vendredi 5 janvier 2018

Acheter des litecoins sans inscription ni vérification

Capture d'écran et source: https://achat-bitcoin.fr

Acheter des litecoins sans inscription ni vérification

Maintenant que nous savons comment stocker des litecoins passons à l’étape permettant d’en acquérir facilement, rapidement et sans qu’une inscription ou une vérification d’identité ne soit obligatoire.

Acheter des litecoins sans inscription

Nous avons parlé des plateformes réputées et sures, qui permettent d’acheter des litecoins assez facilement avec une carte bancaire ou par virement SEPA, c’est le cas de Bitpanda par exemple, qui reste pour nous la plateforme la plus simple. Mais qu’en est-il si l’on souhaite procéder sans être obligé de s’inscrire ou de faire vérifier notre identité ? Et oui, on n’a pas toujours envie que nos données personnelles ne se baladent sur des serveurs partout dans le monde.https://achat-bitcoin.fr/

Deux plateformes se distinguent

Dans la myriade de sites qui permettent de telles transactions, pour moi deux se distinguent et ce sont de ces deux dont je vais vous parler aujourd’hui. Toutes les deux permettent d’acheter des litecoins (et d’autres cryptomonnaies) sans fournir de documents (passeport, carte d’identité etc.) et sans s’inscrire. Vous pourrez ainsi acheter en tout anonymat et assez rapidement vos monnaies décentralisées.

Changer.com

Visiter changer.com »
Le principe de Changer.com est aussi simple que son nom : à gauche la monnaie d’achat et à droite la devise achetée. Si vous avez déjà des cryptomonnaies en votre possession (des bitcoins par exemple) et que vous voulez vous diversifier en acheter des litecoins, il suffira de choisir à gauche « Bitcoin » et à droite « Litecoin ». Saisissez le montant à dépenser, l’adresse de destination (attention à ne pas vous tromper, ici c’est une adresse Litecoin qu’il faut), une adresse e-mail et c’est prêt pour validation.

Sur l’écran suivant on vous demandera simplement de payer, c’est à dire envoyer les bitcoins sur une adresse fournie. Quelques minutes après, lorsque la transaction Bitcoin a reçu assez de confirmations, les litecoins sont transférés sur l’adresse donnée. Terminé !
Notez que si vous voulez dépenser des euros, vous devrez passer par Perfect Money ou Payeer.

Changelly

Visiter changelly.com »
Sur Changelly les choses sont tout aussi simples et fonctionnent sur le même schéma, la grosse différence notable est que vous pouvez acheter certaines monnaies avec une carte Visa ou Mastercard, ce qui augmente la simplicité mais réduit aussi un peu l’anonymat.
De ce fait pour acheter des litecoins sur Changelly avec votre carte bancaire, vous devrez d’abord acheter des BTC ou ETH, puis échanger ces derniers contre des LTC.
Toujours est-il que l’on ne vous demande pas de vous inscrire ni de valider votre identité. Changelly se sert de son partenaire Simplex pour les paiements en carte bancaire. Lorsque vous sélectionnez le montant en euros que vous voulez dépenser puis la cryptomonnaie que vous voulez acheter, vous serez alors amené à effectuer l’achat (de manière transparente) avec Simplex.

Au niveau des frais on n’est pas mal non plus : d’un côté Changelly prend 5% sur la vente et de l’autre Simplex prend également 5% ($10 minimum). Sur une transaction à 100€ vous aurez donc 10€ de frais à payer (autant que sur Coinbase par exemple, l’inscription et vérification en moins).

Que faire après l’achat ?

Une fois vos litecoin en main, n’oubliez pas de les stocker en sécurité si votre achat est pour le long terme, je vous ai parlé des différentes manières de stocker les litecoin il y a quelques jours.
Le solution du Ledger Nano S restant pour moi la plus sure : Mon avis sur le Ledger Nano S.
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Capture d'écran et source: https://achat-bitcoin.fr/

Cet article ne constitue pas une recommandation d’investissement. Nous vous suggérons de mener vos propres recherches avant de décider de vous procurer des crypto-monnaies – des actifs extrêmement risqués. Ne dépensez pas plus que ce que vous pouvez vous permettre de perdre. Nous ne saurons être tenus responsables de toute perte en capital, en lien avec la lecture de cet article.

