lundi 20 novembre 2017

En trois ans, Deliveroo a levé près d’un milliard de dollars#gerardpocquet


En trois ans, Deliveroo a levé près d’un milliard de dollars https://www.frenchweb.fr


  • En septembre dernier, Deliveroo a réalisé un tour de table d’un montant de 385 millions de dollars.
  • Un nouveau tour de table de 98 millions de dollars vient d’être annoncé, portant à près d’un milliard de dollars le total des fonds levés par Deliveroo depuis 2014.
  • Avec ce nouvel investissement, la société souhaite s’étendre au Royaume-Uni.

Le montant

La plateforme de livraison britannique Deliveroo vient d’annoncer un nouveau tour de table d’un montant de 98 millions de dollars, soit 83 millions d’euros, mené par T. Rowe Price Associates, Fidelity Management & Research Company,DST Global , General Catalyst, Index Ventures et Accel Partners ainsi que des investisseurs privés. Cet investissement a lieu quelques mois seulement après une levée de fonds record de 385 millions de dollars. La valorisation de l’entreprise dépasse désormais les 2 milliards de dollars.

Le marché

Fondée en 2013, Deliveroo revendique 3 000 restaurants (contre plus de 1 000 pour Uber Eats) et 7 000 coursiers, un chiffre «en forte progression», souligne Hugues Décosse, General Manager France à FrenchWeb en mars dernier. La société britannique est désormais présente dans 18 villes. Elle lancera son service dès demain à Cannes.
Pour chaque commande, Deliveroo prélève une commission entre 25% et 30%. «C’est beaucoup», confie à FrenchWeb un restaurateur qui réfléchit à mettre fin au deal. «Nous comptons arrêter notre partenariat. Nous avons trop de retours sur des erreurs de livraison et, du coup, des remboursements à effectuer. La venue des livreurs vide aussi notre restaurant en salle, ce que nous regrettons», ajoute-t-il. De son côté, la start-up Deliveroo assure faire croître de «20% le chiffre d’affaires», uniquement grâce aux livraisons des kangourous verts.

L’objectif

Deliveroo souhaite étendre ses activités au Royaume-Uni. «Ce nouvel investissement aidera Deliveroo à se développer au Royaume-Uni et dans le monde entier, en apportant toujours plus de bonne nourriture directement aux consommateurs», confie Will Shu, fondateur et PDG de Deliveroo.

Les données clés:

  • Fondateurs: William Shu, Greg Orlowski
  • Date de création: 2013
  • Siège: Londres
  • Effectifs: 100 en France (1 600)
  • Levée de fonds: 98 millions de dollars et 859,59 millions de dollars lors de 6 tours de table (Fidelity, Accel Partners, T. Rowe Price, Index Ventures, General Catalyst, DST Global, Greenoaks …)
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Myriam Roche

Chef de projet éditorial at Adsvark Media / FrenchWeb - We Love Entrepreneurs

#FoodTech Le futur dans nos assiettes : viande végétale ou viande de synthèse ?#gerardpocquet

Capture d'écran et source: https://www.maddyness.com

Le futur dans nos assiettes : viande végétale ou viande de synthèse ? https://www.maddyness.com

310 millions de dollars, c’est le montant investi dans Beyond Meat, Memphis Meats et Impossible Foods, 3 des leaders de la viande de substitution. Au delà de la somme, les investisseurs eux mêmes sont prestigieux : Bill Gates, Richard Branson et Tyson Foods (une multinationale spécialisée dans la viande). Pourquoi tous ces investissements ?

Cela peut s’expliquer par la croissance du végétarisme, les polémiques sur le bien être animal et les contraintes environnementales (l’élevage d’animaux est une des principales sources de polluants). Tout cela créé un climat peu propice aux protéines animales.
Alors que certaines startups commercialisent des substituts aux protéines animales traditionnelles, que ce soit avec des insectes, des algues ou des légumineuses, un certain nombre d’entrepreneurs cherchent à remplacer la viande…  par de la viande. Plutôt que de changer les habitudes des consommateurs de façon radicale en remplaçant un produit par un autre totalement différent, des entreprises cherchent à proposer dans votre assiette, un produit qui à l’odeur, le goût et si possible le prix d’un steak, tout en garantissant de meilleures propriétés nutritionnelles, une meilleure traçabilité et évidemment un impact sur l’environnement et les animaux le plus réduit possible.

