des connexions entre des adresses, des individus, des sociétés offshores», explique à Frenchweb Sébastien Heymann, le fondateur. Il faut dire que l'ICIJ connaissait déjà bien la start-up parisienne puisqu'elle avait déjà collaboré avec elle dans le cadre des « Swiss Leaks ».

Ouvrir un bureau aux Etats-Unis

Outre l'ICIJ, la société s'adresse principalement aux organismes devant analyser des transactions financières, comme le ministère de l'Economie, pour la détection des fraudes à la TVA, ou même le groupe d'assurance Aviva. Pour des raisons de sécurité des données, le logiciel de Linkurious est installé sur site, et non en cloud, ce qui implique un modèle économique différent des éditeurs commercialisant leur offre en Saas (comme un service, ndlr).
Les « Panama Papers » ont offert une forte visibilité à Linkurious : «Nous avons vu une belle explosion du nombre de contacts très intéressants pour commencer à évaluer notre solution», détaille Sébastien Heymann. Désormais, la start-up, qui est basée à la pépinière Paris Soleillet, se fixe pour objectif de recruter de nouveaux employés et d'ouvrir un bureau aux Etats-Unis, où elle réalise déjà un tiers de son chiffre d'affaires. Pour y parvenir, une levée de fonds est envisagée.
Interview Sébastien Heymann, le fondateur de Linkurious :

  • Linkurious : les données clés
PDG : Sébastien Heymann
Siège social : Paris
Création : 2013
Activité : logiciel d'analyse de données
Effectif : 6 collaborateurs
  • L’entreprise de demain
Chaque jour, Frenchweb met en avant une jeune entreprise en croissance pour découvrir sa stratégie et ses objectifs de développement. Vous avez fondé une société en croissance?  Faites vous connaître!

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lundi 18 avril 2016

L’innovation au cœur des préoccupations d’ImpriFrance


L’innovation au cœur des préoccupations d’ImpriFrance 

http://www.caractere.net

lundi, 18 avril 2016 | Auteur La rédaction | Actualités

Le groupement souhaite s’ouvrir à d’autres marchés et entrer en terres inconnues.
Le vendredi 15 avril, à Paris, le groupement ImpriFrance a organisé sa « journée de l’innovation », en présence de 38 de ses sociétaires et avec l’appui de 13 partenaires. Pour le président Bruno Barbier, lors de cette rencontre, il s’agit de « ne plus se contenter d’objectifs situés au cœur du métier, mais d’observer ce qui se passe en dehors de la filière et d’entrer – éventuellement – sur des terres inconnues », en proposant, à terme, la création et le développement d’un laboratoire d’idées et d’essais. Bref, de ne plus se contenter d’associer les compétences acquises dans les entreprises pour servir le marché classique, mais de les décliner dans d’autres secteurs d’activité.

Capture d'écran: www.imprifrance.fr/

Dans ce cadre, une douzaine d’intervenants ont tenté de déchiffrer ce que pourraient être de nouveaux champs d’intervention. Après une introduction de Philippe Frémeaux (« Alternatives Économiques »), qui a dressé un état de la filière avec ses forces et ses faiblesses, une première table ronde s’est intéressée au développement de l’impression 3D, avec ses éventuelles opportunités pour les imprimeurs, permettant à ceux-ci d’entrer dans un nouveau monde en bénéficiant de la nouvelle révolution industrielle annoncée.
David Nidegger (L’Imprimeur 3D), Sylvain Ordureau (Vizua) ou Jean-Pierre Las (Global Graphic) ont tracé des pistes du côté de la création et de la gestion de fichiers et du prototypage, alors qu’Oliver Vénien (Micro Lynx) a fait part de ses premières expériences (réussies) dans la 3D et de l’apport de la technologie en complément du service fourni par l’impression (offset ou numérique).
Une seconde table ronde, sur le thème des passerelles entre le papier et le digital, a mis en valeur une multitude de possibilités de développement et de propositions de nouveaux services pour optimiser les opérations de communication des clients des imprimeurs : par la gestion interactive des PDF (Didier Roils, Goodbye Stratic PDF), le développement de plateformes éditoriales (Pierre-Nicodème Taslé, BeeBizness), l’emploi de papier connecté (Jérôme Idelon, OnPrint), le développement de solutions traçables (Laurent Berns, Trace A Code) ou, enfin, par une nouvelle approche de la vente (Mathieu Redon, Elantys). Bref, un ensemble de nouvelles opportunités à saisir pour faire du papier un support capable d’être enrichi pour une meilleure efficacité.
En conclusion, Olivier Delteil, responsable des activités numériques du groupe Les Echos, a expliqué le développement du groupe de presse via les nouveaux supports de communication et a démontré, chiffres à l’appui, comment l’imprimé et le digital pouvait faire bon ménage…

Capture d'écran: http://www.caractere.net

ROMANTICA GOLF CUP TOUR 2016

-- ROMANTICA GOLF CUP TOUR 2016 --

ROMANTICA GOLF CUP TOUR 2016
6 étapes prestigieuses dans 6 Exclusiv Golfs de la région parisienne
suivies d'un dîner à La Romantica, restaurant gastronomique italien à Clichy,
dans un site exceptionnel.

Mercredi 13 avril : Exclusiv Golf du LYS-CHANTILLY
Mercredi 18 mai : Exclusiv Golf de RARAY
Mercredi 15 juin : Exclusiv Golf de FEUCHEROLLES
Mercredi 6 juillet : Exclusiv Golf de BETHEMONT
Mercredi 7 septembre : Exclusiv Golf de CELY
Mercredi 5 octobre : Exclusiv Golf d'APREMONT

Formule scramble à 2, conviviale & callenching. Classement après chaque étape en net et en brut

Tarif par étape : 200 € HT par équipe (240 € TTC)
Tarif forfait 6 étapes : 1200 € HT par équipe (1440 € TTC)

Tarif exceptionnel pour vos invités au dîner uniquement : 45 € TTC (limité à 2 invités par joueur)
Formule idéale pour inviter vos clients à une ou plusieurs étapes via votre entreprise ou tout simplement pour vous faire plaisir à 2 !!! concept idéal et unique pour votre comunication.

Une idée & un concept signés Claudio Puglia
Renseignements & inscriptions : Agence Eventee - Pascal Chamorel
Tél. : 06 07 49 39 91 - Mail : pascal.chamorel@gmail.com

Gérard POCQUET était invité par Jacques SETBON de l'Agence de Fab partenaire
de la ROMANTICA GOLF CUP TOUR 2016.


Capture d'écran: Gérard POCQUET au centre

Capture d'écran: Jacques SETBON