samedi 3 février 2018

'Too Big To Fail'#gerardpocquet

Capture d'écran et source: https://www.investopedia.com/

What does 'Too Big To Fail' mean

"Too big to fail" describes the idea a business has become so large that a government will provide assistance to prevent its failure, as failure will have a disastrous ripple effect throughout the economy. If a large company fails, companies that rely on it for portions of their income might also be brought down, and a number jobs eliminated. Therefore, if the cost of a bailout is less than the cost of the failure to the economy, a government may decide a bailout is the most cost-effective solution.

BREAKING DOWN 'Too Big To Fail'

“Too big to fail” is the idea that specific businesses, such as the biggest banks, are so vital to the U.S. economy that it would be disastrous if they went bankrupt. The government would provide bailouts to protect creditors against losses and enable managers to retain their high wages and bonuses. The concept was integral to the financial crisis of the late 2000s, when the U.S. government disbursed $700 billion to save companies such as AIG on the verge of financial failure.

Background on Bank Reform

Because of bank failures during the Great Depression, deposit insurance and regulators such as the Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) were created to take over and efficiently liquidate failing banks. In 2007 and 2008, deeply indebted investment banks without FDIC protection faced failure as creditors and shareholders doubted their solvency. When Lehman Brothers went under, regulators discovered the biggest firms were so interconnected that only large bailouts would prevent half the financial sector from failing.

Dodd-Frank Act

The Dodd–Frank Wall Street Reform and Consumer Protection Act of 2010 was created to avoid future bailouts. Part of the Act requires financial institutions to create living wills outlining how they will liquidate assets quickly if filing for bankruptcy. In November 2015, an international board of financial regulators published rules requiring big banks to raise up to $1.2 trillion in new debt funding that can be written off or converted to equity in case of losses.

Debate over Solvency Solutions

According to a 2014 study by the International Monetary Fund (IMF), many lenders who believe governments will not let big banks go under produce annual savings up to $300 billion. The savings suggests an implicit subsidy could be at least as big as the big banks’ profits and governments should charge accordingly for the subsidy. In emerging markets such as China, the government owns the biggest banks, getting the upside in good times and the burden when banks need bailouts. However, a July 2014 study from the Government Accountability Office (GAO) showed any borrowing advantage has dramatically shrunk, making such a solution not feasible for the United States.
In December 2015, Standard and Poor’s downgraded U.S. big banks’ debt rating, saying new capital requirements could make bailouts less likely. Ultimately, global banks operate across borders, and no agreement exists among national authorities regarding responding to a financial crisis. Countries have different laws, asset protection procedures and court systems. Immediate prospects for an international treaty are nonexistent.

Plus de la moitié des Russes connaissent Bitcoin maintenant#gerardpocquet

Capture d'écran et source: https://crypto-analyse.org/

Plus de la moitié des Russes connaissent Bitcoin maintenant https://crypto-analyse.org/



Partager cet article...
Share on FacebookShare on Google+Tweet about this on Twitter
Plus de la moitié des Russes ont des connaissances sur le bitcoin, selon une nouvelle enquête. La sensibilisation est plus élevée chez les jeunes et dans les grandes villes. Les trois quarts des Moscovites se sentent informés à propos de la principale crypto-monnaie grâce à 185 000 publications dans les médias. D’une autre étude, Bitcoin est le mot le plus populaire dans les médias sociaux russes.
Plus de la moitié des Russes sont au courant de Bitcoin Dans un an avec des développements majeurs pour bitcoin, beaucoup plus de Russes ont pris conscience de la première crypto. 56% d’entre eux disent maintenant qu’ils connaissent Bitcoin, selon un récent sondage mené par VCIOM, le «Centre panrusse pour l’étude de l’opinion publique». Le nombre de répondants bien informés s’élève à 66% des utilisateurs actifs d’Internet.
La sensibilisation des jeunes Russes a atteint 75% (18-24 ans) et 71% des hommes connaissent le bitcoin. 74% des habitants de la capitale, Moscou, et la deuxième plus grande ville de Saint-Pétersbourg ont déjà pris connaissance de la crypto-monnaie décentralisée.
Cependant, peu d’informateurs possèdent une connaissance approfondie du bitcoin. Seulement un tiers d’entre eux savent que n’importe qui peut l’obtenir – 34% et 16% pensent que le bitcoin est effectivement interdit en Russie. Plus d’un quart sait, cependant, que les pièces de monnaie ne sont pas seulement achetées, mais peuvent aussi être minés (29%). Un autre 44% sont conscients que l’encaissement n’est pas encore légalisé en Russie.
Bien que souvent décrits comme un atout et définis comme «autres biens», 40% des participants à l’étude savent qu’ils peuvent utiliser Bitcoin pour acheter et vendre des biens et services. La question de savoir comment il est sûr de garder des fonds sur la blockchain divise les Russes. 36% d’entre eux pensent qu’il est difficile de voler de l’argent numérique. Les sceptiques, qui pensent que c’est facile, forment 33% de l’échantillon.