Deux révolutions à venir : viande « végétale » ou viande « créée » en laboratoire

Depuis quelques années, plusieurs startups majoritairement américaines comme Beyond Meat, travaillent sur l’élaboration de « viandes » composées uniquement de végétaux. Ils réalisent des efforts impressionnants pour rechercher parmi tous les végétaux disponibles, ceux qui en se combinant pourraient recréer les propriétés de cuisson, d’apparence, d’odeur et bien sur organoleptiques (le gout). La société, qui a déjà levé des dizaines de millions de dollars et vient de faire entrer Leonardo Di Caprio à son capital, commercialise ses premiers burgers végétaux dans certaines chaînes comme Whole Foods.
Comment mieux attirer l’attention sur une technologie ou une startup qu’en annonçant un investissement conjoint de Bill Gates et de Richard Branson ? C’est le cas pour Memphis Meats, une startup américaine qui développe des viandes d’un nouveau genre, à partir de cellules animales, et donc sans impliquer l’abattage. La startup est toujours en phase de R&D et travaille à réduire les coûts de fabrication très élevés de sa viande de laboratoire.
Qu’il s’agisse de cette technologie ou des startups qui font des recherches autour de protéines végétales, ces entrepreneurs sont peut être en train de révolutionner l’approche que l’on a de la viande.
foodtech futur viande

Des investissements de long terme

Si certains de ces produits sont déjà disponibles en supermarché, notamment quand ils sont mélangés à d’autres ingrédients, certaines viandes de synthèse sont estimées à plusieurs dizaines de milliers d’euros le kilo. Ceux qui financent ces projets sont-ils fous ? Non, ils parient sur la baisse des prix de ces viandes alternatives, avec la découverte de nouveaux processus et l’industrialisation des productions, et sur la hausse des cours de la viande « traditionnelle » liée à une augmentation des contraintes (traçabilité, attente de viande plus « saine » de la part du consommateur…).
Ce pari parait raisonnable au vu des sommes engagées si l’on rapproche le secteur alimentaire de celui de la santé. La course est aujourd’hui engagée pour trouver LA molécule ou le procédé permettant de produire chaque viande de substitution au plus prêt de l’original, avec pour objectif des brevets et une exclusivité.

Et le poisson ?

Alternative évidente à la consommation de viande pour l’apport en protéines, les poissons et crustacés sont aussi un domaine d’intérêt pour les startups. La majorité des innovations se concentrent du côté de l’élevage en aquaculture, voir en aquaponie (où les déchets générés par les poissons en élevage sont utilisés pour nourrir des plantes). Ces circuits idéaux sur le papier sont encore couteux à installer et à maintenir. Agriloops, sélectionné par l’incubateur Food’inLab de l’AgroParisTech développe une solution rentable autour des crevettes, produit à forte valeur ajoutée.
Bien que les produits issus de la mer soient en général associés avec une image de bienfaits pour la santé, et que les activités de pêche ou d’aquacultures soient moins visibles que l’élevage, des entrepreneurs s’intéressent aussi à la production de poissons à base de plantes. C’est en particulier le cas pour le thon, espèce particulièrement recherchée pour sa chair et dont la pêche industrielle menace l’existence. La startup Ahimi propose déjà son alternative au thon dans plusieurs chaines de supermarchés américains.
poisson

