Bitcoin Price Eyes $7,000 as Markets See Early-Morning Bounce
The market sell-off appeared to reach at least a temporary bottom on Tuesday, as — led by the Bitcoin price — cryptocurrencies have made a moderate recovery since marking another day off the calendar.
Cryptocurrency Market Cap Briefly Sinks Below $300 Billion
Early Tuesday morning, thecryptocurrency market capsunk to $276 billion, its lowest point since November and a mark that Bitcoin itself was valued above as recently as early January.
At roughly 3:00 UTC, however, the cryptocurrency markets began to tick upward, and by the time of writing they had recovered past the $300 billion threshold to a present value of $319 billion. This still represents a 24-hour decline of more than 11 percent, but it nevertheless provides a bit of respite to the otherwise-floundering markets.
Bitcoin Price Eyes $7,000
The early morning bump enabled theBitcoin priceto climb back to a present value of $6,922, a nearly $1,000 increase from its daily low, which saw Bitcoin fall below $6,000 for the first time since November 12. Bitcoin now has a market cap of $116 billion, which represents a daily decline of just under 10 percent.
Ethereum Price Charts Similar Course
TheEthereum pricelargely followed its older sibling’s trajectory on Tuesday, declining as low as $565 before recovering to $688 at the time of writing. Ethereum now has a market cap of $66.1 billion, which represents an index-lagging 12 percent decline.
Major Altcoins Trail Index
Ethereum was not the only major altcoin to lag the index on Tuesday, but most managed to beat it once the market turned the corner.
The Ripple price declined by seven percent to $0.65, while Bitcoin Cash’s 15 percent decline forced its price down to $840.
Fifth-ranked Cardano posted a two percent decline, which was the best performance among top 10-cryptocurrencies, but sixth-ranked EOS lagged the index and endured a 14 percent blow.
The Litecoin price declined by eight percent to $118, and Stellar held the eighth position in the market cap rankings despite an 11 percent pullback.
NEO and NEM rounded out the top 10 with declines of nine percent and 10 percent, which reduced their prices to $79 and $0.42, respectively.
Qui sont les stars de la plateforme et combien gagnent-elles ? Le plus influent gagne près de 16 millions par an…
YouTube, Netflix et les autres plateformes ont
remplacé la télévision chez de nombreux utilisateurs et, de fait, les
youtubeurs sont devenus les stars de demain. Accumulant les vues sur
leurs vidéos et les abonnés sur leurs chaînes, ils possèdent un réel
pouvoir auprès de leurs fans.
Véritables influenceurs, ils sont rémunérés en fonction de la portée
de leurs contenus, mais ce n’est pas tout ! Annonces, sponsoring,
pre-rolls, dons… Les youtubeurs peuvent enclencher plusieurs leviers pour toucher un salaire, il est donc complexe d’estimer leurs revenus. Businessinsider a tout de même tenté le coup avec son top des youtubers comptabilisant le plus grand nombre de followers. En comparant les chiffres obtenus avec ceux des stars françaises de la plateforme, la différence d’échelle est impressionnante. Petit tour d’horizon des personnalités qui font plaisir à leur banquier. Les chiffres recensés sont des estimations des paiements effectués par YouTube (indexés sur le nombre de vues et d’abonnés).
1er : DanTDM - 16,5 millions de dollars
DanTDM est la personne la mieux payée par YouTube.
Connu sous le nom de TheDiamondMinecart, Daniel Middleton réalise
quotidiennement des vidéos autour du jeu vidéo Minecraft. En
2017, il est parti en tournée et a notamment rempli l’Opéra de Sydney à
quatre reprises, rien que ça ! D’après Forbes, il était déjà le plus
gros salaire de YouTube l’année dernière.
BEST OF THEDIAMONDMINECART // DANTDM!!
2ème : VanossGaming - 15,5 millions de dollars
Autre chaîne dédiée au gaming, autre success story.
Evan Fong, canadien de 25 ans, poste des vidéos qui se démarquent par la
qualité du montage. Les contenus produits durent quelques minutes et
reprennent des sessions de jeu de plusieurs heures. 22,3 millions de personnes sont abonnées à VanossGaming pour un salaire estimé de 15,5 millions de dollars.