Bitcoin n’est pas très populaire en tant qu’opportunité d’investissement en Russie, révèle l’étude. Les deux tiers des personnes qui le connaissent, soit 67%, considèrent que la dépense de roubles sur bitcoins n’est pas rentable. Seulement 9% de tous les Russes estiment qu’ils achèteront la crypto-monnaie dans le futur.
Plus de la moitié des Russes connaissent Bitcoin maintenant
Une enquête récente menée par une société indonésienne a montré que moins de la moitié des citoyens russes s’attendent à une large adoption des cryptomonnaies au cours de la prochaine décennie. Les Russes interrogés par VCIOM disent que la raison principale de leur anxiété est l’information insuffisante sur le bitcoin. Les résultats d’une autre étude russe indiquent cependant une tendance susceptible de modifier cette évaluation.
Selon les données recueillies par Medialogia, le nombre de publications liées au bitcoin dans les médias russes a bondi l’année dernière à plus de 185 000, culminant à 56 000 en décembre. Les taux de change, les records et le nombre croissant de milliardaires bitcoin ont été largement couverts.
« Биткоин » (bitcoin) a grimpé au sommet parmi les mots les plus populaires dans les médias sociaux russes. Il a été mentionné dans 6.543.800 messages, révèlent les statistiques de Medialogia. « Блокчейн » (Blockchain) est deuxième avec près de 1,8 million de messages en 2017. Les mots russes pour la crypto-monnaie, l’exploitation minière et l’éthereum ont également fait partie du top 10, et ICO est le numéro 11.

More than Half of Russians Know About Bitcoin Now

Tout le monde en Russie n’est pas prêt à faire des prédictions optimistes basées sur les dernières données sociologiques. L’expert conseil de VCIOM, Oleg Chernozub, partage une règle empirique empruntée aux «investisseurs professionnels» :
Si le prix d’un actif est discuté dans les émissions de télévision pour les femmes au foyer, il va bientôt tomber !
« Nous attendrons et verrons », comme dit le proverbe russe. Les femmes au foyer pouront bientôt en savoir plus sur le bitcoin que leurs maris.
Librement traduit depuis Bitcoin.com
Partager cet article...https://crypto-analyse.org/
Share on FacebookShare on Google+Tweet about this on Twitter

Ewald Nowotny : N’étant pas transparent, “le Bitcoin est propice au blanchiment d’argent”#gerardpocquet


Bitcoin Blanchiment d'argent
Capture d'écran et source: https://www.crypto-france.com

Ewald Nowotny : N’étant pas transparent, “le Bitcoin est propice au blanchiment d’argent”


Ewald Nowotny, l’un des membres du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne, est connu pour ses prises de positions très critiques à l’égard du Bitcoin. Hier, il indiquait que l’actif pouvait être utilisé, grâce à son réseau opaque, pour financer des activités criminelles.
Ewald NowotnyS’il avait jusqu’ici été plutôt mesuré, Ewald Nowotny semble avoir récemment durci sa position. Évoquant la possibilité selon laquelle le Bitcoin pourrait constituer un actif de choix pour les criminels, il appelle à la mise en place d’un cadre réglementaire plus strict autour de l’actif numérique.
Voici ce qu’a déclaré hier M. Nowotny – qui occupe également le poste de gouverneur de la Banque centrale autrichienne – dans un entretien accordé au journal autrichien Oberoesterreichische Nachrichten :
“Les Bitcoins n’ont pas été créés de manière transparente et publique, et ils sont propices au blanchiment d’argent. Pendant longtemps, je pensais que le fait d’investir dans le Bitcoin devait rester quelque chose d’ordre privé. Désormais, j’ai le sentiment que des dispositions réglementaires sont requises”.
Une déclaration qui peut sembler étonnante, dans la mesure où la blockchain du Bitcoin est totalement transparente – et que tout le monde a la possibilité de “suivre” le parcours des BTCs, en s’appuyant sur un explorateur de blocs.
Quoi qu’il en soit, le dirigeant semble être désormais bien plus sévère à l’égard de la monnaie numérique. En novembre dernier, il déclarait que lui et ses collègues du Conseil des gouverneurs de la BCE “se [demandaient] si les législateurs et les banques centrales [devaient] intervenir“.
Désormais, alors que la BCE aimerait serrer la vis autour des crypto-monnaies, M. Nowotny appelle à des régulations plus strictes pour le BTC et consorts, alors qu’il juge que “les vannes du Bitcoin sont ouvertes“.
Il s’est félicité, lors de cet entretien, des décisions de Pékin, qui avait choisi en septembre dernier de mettre fin à l’activité des plateformes de trading de crypto-monnaies. M. Nowotny a ainsi salué l’initiative de son homologue chinois :
“Je suis d’accord avec ce qu’a déclaré le gouverneur de la Banque populaire de Chine : le Bitcoin constitue un problème qui relève de la police, pas de la politique monétaire”.

Un contexte pessimiste

Bitcoin CoinMais l’homme n’est pas le seul a appeler à la mise en place de lois plus contraignantes autour des crypto-monnaies.
La Corée du Sud a récemment interdit les comptes de trading anonymes, tandis que la Chine cherche actuellement à contraindre les mineur de Bitcoin à “sortir de manière ordonnée” de la région.
Par ailleurs, le ministre des Finances de l’Inde déclarait hier que l’utilisation du Bitcoin pourrait être interdite dans le pays.
Dans le même temps, on apprenait il y a quelques jours que les sociétés Bitfinex et Tether Limited avaient reçu une assignation à comparaître au début du mois décembre 2017. Une nouvelle qui a nourri les doutes sur la crypto-monnaie Tether (USDT), censée être garantie par des dollars, et dont le nombre continue d’augmenter.
Facebook annonçait de son côté qu’elle empêcherait désormais les sociétés de diffuser des publicités pour des crypto-monnaies et des ICOs, afin de mettre un terme à “des méthodes de promotion trompeuses“.
Cet après-midi, vers 14h50, le Bitcoin chutait pour la première fois de l’année sous le seuil des 7800 dollars, avant d’afficher un net rebond.
Prix Bitcoin inférieur à 7800 dollars le 2 février 2018
Références : CryptovestOberoesterreichische Nachrichten
Capture d'écran et source: https://www.crypto-france.com