Ce n’est qu’un début

Que des industriels de l’agro-alimentaire s’associent à des milliardaires du web ou à des fonds souverains est révélateur de l’ampleur du mouvement et du potentiel de ce secteur. Ces produits ont le potentiel pour changer radicalement les modes de consommation en commençant par répondre aux demandes des consommateurs de protéines de meilleure qualité à tout point de vue. Il est même possible d’imaginer des évolutions vers des produits personnalisés en fonction des goûts ou besoins de chacun. Ces défis sont majeurs et se rapprochent rapidement. On peut donc regretter l’absence en Europe de startups ayant l’ampleur financière de celles citées plus haut pour y répondre.
Cependant, aujourd’hui personne ne peut prédire l’acceptabilité sociale de ces nouveaux produits, notamment quand ils seront disponibles en grande quantité et menaceront les filières traditionnelles d’élevage. Celles-ci se recentreront-elles sur des productions à forte valeur ajoutée ou l’élevage d’animaux avec un objectif de consommation deviendra t’il inacceptable ?

Petites leçons de « chaosophie »#gerardpocquet

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Capture d'écran et source: Publié par Béatrice Sutter le

Petites leçons de « chaosophie » http://www.ladn.eu brunomarion.com/fr

Introduction
Trop nombreux, trop connectés, trop vite : les sociétés contemporaines connaissent un état objectivement chaotique, soutient l’essayiste Bruno Marion. Mode d’emploi pour avancer à l’ère de “l’auto-amplification”.

Selon vous, le monde est devenu plus chaotique. Quels sont vos éléments d’explications ?

BRUNO MARION : On peut trouver au moins trois raisons : le nombre, la connexion et la vitesse. Nous étions à peu près un milliard il y a cent cinquante ans, et nous sommes aujourd’hui plus de 7 milliards. L’être humain est une sorte de virus qui a envahi toute la planète, et là où nos parents vivaient dans un monde relativement vide, nous vivons désormais dans un monde relativement plein. Par ailleurs, nous n’avons jamais été autant connectés les uns aux autres. Et cela n’est pas seulement dû au numérique, c’est aussi parce que nous vivons davantage ensemble, 50 % d’entre nous vivent en ville. Et parce que nous voyageons, on se rencontre aussi de plus en plus : plus de 100 000 avions décollent chaque jour.
Mais le facteur de la vitesse joue également. Certes, il y a déjà eu de grandes transitions mais aucune ne s’est faite à une telle échelle et à une telle vitesse. Il a fallu des milliers d’années pour que nous passions du modèle chasse/cueillette à celui de l’agriculture/élevage, l’industrialisation a pris plus de cent ans. Sur de telles durées, il n’y a pas trop d’effets de choc. Tandis que la transition Internet s’est produite en trente ou quarante ans, l’échelle d’une vie humaine, et elle impacte l’ensemble de la planète. Nous n’avons pas eu le temps de nous adapter. Or, beaucoup d’agents connectés qui évoluent à grande vitesse, ce sont là les préconditions parfaites pour donner naissance à une situation chaotique.

Comment définiriez-vous le chaos ?

B.M. : D’un point de vue scientifique, c’est un état. Tous les systèmes qui réunissent des agents, une entreprise, une nation par exemple, peuvent connaître différents états. Le plus souvent, ils sont à l’équilibre, ils peuvent connaître des crises cycliques, mais ils se contenteront d’osciller. Les théories du chaos montrent qu’à partir d’un certain point, le point dit de déclanchement, le système peut sortir de son axe. À ce moment-là, c’est  comme un thermostat qui deviendrait fou. Au lieu de remettre la climatisation quand il fait trop chaud, il fait l’inverse : plus il fait chaud, plus il monte le chauffage. Non seulement on ne peut plus le contrôler, mais il ne pourra plus jamais revenir à son équilibre précédent. Parce que nous sommes plus nombreux, plus connectés, parce que le système évolue trop vite… nous sommes passés dans un monde qui s’autoamplifie.

Que se passe-t-il quand le système bascule sur ce mode d’autoamplification ?

