vendredi 23 septembre 2016

Border line : la campagne qui provoque et choque


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Border line : la campagne qui provoque et choque


Publié le 22/09/2016 Benjamin Adler http://www.influencia.net
Twitter : @BenjaminAdlerLA

Six semaines avant la sortie en France du "Snowden" d'Oliver Stone, Dentsubos s'est pris pour la NSA pendant 15 jours, à Toronto. Pour faire passer le message du film, autant le confronter dans la vraie vie à des citoyens espionnés.

Présenté en avant-première mondiale lors du Festival international du film de Toronto, le très attendu "Snowden" d'Oliver Stone fait déjà jaser. Pas pour les arabesques artistico-politiques de son réalisateur mais pour la campagne de promotion, "Border line", mise en place pendant deux semaines par Dentsubos et Elevation Pictures. Le concept dépasse l'audace et la prise de risque, il provoque et choque. La démarche n'est pas gratuite pour faire parler : il faut malheureusement bien cela pour inciter le citoyen connecté naïf, aveugle, consentant ou mal informé, à réfléchir sur le respect de la vie privée par le tout sécuritaire logiquement imposé aux peuples occidentaux.

Pendant deux semaines et jusqu'au 18 septembre, DentsuBos et Elevation Pictures ont espionné à leur insu les passants empruntant l'intersection la plus fréquentée du Canada, aux abords de Dundas Square à Toronto. Des caméras de surveillance équipées d’une technologie de suivi de mouvements a permis d’accomplir la mission de l'activation : suivre les piétons de loin puis simultanément diffuser les images recueillies par les caméras sur un écran géant situé à Dundas Square. Lorsque les cibles insouciantes se sont vues à l’écran, leurs réactions choquées ont créé suffisamment de drame pour rebondir pleinement sur le propos du film : ils nous regardent ! Ou comment faire la pub d'un film sur les dérives de la surveillance de masse en se prenant pour la NSA.


Qui nous regarde ? Où ? quand ?


"Les réactions des gens sont vraiment révélatrices. Certains nous ont carrément dit qu'ils s'étaient sentis comme violés, d'autres terrifiés et quelques-uns nous ont même affirmé que c'était l'expérience la plus flippante de leur vie. Le plus interpellant c'est qu'en nous parlant, quasiment tous ont regardé autour d'eux comme s'il y avait encore des caméras à proximité ", commente Jon Frier, creative director chez Dentsubos. Pour cette opération très spéciale, l'agence biculturelle de Montréal et Toronto a fait appel à Cieslok Media pour le panneau d'affichage.

"Snowden a posé sa loupe sur une question troublante : « Qui nous regarde ? Où ? Quand ? ». Nous voulions démontrer au public ce que cela veut dire pour eux, d’une manière très personnelle. Evidemment, on s'est demandé si nous franchissions la ligne rouge", ajoute Jon Freir, qui peut être fier de son idée, présentée comme le mariage parfait entre message et média. En plus de l’activation à Dundas Square, le lancement du film est relayé par une campagne numérique. Interrogée par le journal local "The Globe and Mail" qui a rendu compte de l'opération, une "victime" de la campagne juge l'activation "brillante".  Car détaille t-elle : "Cela nous fait vraiment réaliser que les caméras de surveillance peuvent être partout, que des gens peuvent nous regarder et nous enregistrer à tout moment sans qu'on le sache. Je ne suis pas très au fait de l'histoire de Snowden, je sais juste qu'il lutte contre les lois liberticides et pour le respect de la vie privée. Pour mettre en lumière son combat, cette initiative était parfaite ". C'est ce qu'on appelle une expérience consommateur réussie !




jeudi 22 septembre 2016

Drones civils: le Français Redbird passe dans le giron de l’Américain Airware

emmanuel-de-maistre-redbird-2016
  • Airware va intégrer la solution Redbird dans sa gamme de produits.
     
  • Redbird avait levé 3 millions d'euros, dont 2 millions investis en 2015 par GDF Suez.
     
  • Sur le marché des drones professionnels en pleine accélération, Redbird cherchait à lever des fonds.
      

Drones civils: le Français Redbird passe dans le giron de l’Américain Airware

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/08/emmanuel-de-maistre-redbird-2016.jpg