Coinbase dément les rumeurs selon lesquelles Ripple (XRP) serait sur le point d’être ajoutée à la plateforme#gerardpocquet


Coinbase Ripple
Capture d'écran et source: https://www.crypto-france.com
Coinbase, la plus grande plateforme d’achat de crypto-monnaies au monde, a publié aujourd’hui un article qui semble destiné à apaiser les rumeurs selon lesquelles Ripple pourrait y être référencée. La flambée de la monnaie numérique – dont le cours a été multiplié par 15 depuis le début de l’année – semble avoir été en partie nourrie par de telles spéculations.

Coinbase dément les rumeurs selon lesquelles Ripple (XRP) serait sur le point d’être ajoutée à la plateforme https://www.crypto-france.com


Coinbase tente de calmer le jeu

Logo CoinbaseDans un article de blog publié hier, la société californienne à déclaré qu’elle n’avait pas, pour l’instant, décidé de quelles crypto-monnaies pourraient prochainement être ajoutées sur Coinbase ou sur GDAX.
Si elle n’a pas cité Ripple, on peut imaginer que cette monnaie numérique est la première concernée par cette annonce :
“Nous souhaitions fournir à nos clients des détails concernant le processus par lequel nous ajoutons de nouveaux actifs sur notre plateforme de trading. Notre mission consiste à proposer la plateforme d’échange de monnaies numériques la plus ‘trusted’ (de confiance) et la plus simple à utiliser. Nous croyons fermement que le fait de partager ce processus avec nos clients constitue un élément essentiel pour mettre en place cette confiance.
Il y a quelques mois, nous avions publié notre Digital Asset Framework, qui présentait les critères auxquels doivent se conformer les nouveaux actifs qui pourraient être ajoutés à la plateforme. Vous pouvez consulter ce framework en cliquant ici. Un comité composé d’experts internes à Coinbase décide si (et quand) de nouveaux actifs vont être ajoutés à la plateforme en accord avec notre framework. Ces individus – ainsi que l’ensemble des employés de Coinbase – sont soumis à des règles de confidentialité, mais également à des restrictions concernant le trading de crypto-monnaies. Coinbase annoncera l’ajout de nouveaux actifs seulement au travers de son blog, ou de ses autres comptes officiels.
Lors de cette déclaration, nous n’avions pris aucune décision concernant l’ajout d’actifs additionnels, que ce soit sur GDAX ou sur Coinbase. Tout déclaration contraire est fausse, et n’est pas autorisée par la société.
Sur Twitter, on pouvait trouver depuis quelques jours de nombreuses publications d’internautes qui semblaient persuadés que Ripple allait prochainement être référencée sur Coinbase :
J’ai entendu dire que #XRP allait arriver sur Coinbase dans les deux prochains jours. Est-ce vrai, ou s’agit-il seulement d’une rumeur ? Quelqu’un peut-il partager les informations qu’il a en sa possession ? #Ripple
“Certaines personnes disent que Coinbase n’ajoutera pas Ripple car celle-ci est centralisée, ou je ne sais quoi. Laissez-moi vous confier un secret. Si vous pensez, ne serait-ce qu’une seconde, que Coinbase va passer à côté des commissions liées à la deuxième plus grande crypto-monnaie en termes de capitalisation. Vous êtes fou. Achetez #xrp les gens, ce n’est que le début. #ripple
“De nouveaux coins sur Coinbase en 2018 ? Recherchez les coins par leur nom dans l’App Store. Simple tendance ou coïncidence ? #coinbase #BTC #ETH #LTC #BCH #XRP #IOTA
L’utilisateur @XRP_France nous proposait des contenus très parlants – on peut toutefois penser qu’il pourrait vraisemblablement s’agir de montages :