B.M. : Le système peut s’effondrer, et cela s’est déjà produit avec certaines civilisations. Rome a été la première civilisation à avoir une ville d’un million d’habitants et en moins de cent ans elle a chuté à moins de 50 000. Toutefois, ce bouleversement n’a pas impacté les Chinois ou les Amérindiens. Aujourd’hui, parce que nous sommes plus nombreux et plus connectés, un effondrement de ce type ne prendrait pas cinquante ans, et cela aurait des impacts sur l’ensemble de la planète. Ce risque d’effondrement global existe bel et bien, mais les théories du chaos nous disent aussi qu’une émergence est possible, qu’un nouveau système peut apparaître, et nous pouvons imaginer qu’il pourrait être plus harmonieux. Cette hypothèse est tout aussi réaliste que l’effondrement.

Cet article est paru dans la revue 12 de L’ADN : Ordre et Chaos. A commander ici.


Comment s’adapter à cet environnement chaotique ?

B.M. : Il faut changer notre vision du monde, apprendre à le voir tel qu’il est. Il est devenu plus complexe, plus multiple, plus inattendu. Dans les années 1980, quand les constructeurs automobiles japonais ont commencé à avoir des résultats, les Américains ont voulu aller voir sur place la manière dont ils travaillaient. Ils ont effectivement visité les usines, mais à leur retour, ils ont prétendu qu’ils avaient été manipulés. Pourquoi ? Parce qu’ils dirigeaient eux-mêmes des unités de production, et qu’ils n’arrivaient pas à croire que l’on puisse les faire fonctionner sans stocks. Or, c’était effectivement une des raisons du succès japonais. Ils avaient mis en place le juste-à-temps, le kanban. Les Américains n’ont pas accepté de voir cette réalité. Cet exemple illustre l’importance d’avoir les outils mentaux qui nous permettent d’envisager le réel tel qu’il est. Il n’est plus linéaire, si vous ne l’acceptez pas, vous ne comprenez plus rien.

Pensez-vous que nous soyons bien outillés pour faire face à ces situations chaotiques ?

B.M. : Dans le monde d’avant, la priorité était donnée au contrôle. Aujourd’hui, vous perdez votre temps à le mettre en place. Il est nettement plus efficace d’instaurer des processus de régulation. Par exemple, on a longtemps pensé qu’il fallait fixer des objectifs annuels. Mais dans des réalités meubles et complexes, ils n’ont quasiment plus de sens : entre le moment où vous les avez formalisés et celui où ils devraient être atteints, tant de choses ont pu changer. L’organisation hiérarchique doit aussi être repensée. Un fonctionnement en mode projet, qui attribue des rôles différents aux collaborateurs selon leurs compétences et leurs motivations, favorise davantage la souplesse et l’agilité.
Il n’y a plus un modèle mécaniste qui marche pour tous, dans toutes les circonstances. Ce qui est important, c’est de trouver les modalités qui marchent pour vous. Il ne faut pas chercher à tout changer d’un coup. C’était là une solution du Vieux Monde, quand on voulait changer, on changeait tout d’un bloc. Dans le monde d’aujourd’hui, on commence dans un coin, avec ceux qui sont volontaires, et si cela marche cela va se répandre comme un virus. Il faut juste trouver les conspirateurs positifs. Toutes les organisations qui fonctionnent pratiquent cette dynamique d’expérimentations permanentes. Elle s’écarte du modèle mécanique pour adopter des modèles plus proches du vivant : de petites cellules plus ou moins autonomes et organisées. Auparavant, pour changer les choses, il fallait effectivement être très puissant, très riche ou très nombreux. Mais c’était le monde d’avant : un tout petit élément peut tout changer. C’est le fameux effet papillon.

Vous citez souvent le vivant comme source d’inspiration…

B. M. : Le vivant sait survivre et s’adapter à des environnements chaotiques depuis des millions d’années. Or, il n’utilise pas le contrôle. La température de notre corps, par exemple, n’exerce pas de contrôle, ce n’est pas un thermostat. Votre corps s’adapte grâce à un système de régulation. En cela, le vivant peut être une formidable source d’inspiration.