Redbird, société éditrice d'un logiciel d'analyse des données des drones, a accepté l'offre de rachat de son concurrent Airware. Créé en 2011, soit deux ans avant Redbird, l'Américain met la main sur la solution développée par les Français pour en faire «un produit Airware». Redbird va devenir filiale à 100% d'Airware et les fondateurs de Redbird (Emmanuel de Maistre, Emmanuel Noirhomme, Benjamin Hugonet) rejoignent les actionnaires au capital d'Airware, pour un montant de l'opération non dévoilé.
Depuis sa création, Redbird avait levé 3 millions d'euros, dont 2 millions investis en 2015 par GDF Suez. Elle compte également Caterpillar à son capital.
Alors que Redbird est installé à San Francisco, les deux sociétés se sont positionnées sur le segment de la construction et du BTP. Toutes deux effectuent des relevés de données des chantiers, grâce à des drones professionnels. Redbird commercialise sa plateforme d'analytics en Saas et par abonnement. De son côté, Airware couvre le hardware, la plateforme Saas et le cloud.
Ce rachat intervient sur un marché du drone civil en pleine accélération. D'ici 2020, il devrait peser 127 milliards de dollars, selon PwC. «Le moment choisi est d’autant plus important que le secteur est aujourd’hui à un tournant : les entreprises ont dépassé le stade de l’expérimentation et ont désormais besoin de trouver et d’utiliser des solutions drones à grande échelle,» explique Emmanuel de Maistre, cofondateur de Rebdird.
Cet été, le cofondateur n'avait d'ailleurs pas caché le besoin en financements de sa société. Il rejoint ainsi les rangs des nombreuses start-up françaises qui ont opté pour un rachat pour changer d'échelle. De fait, Airware a les moyens de s'offrir la solution des Français. Depuis sa création, elle possède à son board de prestigieux investisseurs, tels Andreessen Horowitz et John Chambers, le président de Cisco.
Au total, Airware a levé plus de 70 millions de dollars, d'après Crunchbase, dont une dernière levée de fonds de 30 millions en mars 2016. Ils affronteront tous deux les acteurs du secteur du drone professionnel; Azur Drones, SkyCall, SenseFly, Delair Tech, ou encore Parrot.
REVOIR : L'interview d'Emmanuel de Maistre, cofondateur et CEO de Redbird

  • Redbird: les données clés :
Siège: San Francisco
Fondateurs: Emmanuel de Maistre, Emmanuel Noirhomme, Benjamin Hugonet
Création: 2013
Marché: drones civiles
CA : 1 million d'euros (2016)
Effectifs: 35 (Paris et San Francisco)
Concurrents: Azur Drones, SkyCall, SenseFly, Delair Tech, Parrot
Lire aussi: Sur le marché des drones civils, le Français Redbird a trouvé sa niche
Airware veut chambouler le monde de l’assurance avec ses drones professionnels
Captain Train, Withings… Une entreprise française en croissance peut-elle grandir seule?
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mercredi 21 septembre 2016

Vers quel type d’investisseurs se tourner lorsqu’on souhaite lever des fonds ?

Capture d'écran: https://www.maddyness.com

Vers quel type d’investisseurs se tourner lorsqu’on souhaite lever des fonds ?

Serena Capital vient de dévoiler la liste des fonds d’investissement français spécialisés dans les startups de la tech. Une manière pour les entrepreneurs de connaître les investisseurs vers lesquels se tourner lorsqu’ils s’apprêtent à réaliser un tour de table, selon leur stade de développement et leurs attentes. 

Startups de la tech, savez-vous toujours à quels fonds vous adresser lorsque vous souhaitez lever ? Que ce soit votre premier tour de table ou non, plusieurs critères entrent en compte lorsqu’il s’agit de contacter les bons investisseurs : votre chiffre d’affaires, le montant que vous souhaitez lever, vos ambitions et votre capacité à les réaliser, etc. 
Pour accompagner les jeunes pousses dans leur prise de décision, Serena Capital vient de publier une liste pratique d’une centaine de fonds français, spécialisés dans les startups de la tech. Si le fonds de capital-risque précise que les domaines de la MedTech et de la BioTech n’y sont pas intégrés, car ils demandent des compétences particulières, il espère par cette liste pouvoir aider les entrepreneurs d’autres pays européens à mieux connaître (ou découvrir) les investisseurs français.
Serena Capital est un fonds d’investissement “Entrepreneur Friendly” qui a à coeur d’accompagner et d’aider au mieux l’écosystème startups/ investisseurs. Cela passe par leur faciliter l’accès à l’information, leur donner des conseils réguliers, leur faire rencontrer les personnes difficilement accessibles de l’écosystème…
Alexandra André, directrice de la communication de Serena Capital
Chaque fonds est classé dans l’une des six catégories, selon son type : fonds généralistes, spécialisés dans les levées d’amorçage, fonds de private equity, fonds régionaux, fonds étrangers, fonds hard-tech. Puis sont détaillés leurs attentes : 10% de retour sur investissement pour certains, réductions fiscales pour d’autres, etc. Voici une infographie rassemblant la plupart de ces acteurs. Pour avoir plus de détails sur les différents investisseurs, ceux-ci sont rassemblés sur le blog de Serena Capital.
fonds investissements

Plus de la moitié des journalistes ne peut plus se passer des réseaux sociaux

Hand pulling sling shot preparing to shot the tree seed into the forest
Capture d'écran: http://www.frenchweb.fr
  • Une large marjorité de journalistes passent 2 heures par jour en moyenne sur les médias sociaux.
     
  • 90% des journalistes déclarent privilégier la rapidité sur l'analyse dans leur travail.   
  • Les journalistes utilisent les réseaux sociaux avant tout pour interagir avec leur audience (à 63%). Près de la moitié d'entre eux n'utilisent pourtant pas les données des médias sociaux pour mesurer l'efficacite de leurs contenus. 
      