GTA 5 Best Moments - Funny Moments, Glitches, Skits (GTA 5 Online / Single Player Montage)
3ème : Markiplier - 12,5 millions de dollars
Si sa chaîne est centrée sur le gaming, Markiplier
(de son vrai nom Mark Fischbach) souhaite poursuivre sa carrière dans la
musique et le cinéma. À l’heure actuelle, il compte 19,5 millions de fans sur YouTube et des revenus à hauteur de 12,5 millions de dollars par an.
WARNING: SCARIEST GAME IN YEARS | Five Nights at Freddy's - Part 1
La chaîne lancée par Ian Hecox et Anthony Padilla a été une des premières à créer le buzz sur la plateforme avec des vidéos humoristiques qui parodient les jeux vidéo et la pop culture. Smosh compte 22,6 millions d’abonnés.
ULTIMATE ASSASSIN'S CREED 3 SONG [Music Video]
Et la french touch dans tout ça ?
Si l’Hexagone compte son lot de personnalités connues
à l’échelle nationale, leurs revenus paraissent bien faibles comparés à
ceux de leurs homologues anglophones. En tête du classement : encore
une chaîne gaming, celle de Squeezie. Avec 9,7 millions d’abonnés, la chaîne fait partie du Top 200 mondial pour ce qui est du nombres d’aficionados (166ème). YouTube lui verserait 800 000 euros à l’année.
Viennent ensuite Norman, EnjoyPhoenix et Cyprien ;
ils amasseraient tous les trois entre les 130 et 140 milliers d’euros
annuellement. Natoo est en 5ème position avec 80 000 euros annuels. Ce différentiel s’explique par la portée bien supérieure de
la langue de Shakespeare. À l’échelle mondiale, en abonnés, les
youtubeurs hispanophones sont d’ailleurs les seuls à rivaliser avec
PiewDiePie et consorts.
Malgré tout, certains d’entre eux ont réussi à tirer leur épingle du
jeu ; Cyprien, Squeezie et Norman avaient tous trois investi dans la
régie publicitaire Talent Web. Lorsqu’elle a été rachetée par Webedia, ils ont respectivement récolté 6,6, 4 et 2,2 millions d’euros.
Comment identifier les meilleurs influenceurs ? Comment structurer le partenariat ? Quelle rémunération définir ?
C’est pour répondre à ces questions que Reech a rédigé un guide de
survie dans cette jungle de l’influence qui recense les 12 meilleures
pratiques.
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Ceci est la traduction libre d’un article publié ce matin par CryptoCoinsNews (CCN), vers 5h30, heure française. S’il est un peu technique, il dresse une hypothèse qui nous semble intéressante. N’hésitez pas à visiter l’article d’origine en cliquantsur ce lien.
Depuis quelques jours – et plus particulièrement dans les dernières 24 heures – la roue a tourné du côté de Wall Street. À tel point que l’auteur d’un article estime qu’il s’agirait de “La fin de la lune de miel entre Trump et les marchés”.
Et de nombreux observateurs n’en sont plus à se demander si une correction majeure se prépare – ce qui leur semble acquis – mais plutôtsi cette correction va mener à un “marché baissier sur plusieurs années”.
Mais si ce changement de tendance est surprenant, on peut également s’étonner de voirà quel point il semble avoir été imité par le marché des crypto-monnaies.
Désormais, deux questions se posent :
Quelle est ledegré de corrélationentre les marchés financiers et les crypto-marchés ?
Sicette corrélation existe, quelles sont lesimplicationspour les crypto-monnaies ?
Un lien entre les actions et les crypto-monnaies ?
Si la corrélation entre actions et crypto-monnaies est faible, on retrouve un lien non négligeable entre les sentiments qui prévalent sur les deux marchés.
Alors quedenombreusestentatives ont été menées pour identifier la corrélation entre les marchés actions et les crypto-marchés, on dispose encore de peu d’études pour quantifier cette relation.
Et hormis quelques vieux articles, je n’ai pas pu trouver grand chose.
La meilleure source que j’ai pu trouver est issue de Sifr Data, un logiciel traitant des données issues des crypto-marchés. Ils propose notamment une matrice de corrélation, qui nous montre les liens qui entourent les évolutions de plusieurs actifs.