PARCOURS DE BRUNO MARION
Titulaire d’un MBA, il est aussi ingénieur en physique. Il est cofondateur de l’Université Intégrale de Paris, le premier think tank en Europe sur la philosophie intégrale, et membre de la World Future Society. Bruno Marion est l’auteur de plusieurs livres à succès sur les cultures asiatiques.
À LIRE
Il est l’auteur de l’ouvrage de référence sur comment profiter du chaos et de l’incertitude : Chaos, mode d’emploi. Solutions individuelles et collectives, Éditions Yves Michel, 2014.
À VOIR
brunomarion.com/fr


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Qwant, cet acteur du numérique qui vise la viralité en TV et au cinéma#gerardpocquet

Image actu
Capture d'écran et source: http://www.influencia.net


Ils savent tout de vous et s’en mettent plein les poches. Voilà pour résumer le scénario de la campagne du moteur de recherche Qwant. Un film pub qui, après la télé, sort au cinéma et confirme que les acteurs du numérique ont bien besoin des vieux médias. Vous savez, ceux dont la mort est annoncée chaque année…

Qwant, cet acteur du numérique qui vise la viralité en TV et au cinéma


Publié le 16/11/2017

Vous imaginez croiser une personne en pleine forêt qui connait tout de votre vie et sait exactement ce que vous êtes en train de faire à l’instant T ? Votre situation amoureuse, votre passion pour les pizzas 4 fromages, votre trajet quotidien et vos velléités extra-conjugales, tout y passe et vous vous retrouvez nu comme un ver… Dans la réalité cela reste impossible. En revanche, votre moi virtuel est scruté et l’intégralité de ses faits et gestes sont captés, analysés et revendus aux plus offrants. On dirait un vrai thriller… C’est en fait le dernier film publicitaire pensé par l’agence Hémisphère Droit pour Qwant, le moteur de recherche français engagé et responsable.


« Une campagne autant militante que publicitaire »


L’objectif était simple : souligner le positionnement respectueux du moteur de recherche français concernant la vie privée de ses utilisateurs, à l’inverse de ses concurrents mastodontes. Mais ce qui a fait la force de la campagne, c’est précisément qu’Alexandre Aja, le réalisateur spécialisé dans les films d’horreur (" La Colline a des yeux ", " Piranha 3D ", etc…), n’est pas tombé dans l’écueil manichéen du héros seul contre les géants mal intentionnés. Il a ancré le film dans une réalité où chacun d’entre nous peut se reconnaître. Donnant un supplément d’âme à la vidéo en mélangeant savamment humour et effroi. Il y a de prime abord une bonne dose de frayeur avec l’usage des codes du film d’horreur (musique d’épouvante, méchant aux allures innocentes, lieu isolé). Mais on décèle vite une narration où la dérision disqualifie les concurrents sans les nommer, ni les accabler. Résultat, on ressort le sourire aux lèvres, mais averti des enjeux liés à la consommation des moteurs de recherche. Le message passe.


Les jeunes dans le viseur


Il reste à espérer que la seconde vague de cette campagne permette à Qwant de toucher en profondeur une cible plus jeune, plus urbaine et plus technophile. Car c’est bien en entrant en contact avec une cible aux usages avant gardistes qu’il sera possible d’impulser un nouveau mode de consommation à long terme. Et pourtant -et c'est ce qui est intéressant dans cette prise de parole- Qwant utilise la TV et le cinéma, deux médias traditionnels que beaucoup d’acteurs du numérique considèrent comme dépassés. Preuve que ces médias de masse restent un bon recours lorsqu'on a besoin de s,se déployer, même quand on s'appelle Google, Amazone et consorts, comme le souligne l'un des co-fondateurs de Qwant, Eric Leandri, dans Le Figaro : « Les acteurs du numérique ont besoin de la TV pour communiquer.On se rend bien compte que ces médias demeurent incontournables ». Où comment faire du neuf avec du vieux...

 
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