Plus de la moitié des journalistes ne peut plus se passer des réseaux sociaux

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/09/catapulte.jpg

En moyenne, 62% des journalistes français estiment que les réseaux sociaux ont participé à la «dégradation des valeurs du journalisme traditionnel, comme l'objectivité», soit deux fois plus qu'en 2012, selon l'étude «Journalistes et médias sociaux» de la Canterbury Christ Church University, commanditée par Cision, acteur suédois du marketing social media.
L'étude a été menée auprès de 290 journalistes français. Sur cet échantillon, elle s'intéresse à la manière dont ces professionnels de l'information utilisent les médias sociaux au quotidien. S'ils sont critiques quant à leur impact sur la profession, plus de la moitié des répondants (56%) estiment malgré tout qu'ils ne pourraient plus s'en passer aujourd'hui. 

Plus de rapidité, moins d'analyse 

Premier constat de l'étude, plus des deux tiers des journalistes français estiment que les médias sociaux ont «profondément changé leur métier». 9 répondants sur 10 déclarent ainsi désormais privilégier la rapidité sur l'analyse, sans pour autant se sentir plus productifs. Seuls 34% estiment en effet que les réseaux sociaux leur permettent d'améliorer leur productivité. 
Si l'on considère les pratiques plus dans le détail, une majorité d'entre eux (69%) y passent en moyenne 2 heures par jour, pour promouvoir leurs contenus (à 71%) et pour réaliser une veille sur leurs thématiques de travail (à 70%). Ils sont également 60% à les utiliser pour interagir avec leur audience. En revanche, 43% des répondants déclarent n'avoir jamais utilisé les données fournies par les réseaux sociaux pour mesurer la pertinence et l'efficacite de leurs contenus, se privant ainsi d'une source d'information importante concernant les centres d'intérêts de leur audience. 

L'email reste la source première

Autre constat de l'étude: une grande majorité (63%) des répondants utilisent les réseaux sociaux pour s'adresser à leur audience, et un peu plus du tiers (36%) pour échanger avec d'autres médias.
Ils ne sont que 7% s'en servir pour interagir avec les professionnels des relations presse, et 10% pour contacter des experts. Et pour cause: ils préfèrent être contactés par mail (à 67%) ou bien par téléphone (à 40%). 

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/09/journalistes-social-media-cision-2016-1.png
journalistes-social-media-cision-2016-1 A noter, si 80% des répondants déclarent avoir de bonnes relations avec les professionnels des relations presse, moins de la moitié (47%) les considèrent comme des sources d'information fiables. 

Facebook et Twitter, réseaux préférés des journalistes

Interrogés sur la question, les journalistes déclarent privilégier Facebook pour la publication de leurs contenus (à 64%), et Twitter pour s'informer sur un sujet (à 57%). Un peu plus du tiers des répondants font également la promotion de leurs contenus sur LinkedIn, et 32% utilisent des blogs dans leur recherche d'informations. Les outils plus communautaires comme Vine ou Periscope sont quant à eux utilisés par moins de 10% des répondants pour partager du contenu, alors qu'ils sont 28% à s'y informer. 
**Méthodologie: étude réalisée auprès de 290 journalistes français, entre le 1er mars et le 15 avril 2016. 
LIRE aussi
5 tendances qui bouleversent les pratiques journalistiques
Live, VR, chatbots…comment les internautes veulent-ils consommer l’information?
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Claire Spohr

Claire Spohr

Chargée d'études à la Rédaction chez Adsvark Media / FrenchWeb - We Love Entrepreneurs
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mardi 20 septembre 2016

Le groupe Papyrus annonce étudier la vente de ses filiales françaises

Capture d'écran: www.papyrus.com


En quelques chiffres, le Groupe Papyrus France c'est :
  • Année de fondation : 1898
  • 145 collaborateurs
  • 175 000 tonnes de papiers et cartons vendus pour un chiffre d'affaires de plus de 170 millions d'euros
  • Assortiment en stock : plus de 4 300 articles
Capture d'écran: http://www.caractere.net

 Le groupe Papyrus annonce étudier la vente de ses filiales françaises

lundi, 19 septembre 2016 | Auteur La rédaction | Télégrammes

Dans un communiqué paru aujourd’hui, lundi 19 septembre, le groupe Papyrus annonce qu’il est en train d’étudier « des alternatives stratégiques pour ses filiales françaises, y compris une possible cession. Dans ce contexte, Papyrus est en discussion avec Inapa concernant la possible vente de Papyrus France à Inapa. Dans le cadre de ces discussions, Papyrus et Inapa ont conclu une lettre d’intention non engageante, et, à la demande de l’Autorité de la concurrence française, autorisé un test de marché préliminaire pour cette transaction potentielle ».

lundi 19 septembre 2016

Open de Golf de Rouvray. Samedi 8 octobre 2016 Golf de Seraincourt

Hole 17 Par 3 Départ des Jaunes 188 m Parcours Golf de Seraincourt
Mes Très Chers Amis Golfeurs,
Les Amis de Rouvray vous invite à participer à l' Open de Golf de Rouvray.
La 2ième rencontre aura lieu le Samedi 8 octobre au Golf de Seraincourt

-       Lieu : Golf de Seraincourt
-       Formule : Stableford
-       Accueil à partir de 13h03
-       Déjeuner à partir de 12h
-       Départ par 4 joueurs, à  12h 50
-       Green-fee : 58 €  au lieu de 67 € (dont 2€ pour la gestion de la compétition)
             Offert par le Golf un jeton de practice
-       Déjeuner : Formule « Golf » ou selon votre plaisir et heure de départ
Par retour de courriel, inscrivez-vous auprès de Gérard POCQUET:
@: finance.pocquet@gmail.com

