Court traité d'histoire. Au développement du golf, en Ecosse au 18e siècle, correspond le développement de la franc-maçonnerie. Les premières règles de notre golf ont été rédigées parThe Honourable Company of Edinburgh Golfers, dont le fondateur était William St Clair of Roslin, premier Grand Maître de la Grande Loge d’Ecosse. D’autres suivront, dont The Society of St Andrews Golfers, devenue… leRoyal & Ancient. Voilà. Et, à la Grande Loge Nationale Française, au sein de la Province de Lutèce, il y a une loge dont le titre distinctif est « Les Compagnons de Saint-Andrews», dont la spécificité est de rassembler les golfeurs francs-maçons. C'est donc sous l'égide de la Province de Lutèce dirigée par Serge Barthélémy qu'est organisé l'Open de la Fraternité pour collecter des dons pour la Fondation de la GLNF l'Institut pour la promotion de l' Homme.
Vous savez tout.
#10 Ah non !
Ah non. Date :samedi 22 septembre Lieu :Golf d’Apremont Objectif de la Fondation :récolter des sous pour financer un chien-guide, pour des "enfants privés de lumière" - joliment dit... -, voire deux s'il y a du monde et si vous êtes généreux. Tarifs :green fee 70 euros (au lieu de 90), dîner 70 euros (idem), don obligatoire (oui, un enfant privé de lumière a besoin de votre aide : mini 100 euros. Certificat fiscal délivré en échange). A gagner :une Mazda CX5 est à gagner au trou n°8, mais il faut faire un trou en un. De multiples récompenses pour les champions des classements. 100 joueurs sont attendus, dont vous, et le dîner peut se faire à 200. Avenir :un autre Open est déjà en préparation.
Le Billet vert est la newsletter mensuelle du golf business. Elle est droppée chaque mois dans vos boîtes mails aux alentours du 18. Ce numéro a été envoyé à plus de 6 000 destinataires, professionnels du golf, du sponsoring et de la communication, grâce notamment à la collaboration de la Fédération française de golf,PGA France, UGolf, Blue Green et l’Association des Directeurs de Golfs de France (ADGF).
Le Billet vert n’a d’autre ambition que d’accompagner vos initiatives personnelles et de dresser avec vous, pas à pas, le constat d’un mouvement collectif en direction de la promotion du golf. Mois après mois, Le Billet vert gagnera en consistance grâce à vous, avec votre soutien, après ces premiers pas encore vacillants. Le Billet vert ne se fera pas sans vous. Nos informations nous sont précieuses, tout autant que votre partage : n’hésitez pas à inscrire tous ceux que vous aimez – ou pas – et à inviter les autres à adhérer à notre newsletter.
En attendant, n’oubliez pas de transférer Le Billet vert à vos collègues, clients, prospects ou amis impliqués ou intéressés par le business du golf. Ils peuvent s’abonner sur www.lestropheesdugolf.fr.
Nous tenons à votre disposition nos tarifs de pub très raisonnables et souples. N’hésitez pas à nous les demander par mail : lebilletvert@c-together.com
Antoine RobinFrédéric Pelatan arobin@c-together.com fpelatan@gmail.com @TonioRobino @fpelatan
L'histoire, un peu longue, commence au golf de Vaugouard.
L’on tapotait la balle en pratiquant un sport de plein air qui fait du
bien aux artères dans le Loiret, à une bonne petite heure de
Levallois-Perret, où siège la Fédération Française de Golf, au golf du
Vaugouard. C’est très joli, le Vaugouard. Le Président et son équipe
sont contents de vous accueillir avec le sourire – oh, que c’est bon,
ça ! – et l’on y passerait bien la soirée, histoire de prendre l’apéro
et dîner sur la terrasse grande comme ça, avant de se glisser dans une
des chambres avec vue sur fairway pour regarder passer les biches et les
bernaches. Les bernarches ? Oui, des oies, ramenées du Canada par
l’ancien directeur du golf, il y a 20 ans. Les Bernaches, quoi.