Des rumeurs qui avaient contribué à la flambée de Ripple

Suite à l’annonce d’un partenariat noué avec des sociétés financières japonaises, mais également des rumeurs selon lesquelles Ripple pourrait être prochainement ajouté à Coinbase, le prix de XRP avait considérablement augmenté ces dernières semaines. Hier après-midi, il dépassait le seuil des 3,80 dollars :
évolution prix ripple décembre 2017
Le cours de Ripple avait ainsi été multiplié par plus de 15 depuis le début du mois de décembre, ce qui l’a d’ailleurs propulsé à la seconde place du classement établi par CoinMarketCap, devant Ethereum.
Lors de la rédaction de cet article, Ripple s’échangeait à 3,33 dollars, pour une valeur totale de près de 129 milliards de dollars – soit un peu moins de la moitié de celle du réseau Bitcoin.
Il convient toutefois d’évoquer les écarts de prix considérables (plus de 30%) qui prévalaient entre les plateformes sud-coréennes et les autres :
Ripple XRP marchés 5 janvier 2018
Après une telle hausse, certains restaient optimistes :

De leur côté, d’autres internautes estimaient qu’il s’agissait d’une entrée dans une phase de correction :
Cet article ne constitue pas une recommandation d’investissement. Nous vous suggérons de mener vos propres recherches avant de décider de vous procurer des crypto-monnaies – des actifs extrêmement risqués. Ne dépensez pas plus que ce que vous pouvez vous permettre de perdre. Nous ne saurons être tenus responsables de toute perte en capital, en lien avec la lecture de cet article.
Références : Coinbase, CoinMarketCap
Merci !

Bitfarms, géant québécois du bitcoin#gerardpocquet#http://ici.radio-canada.ca


Deux hommes devant des serveurs informatiques
Capture d'écran et source: http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1073244/bitfarms-quimper-valois-bitcoin-electricite
Louis Valois et Pierre-Luc Quimper, de l'entreprise Bitfarms Photo : Radio-Canada/Bahador Zabihiyan


Sans faire de vagues, des entrepreneurs québécois se sont bâti un petit empire du bitcoin et veulent désormais rivaliser avec les plus gros joueurs du secteur. Pour Radio-Canada, ils ont levé le voile sur leurs activités.
Un texte de Bahador Zabihiyan
Quelque part dans une zone rurale de la grande région de Montréal se trouve une immense mine de bitcoins.
Les occupants de l’endroit aiment la discrétion. En fait, ils ouvrent pour la première fois les portes de leurs installations à un journaliste. Le bruit des machines est assourdissant. « On a 4600 machines qui fonctionnent 24/7 », dit Louis Valois, le vice-président Infrastructures de Bitfarms.
Nous nous trouvons dans une mine de bitcoins, c'est-à-dire un immense entrepôt de serveurs, dont les propriétaires souhaitent garder l'emplacement secret pour des raisons de sécurité.
De ce que l’on sait, on est les plus gros en Amérique du Nord. Mais il y a peut-être des joueurs plus discrets qui n'ont pas voulu sortir.


Pierre-Luc Quimper, un des quatre fondateurs de Bitfarms
Bitfarms est un gros joueur de ce secteur émergent. Selon ses dirigeants, l'entreprise génère des profits de plusieurs millions de dollars par mois grâce au cours actuel du bitcoin.

Qu’est-ce qu’une mine de bitcoins?
Le bitcoin est une cryptomonnaie qui permet à ses utilisateurs de faire des transactions ou de spéculer sans passer par une banque. Des ordinateurs sécurisent toutes ces transactions. Les mineurs – c'est ainsi qu'on appelle les propriétaires qui mettent leurs machines à la disposition du réseau – reçoivent une petite fraction de bitcoin en guise de récompense sur chacune des transactions.
Les mineurs étaient à l’origine des particuliers, mais l'activité est devenue une affaire de professionnels au fil du temps.
Des serveurs sur des tablettes
Les installations de Bitfarms Photo : Radio-Canada/Bahador Zabihiyan
« J'ai commencé dans mon sous-sol », se souvient Pierre-Luc Quimper, un des fondateurs de Bitfarms. L'été dernier, il s'est joint à des partenaires pour passer à la vitesse supérieure.
On a vu le potentiel et on a décidé d'aller big scale.