Nom:
Prénom:
N° Licence:
Index:
Club:
Tél:
Email:
Déjeuner: OUI ou NON

Le Green Fee est payable au Club House, le Déjeuner et les boissons au Restaurant du Golf.
--
Au plaisir de vous lire ou de vous entendre.
Gérard POCQUET


POCQUET FINANCE
Cabinet Conseil en stratégie d'entreprise. Spécialisé en transmission d'entreprise
19, rue Monsigny - 75002 Paris
Mob + 33(0)6 12 13 26 02 - Tél: +33(0) 9 75 24 93 93
Follow us on http://financepocquet.blogspot.com
https://fr.linkedin.com/in/gpocquet
http://pocquetfinance.blogspot.com

Capture d'écran: Golf de Seraincourt

Capture d'écran: Golf de Seraincourt

Open de Golf de Rouvray. Samedi 8 octobre 2016 Golf de Seraincourt

Hole 17 Par 3 Départ des Jaunes 188 m Parcours Golf de Seraincourt
Mes Très Chers Amis Golfeurs,
Les Amis de Rouvray vous invite à participer à l' Open de Golf de Rouvray.
La 2ième rencontre aura lieu le Samedi 8 octobre au Golf de Seraincourt

-       Lieu : Golf de Seraincourt
-       Formule : Stableford
-       Accueil à partir de 13h03
-       Déjeuner à partir de 12h
-       Départ par 4 joueurs, à  12h 50
-       Green-fee : 58 €  au lieu de 67 € (dont 2€ pour la gestion de la compétition)
             Offert par le Golf un jeton de practice
-       Déjeuner : Formule « Golf » ou selon votre plaisir et heure de départ
Par retour de courriel, inscrivez-vous auprès de Gérard POCQUET:

Nom:
Prénom:
N° Licence:
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Le Green Fee est payable au Club House, le Déjeuner et boissons au Restaurant du Golf.
--
Au plaisir de vous lire ou de vous entendre.
Gérard POCQUET


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Capture d'écran: Golf de Seraincourt

Capture d'écran: Golf de Seraincourt

vendredi 16 septembre 2016

Le compte personnel de formation (CFP) ouvert aux travailleurs indépendants en 2018

Illustration 1

Le compte personnel de formation (CFP) ouvert aux travailleurs indépendants en 2018

Publié le 14 septembre 2016 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Illustration 1Crédits : © pict rider - Fotolia.com

Le compte personnel de formation (CPF), qui existe pour les salariés depuis 2015, pourra aussi bénéficier aux travailleurs indépendants à partir de janvier 2018. En janvier 2017, le CPF devient l'une des composantes du compte personnel d'activité (CPA) qui entrera en vigueur, mais uniquement pour les salariés.
Le compte personnel de formation (CPF), alimenté en heures, est utilisable, tout au long de la vie active, jusqu'à la retraite, pour suivre une formation qualifiante. Le CPF a remplacé en 2015 le droit individuel à la formation (Dif) des salariés.
À partir du 1er janvier 2018, le CPF sera ouvert aux travailleurs indépendants (artisans, commerçants, micro-entrepreneurs...), aux professions libérales ou professions non salariées, et à leurs conjoints collaborateurs.
Comme pour les salariés, leur compte est alimenté de 24 heures par année d'activité jusqu'à un crédit de 120 heures, puis de 12 heures par an jusqu'à un plafond de 150 heures.
L'alimentation du CPF sera subordonnée à l'acquittement effectif de la contribution à la formation professionnelle (CFP).
Les non-salariés pourront également bénéficier d'heures de formations supplémentaires (au-delà du plafond de 150 heures) accordées et financées par le fonds de formation des non-salariés ou la chambre des métiers et de l'artisanat.
Ils auront accès à certaines formations éligibles aux salariés, notamment :
  • formations permettant l'acquisition du socle de connaissances et de compétences,
  • accompagnement à la validation des acquis de l'expérience (VAE),
  • bilan de compétences,
  • actions d'accompagnement, d'information et de conseil dispensées aux créateurs ou repreneurs d'entreprises agricoles, artisanales, commerciales ou libérales, exerçant ou non une activité.

mardi 13 septembre 2016

Un concours de beauté mené par une IA jugée raciste


Un concours de beauté mené par une IA jugée raciste http://www.ladn.eu

Introduction
Tollé pour Beauty.AI, le premier concours de beauté jugé par une intelligence artificielle : il semblerait que cette dernière aime peu les peaux foncées.
Un concours de beauté international jugé par un algorithme a suscité la controverse après que les résultats aient été révélés. Quatre « machines » avaient été programmées afin de requérir à des critères objectifs tels la symétrie du visage (robot Symmetry Master), la pigmentation de peau et les rides (robot PIMPL), la ressemblance avec des mannequins et acteurs (robot MADIS) ou encore la vraisemblance entre l’âge donné et celui perçu informatiquement (robot AntiAgeist). Pourtant, au vue des résultats révélés par ces robots spécialement créés pour l’occasion, il semblerait que le facteur ‘peau blanche’ ait été prédominant.