Tout ça pour dire que la vie était bien douce, en ce vendredi, avant même que notre délicat hôte du jour, Stéphane Coudoux,
confonde un peu les lettres de l’alphabet au moment du tirage au sort,
lorsque, Gérard, un de nos partenaires de partie, nous informa que La Grande Loge Nationale Française
organisera, le 22 septembre prochain sur le parcours d’Apremont, l’Open
de la Fraternité. Ouvert à tous, cet open en shotgun aura bien entendu
une dimension sociale, dans la droite ligne de la Fondation de la Grande
Loge Nationale Française. On vous briefe sur le côté pratique un peu
plus tard.
L'info. La vraie.
L’événement est rare. La franc-maçonnerie n’a jamais détesté vivre
cachée, et l’on se doute que les débats qui ont précédé la naissance de
l’Open de la Fraternité ont dû être riches. C’est même la première fois
que la Fondation GLNF L’Institut pour la promotion de l’Homme – elle est
organisatrice du tournoi - ouvre un de ses événements au grand public.
Développer la notoriété de la GNLF et de sa fondation, c’est l'un des
objectifs prioritaires de Jean-Pierre Servel, le Grand Maître de la
Grande Loge. L’autre objectif est un chouïa plus interne, mais il est
aussi servi par cet événement golfique : il s’agit de contribuer au
rapprochement de la Grande Loge Nationale de France, dite obédience
régulière, du Grand Orient de France, dit obédience irrégulière. Un
travail de fond qui passe par divers événements organisés depuis quatre
ans.
Bon, et pourquoi le golf, et pas une course de pédalos, par exemple ? Parce que figurez-vous que la franc-maçonnerie est à l’origine du golf tel
qu’on le connaît, avec ses règles de fair play, d’auto-arbitrage, de
maintien, de bonne tenue, de discrétion… et ses club houses.
Court traité d'histoire.
Au développement du golf, en Ecosse au 18e siècle, correspond le
développement de la franc-maçonnerie. Les premières règles de notre golf
ont été rédigées par The Honourable Company of Edinburgh Golfers,
dont le fondateur était William St Clair of Roslin, premier Grand
Maître de la Grande Loge d’Ecosse. D’autres suivront, dont The Society
of St Andrews Golfers, devenue… le Royal & Ancient.
Voilà. Et, à la Grande Loge Nationale Française, au sein de la
Province de Lutèce, il y a une loge dont le titre distinctif est « Les Compagnons de Saint-Andrews
», dont la spécificité est de rassembler les golfeurs francs-maçons.
C'est donc sous l'égide de la Province de Lutèce dirigée par Serge
Barthélémy qu'est organisé l'Open de la Fraternité pour collecter des
dons pour la Fondation de la GLNF l'Institut pour la promotion de l'
Homme.
Vous savez tout.
#10 Ah non !
Ah non. Date : samedi 22 septembre Lieu : Golf d’Apremont Objectif de la Fondation : récolter des sous pour
financer un chien-guide, pour des "enfants privés de lumière" - joliment
dit... -, voire deux s'il y a du monde et si vous êtes généreux. Tarifs : green fee 70 euros (au lieu de 90), dîner 70
euros (idem), don obligatoire (oui, un enfant privé de lumière a besoin
de votre aide : mini 100 euros. Certificat fiscal délivré en échange). A gagner : une Mazda CX5 est à gagner au trou n°8, mais
il faut faire un trou en un. De multiples récompenses pour les
champions des classements.
100 joueurs sont attendus, dont vous, et le dîner peut se faire à 200. Avenir : un autre Open est déjà en préparation.
Facebook continue de se frotter les mains. Instagram,
l’application rachetée 1 milliard d’euros en 2012 par la firme de Mark
Zuckerberg, vient d’atteindre la barre symbolique du milliard
d’utilisateurs. L’application de partage de photos et de vidéos devient
ainsi le quatrième service de Facebook à franchir ce cap après le réseau
social éponyme (2,2 milliards), l’application de messagerie Facebook
Messenger (1,3 milliard) et l’application mobile WhatsApp (1,5
milliard). En septembre, Instagram comptait 800 millions d’utilisateurs,
soit une progression de 200 millions d’abonnés en moins de dix mois.