Pierre-Luc Quimper, un des quatre fondateurs de Bitfarms
M. Quimper a déjà fondé plusieurs entreprises dans le domaine des technologies de l’information. « J'ai starté ma première entreprise quand j'avais 14 ans. J'ai laissé tomber l'école vraiment jeune, en début de secondaire », raconte-t-il.
La compagnie possède quatre mines comme celle qui est au Québec. Plusieurs autres sont en développement, mais il faut toujours plus d'électricité.
Toute l'électricité qu'on peut trouver au Québec, [on essaie de l'obtenir]. On signe [des baux pour] les buildings, on signe les ententes qu'il faut [...] On ne sait pas où le marché va aller [...] On est mieux de sécuriser l’énergie pour notre entreprise, donc on signe tout le temps.


Pierre-Luc Quimper, cofondateur de Bitfarms
Bitfarms compte une soixantaine d'employés. Pour profiter du cours élevé du bitcoin, elle a acheté une compagnie de service d'électriciens.
Photo : Radio-Canada/Bahador Zabihiyan Radio-Canada

Le Québec, un endroit prisé
Le Québec aiguise l'appétit de gros joueurs mondiaux du bitcoin : l'électricité y est bon marché et le climat froid est un atout pour contrôler la température des serveurs.
Des représentants de compagnies étrangères sillonnent le Québec pour trouver les meilleurs sites où installer des mines de bitcoin.
« Les gens envoient des représentants ici au Québec pour trouver des locations spécifiques », dit Louis Roy, associé chez Raymond Chabot Grant Thornton, qui aide des entreprises du domaine de la cryptomonnaie et de la chaine de bloc à s'implanter au Québec.
Cette concurrence n'inquiète pas Bitfarms. « On a une bonne longueur d’avance sur tout le monde qui est en train de vouloir s’implanter au Québec. On a deux ans de développement de recherche d’électricité. On a appris beaucoup pour le Québec, on a vraiment une bonne longueur d’avance », dit Pierre-Luc Quimper.
Les obstacles sont toutefois nombreux : le bitcoin est volatil et il a régulièrement mauvaise presse. Le gouverneur de la Banque du Canada, Stephan Poloz, a dit jeudi, dans le cadre d’un discours annuel, que le bitcoin et les cryptomonnaies font partie des choses qui l’empêchent de dormir la nuit.
M. Quimper et ses collègues, eux, rêvent d'avoir encore plus de machines.
On veut être les plus gros sur la planète, c'est ça qu'on veut être


Pierre-Luc Quimper, cofondateur de Bitfarms
Ils estiment avoir les reins assez solides pour y arriver : les investissements de la compagnie se sont faits sans aucun financement bancaire pour l’instant. Bitfarms s’est récemment associée à des partenaires israéliens pour être cotée à la Bourse de Tel-Aviv.



Générer des bitcoins pour faire pousser des laitues.http://ici.radio-canada.ca/#gerardpocquet

Des plants de laitue cultivés en serre.
Capture d'écran et source: http://ici.radio-canada.ca/
ICI Radio-Canada Manitoba

Générer des bitcoins pour faire pousser des laitues

Le groupe Myera utilise la chaleur émise par les serveurs informatiques utilisés pour générer des bitcoins pour maintenir la température des bâtiments assez haut pour y faire pousser des plantes comme la laitue. Photo : Radio-Canada/Lizaville Sale

La course mondiale au paiement biométrique est lancée — elle est menée par 2 entreprises françaises.http://www.businessinsider.fr/author/reuters#gerardpocquet

http://www.businessinsider.fr/author/reuters
Capture d'écran et source: https://www.gemalto.com/france
Capture d'écran et source: http://www.businessinsider.fr/author/reuters

Patrice Caine, PDG de Thales, et Philippe Vallée, PDG de Gemalto, à Paris, le 18 décembre 2017. REUTERS/Philippe Wojazer

La course mondiale au paiement biométrique est lancée — elle est menée par 2 entreprises françaises