Beauty.AI
Le concours, baptisé Beauty.AI, a enregistré près de 6 000 candidatures de personnes venant de plus de 100 pays, dont beaucoup d’Inde ou d’Afrique. Sur les 44 gagnants, les initiateurs du programme ont eu la mauvaise surprise de constater que presque tous étaient caucasiens, une poignée était asiatique, et un seul avait la peau foncée. Conclusion : les robots n’aiment pas les gens à la peau foncée.


Beauty.AI a été créé par les laboratoires Youth et est soutenu par Microsoft. Pour justifier les résultats, Alex Zhavoronkov, le directeur scientifique du programme, a invoqué le fait que les données utilisées pour nourrir les algorithmes et procéder à leur apprentissage afin d’établir des normes d’attractivité de beauté ne prenaient pas suffisamment en compte les minorités. « S’il n’y a pas suffisamment de personnes de couleur dans la base de données, alors vous courez le risque que les résultats soient biaisés », assure Alex Zhavoronkov. Ce dernier indique néanmoins avoir été stupéfait par les gagnants : instinctivement il aurait choisi la plupart.

Pour d’autres spécialistes, l’erreur est bien d’origine humaine : si l’algorithme est biaisé, c’est parce que les hommes qui l’ont créé avaient un parti pris.  «L’idée que vous pouvez venir avec une conception culturellement et racialement neutre de la beauté est tout simplement ahurissante. », explique Bernard Harcourt, professeur en droit et en science politique à l’université de Columbia, au Guardian.

lundi 12 septembre 2016

150 dessins pour (re)découvrir l’histoire des réseaux sociaux


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150 dessins pour (re)découvrir l’histoire des réseaux sociaux

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On peut lancer une revue papier et être bien dans son époque digitale. Pour fêter son nouveau numéro, GROOM utilise les ficelles du numérique pour revisiter à sa manière l'histoire de Facebook et Twitter.

Pour le lancement de son deuxième numéro intitulé : "Réseaux sociaux : addiction, révolutions, chatons", le magazine GROOM et l'agence M&C SAATCHI.ONE ont imaginé un dispositif pour mettre en lumière ce nouvel opus et booster leur communauté digitale, qui compte pour l'instant 53 abonnés Twitter et 2 350 fans sur Facebook. L’idée ? Jeter un coup d’œil dans le rétro et revenir avec pas moins de 150 illustrations sur les balbutiements du bébé de Mark Zuckerberg et de l’oiseau bleu. Consultés quotidiennement et comptant des millions d’utilisateurs, il est toujours bon de se rappeler comment tout a commencé pour ces deux réseaux sociaux.

A travers une expérience de lecture créative 100% smartphone animées par des illustrations pince-sans-rire , il suffit de vous rendre sur les comptes sociaux de GROOM pour commencer la lecture. Un moyen efficace de draguer un public plus jeune et de faire découvrir la ligne éditoriale du média, qui brosse le portrait de l’actualité et de notre société en bande dessinée. Une campagne qui démontre également toute la force du numérique pour mettre en valeur le papier et souligne, une fois de plus, que l'un et l'autre cohabitent parfaitement. 


Comment tout a commencé : Facebook


















samedi 3 septembre 2016

Mise en vente du groupement d'imprimeries Financière de l'avenir



Mise en vente du groupement d'imprimeries Financière de l'avenir

Mise en vente du groupement d'imprimeries Financière de l'avenir

Un appel d'offres de cession a été lancé qui sera clôturé le 12 septembre.

Le  par 

Appel d’offres de cession

L’étude de Me Bondroit a lancé un appel d’offres de cession d’un groupement d’imprimeries composé de 3 sociétés situées en France (Nord et Est), spécialisé dans l’impression multi-supports, la personnalisation, le façonnage et le routage de documents de marketing direct.
Les trois sociétés ont été placées en redressement judiciaire par jugements du Tribunal de commerce de Lille Métropole le 27 juillet 2016.

Chiffre d’affaires et effectif des 3 sociétés

En 2015, la société 1 (holding) a réalisé un chiffre d’affaires de 8,5 millions d’euros avec un effectif de 3 personnes, la société 2 (Nord) a réalisé un chiffre d’affaires de 22 millions d’euros avec un effectif de 176 personnes et la société 3 (Est) a réalisé un chiffre d’affaires de 12,6 millions avec un effectif de 46 personnes.

Date limite de réception des propositions

Les tiers intéressés doivent soumettre à l’administrateur judiciaire des offres tendant au maintien de l’activité des entreprises concernées.
Les propositions devront être transmises pour le 12 septembre 2016 à 18h au plus tard, accompagnées des documents prévus par les articles 642-1 et suivants du Code du commerce à Me Jean-Jacques Bondroit et à Me Carole Martinez.