Lancée en octobre 2010 par Kevin Systrom et Mike Krieger, Instagram
avait atteint le million d’utilisateurs en décembre de l’année de son
lancement. Après avoir franchi la barre des 50 millions d’utilisateurs
en mai 2012, l’application a profité de la force de frappe de Facebook
après son rachat pour accélérer sa croissance. Une fois les 500 millions
d’utilisateurs atteints en juin 2016, Instagram n’aura mis que deux ans
pour doubler ce chiffre et rejoindre le cercle fermé des applications
au milliard d’utilisateurs, même si cela tend à devenir une habitude
pour Facebook.
IGTV, le service de vidéos longue durée
Centré depuis le début sur les photos et les vidéos courtes, le
réseau social dirigé par Kevin Systrom veut désormais pénétrer le
segment des vidéos longues. Pour cela, Instagram a annoncé le lancement
d’IGTV, une nouvelle application permettant de regarder des vidéos
verticales plus longues mises en ligne par les comptes les plus
populaires de la plateforme.
Alors que les vidéos étaient jusque-là limitées à 1 minute sur le fil
de publications du réseau social et à 15 secondes dans les stories,
IGTV permet désormais aux comptes vérifiés d’Instagram, notamment les
célébrités, de publier des vidéos d’une durée maximale d’une heure. De
leur côté, les autres utilisateurs pourront mettre en ligne des vidéos
d’une durée de 15 secondes à 10 minutes. Disposant de son propre espace
sur Instagram et d’une application dédiée sur iOS et Android, IGTV
permettra à chaque utilisateur de créer sa propre chaîne. L’équipe de
France de football, Kim Kardashian, Kevin Hart, Enjoy Phoenix ou encore
David Guetta ont d’ores et déjà commencé à ajouter des vidéos sur leur
chaîne.
Offensive sur le terrain de YouTube malgré l’absence de monétisation
Avec ce concept, Instagram espère contrer YouTube en mettant l’accent
sur des vidéos conçues pour les supports mobiles. Néanmoins, la tâche
s’annonce immense pour l’application détenue par Facebook face à un
mastodonte de la vidéo comme YouTube, qui compte 1,8 milliard
d’utilisateurs dans le monde. Si l’audience d’Instagram, qui suit de
nombreux influenceurs et célébrités, offre un avantage certain à IGTV
pour croître rapidement, l’absence de rémunération pour les créateurs de
vidéos risque d’être un frein à son adoption pour l’instant. En effet,
Instagram a choisi de se passer de la publicité pour lancer son nouveau
service. Cependant, les dirigeants réfléchissent à une manière de
monétiser IGTV dans un futur proche. Pour l’heure, aucune option n’est
exclue.
Si IGTV constitue évidemment un atout supplémentaire pour Instagram
afin d’augmenter sa base d’utilisateurs, le service pourrait également
doper les revenus de la société si elle choisit la publicité pour
monétiser son service. Selon eMarketer, Instagram va générer des revenus
publicitaires de près de 5,5 milliards de dollars en 2018, soit un bond
de 70% par rapport à l’année précédente.
Télécommunications, transports, santé, commerce… Les géants
du numérique s’attaquent à toutes les briques constituant le monde dans
lequel nous vivons. Avec leur influence chaque jour un peu plus grande à
l’échelle mondiale, ils nourrissent des ambitions toujours plus
élevées. Au lieu de se contenter de créer des produits, ces mastodontes,
GAFA en tête, voient encore plus loin. Après avoir lancé pléthore de
services pour améliorer notre quotidien, ils s’intéressent désormais à
la gestion de nos villes.
Ainsi, Google va développer sa vision de la ville du futur avec la
construction d’un quartier entier à Toronto, au Canada, où les caméras,
les capteurs, les micros ou encore les interfaces permettront d’analyser
en temps réel l’activité et la qualité de vie. D’autres géants, comme
IBM, cherchent également à inventer la ville de demain dans laquelle les
algorithmes seront au service des citoyens. Cependant, en devenant des
urbanistes, ces firmes surpuissantes ne représentent-elles pas un risque
pour la souveraineté des villes et un danger pour nos libertés
individuelles ? Jean Haëntjens, économiste-urbaniste, spécialiste des
stratégies urbaines, s’est penché sur le sujet au travers de son ouvrage
Comment les géants du numérique veulent gouverner nos villes (Rue de l’échiquier).