Le groupe français Gemalto — bientôt racheté par Thales — a annoncé ce jeudi 4 janvier avoir été sélectionné par Bank of Cyprus afin de proposer la première carte de paiement EMV biométrique à double interface pour les paiements avec et sans contact.
EMV est la norme internationale pour les cartes de débit ou de crédit à puce initiée en 1995 par le consortium EMV.
La technologie de Gemalto utilise la reconnaissance d'empreintes digitales au lieu d'un code PIN pour authentifier le ou la titulaire de la carte, qui est compatible avec les terminaux de paiement existants déjà installés à Chypre, indique Gemalto dans un communiqué.
Lorsque les clients placent leur empreinte digitale sur le capteur, une comparaison est effectuée entre l'empreinte digitale scannée et les données biométriques de référence stockées de manière sécurisée dans la carte.
"Les clients de Bank of Cyprus seront les premiers au monde à profiter de la commodité biométrique sur une carte de paiement sans contact. La carte de paiement à capteur biométrique de Gemalto est conçue pour assurer une sécurité maximale et la confidentialité des données", commente Bertrand Knopf, Vice-président exécutif, Services bancaires et paiement de Gemalto, cité dans un communiqué.
Le groupe ajoute que le capteur biométrique de la carte est alimenté par le terminal de paiement et ne nécessite pas de batterie intégrée, ce qui signifie qu'il n'y a pas de limite à la durée de vie de la batterie ni au nombre de transactions. Les clients de Bank of Cyprus finaliseront le rapide processus d'enregistrement au sein de l'agence bancaire en utilisant la tablette de Gemalto conçue pour cette solution.

Idemia et Gemalto sont deux des plucs grands fabricants de carte de paiement. Ici, la carte de paiement biométriquet F-Code d'Idemia sera lancée au Japon. YouTube/Idemia
Revendiquant une première mondiale, Gemalto lance les hostilités dans la bataille sur le futur du paiement qu'il livre face à son principal rival, également français, Idemia.
Née de la fusion de Morpho, filiale de Safran, avec Oberthur Technologies, Idemia officie également sur les marchés de l'identification, de l'authentification et de la sécurité des données. Ces deux entreprises françaises de taille similaire — 3 milliards d'euros de chiffres d'affaires — se partagent la grande majorité du marché mondial des encarteurs.
L'annonce de Gemalto n'est pas une première technologique. Idemia travaille également sur la biométrie. En 2017, l'entreprise a ainsi dévoilé deux projets concernant le paiement sans contact et sans code PIN, à travers sa participation à la fabrication de la nouvelle carte biométrique de Mastercard et le lancement à l'automne dernier au Japon de sa propre carte biométrique, F-Code.
Mais à la différence de Gemalto, les deux projets sont en phase de tests et pas encore complètement disponibles.
Selon nos informations, s'agissant du Japon, des cartes F-Code ont été remises au réseau de paiement JCB pour une expérimentation auprès des clients de banques au cours du premier trimestre 2018. Concernant la France,  des expérimentations auront lieu dans le courant de l'année 2018, a indiqué Didier Lamouche, PDG d'Idemia, sur France Info.

8 Français sur 10 considèrent la biométrie comme un moyen sûr d'authentification

Le paiement biométrique comporte plusieurs avantages selon les fabricants:
  • il limite les fraudes, puisque la carte est lié par empreinte à son propriétaire authentifié à chaque paiement. En 2016, le montant des fraudes concernant des cartes bancaires émises en France — paiements transfrontaliers compris — a atteint les 523 millions d'euros, quasi-stable selon l'observatoire de la sécurité des moyens de paiements de la Banque de France,
  • il lève la limite actuelle — 30 euros en France — du montant des transaction sans contact,
  • il offre un confort d'utilisation en n'ayant plus de code PIN à mémoriser,
  • il permet d'accélérer et de faciliter les paiements par carte bancaire.
Reconnaissance digitale ou de l'iris de l'oeil, 79% des consommateurs français considèrent que "les solutions biométriques offrent un moyen sûr d'authentification", selon la dernière enquête annuelle Digital Payments Study de Visa, repérée par La Tribune.
Selon le Groupement des Cartes bancaires, il y a plus de 66 millions de cartes CB en circulation en France.
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Lire aussi : Thales offre à Gemalto l'avance dans l'intelligence artificielle dont il a besoin

Capture d'écran et source: https://www.thalesgroup.com/fr/Patrice-Caine