Adresse des administrateurs judiciaires

Me Jean-Jacques Bondroit, 119 rue Jacquemars Giélée-59041 Lille Cedex - contact@bondroit-aj.com
Me Carole Martinez, 7 rue de Caumartin 75009 Paris - c.martinez@bcm-aj.com
Johan Maumus

vendredi 2 septembre 2016

Monster trouve preneur pour moins de 387 millions d'euros => "RANDSTAD"

 
 

Monster trouve preneur pour moins de 387 millions d'euros


image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/05/recrutement-jeunes.jpg
Le pure-player star Monster, créé en 1994, a accepté l'offre de l'acteur historique Randstad, groupe néerlandais spécialisé dans l’intérim créé il y a 55 ans. Alors que sa valorisation atteignait plus de 5 milliards de dollars lors de sa mise en Bourse, le site a été cédé début août pour 429 millions de dollars, soit 386,8 millions d’euros. En vente depuis mars 2012, le site basé à New York n'aura finalement pas résisté aux offensives des sites concurrents tels Indeed ou LinkedIn. L'acteur américain était arrivé en France en 1999 avec à sa tête Mats Carduner, également ancien patron de Google France par la suite. Installée à Levallois-Perret, la société emploie aujourd'hui moins d'une centaine de salariés.
En 2006, la valorisation du job board atteignait même 7,5 milliards d'euros. Dans ses belles années, il revendiquait plus d'un million d'offres d'emploi diffusées en continu sur son site. Au second trimestre 2016, il affichait 150,9 millions de dollars de chiffre d'affaires; la zone Amérique du Nord représentant 103,7 millions. Sur les six premiers mois de l’année, le site d’offres d’emplois a vu ses revenus chuter à hauteur de 308,7 millions de dollars, contre 340,6 millions de dollars au premier semestre 2015.
Pour stopper l’hémorragie, la société a même avoué avoir été contrainte d’utiliser 12 millions de dollars issus de ses propres réserves pour financer des opérations au cours des six premiers mois de cette année.
Avant Monster, le géant de l’intérim a mis la main sur la société japonaise d’ingénierie Careo Group, le Berlinois Twago, spécialisé dans le recrutement de développeurs de logiciels, et Ausy, société de conseil française spécialisée dans l’ingénierie de hautes technologies. L'enjeu pour Randstad est aussi de s'implanter aux États-Unis. En septembre dernier, le groupe néerlandais avait déjà amorcé son virage outre-Atlantique en s’emparant de RiseSmart, start-up spécialisée dans les emplois de reconversion, pour 100 millions de dollars. 
Que fera Randstad de Monster? Il emploie environ 6 000 personnes dans 50 pays. Avec cette quatrième acquisition depuis le début de l'année, le groupe répond au géant suisse Adecco qui a finalisé le rachat en mai dernier de l’entreprise britannique Penna, un acteur 100% digital de l'intérim.

Les regards de :


image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2015/11/Anne-Caroline-Lourmi%C3%A8re.png
Anne-Caroline-Lourmière

On savait le pure player à la recherche d'un acquéreur depuis plusieurs années. Il faut dire qu'avec l'explosion des réseaux sociaux, des marketplaces mettant en relation missions et free lance ou encore des plates-formes de recrutement participatif, les innovations ne manquent pas pour attirer talents et recruteurs. Innover ou disparaître… Pour le néerlandais, ce rachat lui permet de prendre le virage Digital et notamment social et mobile avec l'utilisation de la solution de recrutement "social jobs ads" sur Facebook et la plateforme Jobr rachetée par Monster en juin dernier mais aussi d'exploiter le potentiel de la base de données de l'Américain riche de 150 millions de cv. Mais si le jobboard devrait a priori garder son identité, la marque brillera t-elle de nouveau? Le modèle des jobboards a-t-il encore de beaux jours devant lui?" Anne-Caroline Lourmière, fondatrice et CEO de Talentik.

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2014/07/36347af.jpg
Jacques Froissant AltaïdeLe marché de l'intérim et des contrats courts est un marché majeur. Près de 90% des contrats actuellement signés en France sont des CDD, intérim ou freelance. Il est donc logique qu'un acteur comme Randstad s'intéresse à un acteur comme MONSTER pour élargir son offre et se doter d'une technologie plus efficace. Monster se cherchait depuis quelques années et Randstad devrait pouvoir lui redonner une vision claire. La pression sur ce marché viendra aussi de start-up. L'avenir nous dira qui l'emportera le groupe d'intérim visionnaire ou les Startups agiles. Jacques Froissant, CEO d'Altaïde.

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Rebel Sport : à quoi bon se dépasser ?



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Rebel Sport : à quoi bon se dépasser ?


Publié le 01/09/2016

Les JO 2016 sont terminés et ont encore offert de belles histoires comme on les aime. Toutes se sont construites sur une motivation qui repose sur un "pourquoi" fondateur. Ce fameux "why" qui casse le crâne des agences, il fallait qu'une campagne le distille chez madame-et-monsieur-tout-le-monde pour provoquer le dépassement athlétique. Ogilvy NZ s'en est chargée.

Dans une société où le comment remplace le pourquoi, où le sens initiateur d'une action est moins importante que son utilité, où nos égoïsmes d'enfants gâtés du matérialisme uniformisant nous refusent les questionnements nécessaires sur l'honnêteté intime de nos choix de vie, se prendre dans la tronche une campagne qui replace le "why" au coeur de notre motivation, franchement cela fait du bien. Le spot néo-zélandais signé Ogilvy NZ pour Rebel Sport puise dans la psychique de l'intimité pour donneur un sens authentique aux envies de dépassement de soi.

Réalisé comme la bande-annonce d'un biopic sur le destin extraordinaire d'un rugbyman professionnel -en l'occurrence le All Black Malakai Fekitoa- le premier film publicitaire d'une campagne qui en annonce d'autres dans les douze prochains mois possède les qualités de ses défauts. La voix off d'Eric Thomas, une star nord-américaine des discours de motivation, lui donne un côté hollywoodien agaçant et force le trait sur le conte de fée. Le français est trop cynique pour être captivé par ce récit trop glorificateur du seul contre tous. La preuve nous critiquons la forme du message. Le fond lui l'est moins, voire pas du tout et c'est ce qui nous intéresse.


Un message qui fait pschitt ?


En 90 secondes esthétiques, bien ficelées et disons-le touchantes, la narration de l'histoire fascinante de Malakai Fekitoa contraint le spectateur à se poser une question essentielle incarnée par le titre de la campagne : quel est votre pourquoi ? "Pour les scènes tournées aux îles Tonga, où a grandi Malakai, nous avons décidé de faire appel à des locaux amateurs au lieu d'acteurs professionnels, pour donner plus d'authenticité au film", explique le réalisateur David Ma, de la société de production Finch.

Parce que le succès exige plus que le talent, les opportunités ou le travail et qu'il doit être désiré et donc provoqué par une quête intime profonde, Ogilvy NZ met en scène le pourquoi initiateur d'un sportif capable de franchir tous les obstacles pour atteindre son but. Les autres spots de la campagne seront basés sur le même concept et respecteront sûrement les même codes, afin de faire passer le même message : ils disent que si vous ne pouvez pas, prenez cela comme une motivation et allez au bout de vous-même.

"J'espère que cette campagne inspirera les néo-zélandais à exploiter tout leur potentiel. Parfois, il suffit d'une seule raison, même a priori anodine, pour forcer un être humain à défier les probabilités", argumente Regan Grafton, executive creative director chez Ogilvy NZ. Le gros hic de la campagne est que si son message et l'histoire romanesque du héros servent de produit d'appel à une interface dédiée, elle n'engage aucune interaction et se contente juste de renvoyer vers le site marchand du Rebel Sport. Dommage.



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jeudi 1 septembre 2016

Financement participatif : le minibon bientôt proposé aux entreprises et aux particuliers

Financement participatif : le minibon bientôt proposé aux entreprises et aux particuliers

https://www.service-public.fr

Publié le 29 août 2016 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
À partir du 1er octobre 2016, des minibons (bons de caisse) seront mis à disposition des particuliers, des entreprises et des institutions pour favoriser le développement du financement participatif.
Mis en place par l'ordonnance n°2016-520 du 28 avril 2016, les minibons sont des titres anonymes émis par une entreprise en échange d'un crédit. Le dispositif fonctionne comme une reconnaissance de dette utilisée par le biais des plateformes de prêts aux entreprises dit « crowdlending ».
Il concerne :
  • les sociétés par actions (SA, SAS) ;
  • les sociétés à responsabilité limitée (SARL) dont le capital est intégralement libéré et qui existent depuis au moins 3 ans.
Seules les plateformes ayant le statut de conseillers en investissement participatif (CIP) peuvent être intermédiaires pour les échanges de titres.
Les minibons ne peuvent être souscrits à plus de 5 années d'échéance. Un décret à venir devra préciser un plafond maximum de financement sur 12 mois pour une personne physique.

La loi Travail complète les motifs de licenciement économique

Publié le 30 août 2016 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)https://www.service-public.fr

Les conditions du licenciement économique sont définies et précisées par la loi relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels, dite loi Travail. La loi différencie selon la taille de l'entreprise un des critères des difficultés économiques, celui de « baisse significative » des commandes ou du chiffre d'affaires. Ces nouvelles dispositions s'appliqueront à compter du 1er décembre 2016.
Comme avant, le licenciement peut résulter de difficultés économiques ou de mutations technologiques conduisant à une suppression ou une transformation d'emploi ou à une modification, refusée par le salarié, d'un élément essentiel du contrat de travail.
La loi définit les difficultés économiques. Elles doivent être basées sur au moins un des indicateurs suivants :
  • une baisse significative des commandes ou du chiffre d'affaires ;
  • des pertes d'exploitation ;
  • une dégradation de la trésorerie ou de l'excédent brut d'exploitation ;
  • tout autre élément de nature à justifier de ces difficultés.
La baisse de commandes ou du chiffre d'affaires doit durer au moins :
  • 1 trimestre pour une entreprise de moins de onze salariés ;
  • 2 trimestres consécutifs pour une entreprise d'au moins onze salariés et de moins de cinquante salariés ;
  • 3 trimestres consécutifs pour une entreprise d'au moins 50 salariés et de moins de trois cents salariés ;
  • 4 trimestres consécutifs pour une entreprise de trois cents salariés et plus.
La loi ajoute aux difficultés économiques et aux mutations technologiques :
  • la réorganisation de l'entreprise si elle est nécessaire à la sauvegarde de sa compétitivité ;
  • la cessation d'activité de l'entreprise.
Ces critères s'apprécient au niveau de l'entreprise.


Comment fonctionne Instagram Stories?

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Comment fonctionne Instagram Stories?

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Début août, Instagram présentait son nouvel outil baptisé «Stories» à sa communauté. Alors que le succès de l'application aux 500 millions d'utilisateurs a longtemps reposé sur ses filtres pour photographies, avec cette fonctionnalité, Instragram va aujourd'hui plus loin dans la dimension sociale.
 

Comment?

Avec «Stories», Instagram propose à ses utilisateurs de publier des mini-séquences vidéos, qui, mises bout-à-bout, forment une «histoire» à partager avec ses amis.
Concrètement, après la mise à jour de l'application, un nouveau bouton «Plus» apparaît en haut de l'écran à gauche. Sous cette fonctionnalité, ce sont les dernières publications des utilisateurs suivis par l'utilisateur. 
Pour faire une mini-vidéo, il suffit d'appuyer sur la touche centrale et de la maintenir (pour une durée maximale de 15 secondes). L'utilisateur envoie ensuite ce mini-contenu dans son «histoire» de la journée.
Côté filtres, Instagram ne change pas sa recette gagnante et propose autant de filtres et d'émojis que pour les photos.
>> Angle d'attaque: Instagram fait disparaître ces contenus vidéos et diaporamas publiés sur Stories après 24 heures. Tout comme Snapchat, Instragram propose ainsi de l'éphémère et invite les instagramers à «swapper» les histoires.
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instagram-frenchweb-home

Pourquoi?

Officiellement, Instagram entend apporter du sens à la quantité de photos postées, en les rassemblant en un nouveau diaporama de vidéos. «Avec Stories, vous n'avez pas à vous inquiéter de la surabondance de posts», promet l'application. 
Plus certainement, Instragam envoie ansi une riposte directe à Snapchat, la messagerie éphémère aux 100 millions d'utilisateurs.
  • A savoir :
  • Sur le mobile, seuls trois comptes (ceux qui ont été récemment actifs) apparaissent immédiatement en page d'accueil. Un affichage à prendre en compte, si l'on souhaite remonter dans le fil de «Stories» de ses abonnés… Les autres sont à faire défiler de manière horizontale.
     
  • L'analytics est assez fin : il est possible de voir le nombre de vues par mini-séquences, et qui l'a vu.
     
  • Les Stories peuvent être «créatives» : il est possible d'uploader des photos de la galerie d'image du smartphone
     
  • Il est possible d'envoyer un commentaire sous forme de message privé, pour réagir à chaque Stories, inscrivant un peu plus l'application dans les services de messagerie (Messenger, Snpachat, WeChat).
     
  • Avec sa durée de vie de 24 heures, Instagram Stories se rapproche des formats «Live»; pour engager ses audiences dans l'instant.
 

Pour qui?

Avec cette fonctionnalité, Instagram, qui propose déjà des «comptes commerciaux» pour les entreprises, veut proposer un nouveau format aux marques. 
«Avec ces nouveaux outils maintenant disponibles à travers l’Europe, il sera encore plus simple pour les PME de recevoir des insights, de se lier à de nouveaux clients et de promouvoir leurs publications préférées à partir d’un téléphone mobile,» explique Amy Cole, la directrice du développement d'Instagram Europe.

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Anna-wintour-instagramEn plus de la cible B2B, Instagram cherche à engager toujours plus de fans, au travers des célébrités et de leurs moments privés à partager. A noter que 80% de l'audience d'Instagram à moins de 35 ans. L'application comptabilise 4,2 milliards de «J'aime» par jour en moyenne. Dans son spot de présentation, Instagram prend soin de faire le tour des secteurs qui pourraient être intéressés par ce contenu éphémère. Voyage, e-commerce, événements… l'intégration des marques est multiple. 
Depuis sa création, Instagram veut devenir la brique créative incoutournable des annonceurs en s'intégrant à leur stratégie cross-canal. Aussi, l'application vend des fans, mais aussi des influenceurs grâce à ces contenus générés (UGC).

Quels annonceurs?

«Cette fonctionnalité vous permet de partager tous les moments de la journée : votre histoire», promet Facebook pour présenter la fonctionnalité de sa filiale. Une histoire qui ne dure que 24 heures, mais qui permet d'engager une audience. 
Pour l'heure, les marques qui se sont laissées séduire sont américaines. 



 
  • Instagram : les chiffres clés
500 millions d'utilisateurs dont 300 millions sont actifs au quotidien
80% des utilisateurs se trouvent hors des États-Unis
80% ont moin de 35 ans
2012 : Deux ans après sa création, Facebook rachète Instagram pour 1 milliard de dollars
juin 2016: première campagne publicitaire du réseau qui choisit la France
Disponible sur iOS et Android.

Et vous?

Comment utilisez-vous Instagram Stories? La fonctionnalité vous intéresse-t-elle plus que Snapchat? Partagez votre expérience en commentaire de l'article…
Lire aussi :
Pourquoi Instagram est un bon réseau social pour le marketing B2B
[INSIDERS] 500 millions d’utilisateurs actifs sur Instagram…

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