Les chiffres qui apparaissent dans le premier graphique sont appelés des z-scores (variables centrées réduites). Ils représentent ladirectionet laforce de la relation qui unit deux jeux de données.
Le signe du z-score montre la direction de la relation: un signe (-) et il s’agit d’une relation négative, un signe (+) et il s’agit d’une relation positive
La valeur absolue du z-score indique le degré de dépendance : plus elle est importante, plus la relation entre deux jeux de données est intense
La matrice de corrélation du Z-Score. On peut s’intéresser à deux nombres en particulier : 0,14 pour le BTC-S&P 500 (un indice basé sur 500 grandes sociétés cotées sur les bourses américaines), mais aussi -0,31 pour le S&P 500-VIX
Le S&P 500, du fait de son z-score avec le Bitcoin, entretient avec l’actif numérique unecorrélation positive… mais peu significative.
La donne est différente si l’on s’intéresse aux relations qui unissent le VIX et le Bitcoin. Le VIX (Volatility Index) est un indicateur de volatilité du marché financier américain. Cet indice est surnommé “indice de la peur“.
Avec un résultat de -0,31, on retrouve entre le VIX et le BTC unecorrélation négative modérée. Ceci avait été démontré en novembrepar le Cboe, qui nous avait proposé le graphique suivant :
Les évolutions du VIX et du Bitcoin en 2017
Il s’agit d’un point extrêmement intéressant. Si cette relation était avérée, cela signifierait que lorsque la peur sur les marchés actions diminue, le prix du Bitcoin augmente. De la même manière,lorsque la peur s’intensifie sur Wall Street, le prix du Bitcoin chute.
On apprend également que si nous entronsdans un marché actions baissier sur une longue période, le marché des crypto-monnaies pourrait être encore plus baissier. A l’inverse, dans un marché haussier, il pourrait certainement mieux s’en sortir que le marché actions.
Une volatilité qui flambe du côté du Dow Jones
Aujourd’hui, le Dow Jones a perdu 1175 points. En 130 ans d’histoire, il s’agit dela baisse la plus importante sur une séance– même si cela ne correspond qu’à une diminution de 4,6%.
Ainsi, le Dow Jones a annulé, en une seule séance, l’ensemble des gains qu’il avait pu obtenir en 2018.
Dans le même temps,le VIX (la peur sur les marchés ) flambe: il a augmenté aujourd’hui de115%. Et l’on peut constater, dans le même temps, que le prix du Bitcoin s’effondre.
Enfin, on peut penser qu’une part importante des investisseurs sur les crypto-marchés sontde petits épargnants, qui peuvent avoir tendance à facilement paniquer. On peut ainsi voir qu’uneFUD(Fear, Uncertainty & Doubt) générale s’est emparée de ces marchés, qui pourraient poursuivre leur baisse sur une longue période.
J’espère que je me trompe, et peut-être que c’est le cas. Ce dont nous pouvons être sûrs, c’est quec’est l’humeur des marchés qui pilote le prix des crypto-monnaies – et que les prochaines semaines devraient être extrêmement intéressantes.
Cet article ne constitue pas une recommandation d’investissement. Nous vous suggérons de mener vos propres recherches avant de décider de vous procurer des crypto-monnaies – des actifs extrêmement risqués. Ne dépensez pas plus que ce que vous pouvez vous permettre de perdre. Nous ne saurons être tenus responsables de toute perte en capital, en lien avec la lecture de cet article.
China will block all cryptocurrency or ICO related websites on
platforms based abroad in an attempt to completely quash the market.
On Monday, the state-media agency Xinhua said the state will look to
heighten measures on domestic investors participating in overseas
transactions of ICOs and virtual currency in an effort to stop what it
deems “the high risks” from the sector. This is widely believed to mean
that the country will be looking to raise its notorious “Great Firewall
of China” on any crypto-related website.
This new Beijing stance will effectively ban all forms of activity
relating to cryptocurrency and puts a complete break on any ICO or
crypto-trading. Following reports of a crackdown, advertisements for
cryptocurrencies and ICOs disappeared from China’s biggest search
engine, Baidu as well as its social media platform, Weibu.
China’s recent efforts to curb cryptocurrency markets, which have
been wildly popular throughout the country, have involved shutting down
domestic exchanges. However, an article published by the Financial News,
a new source linked to the People’s Bank of China (PBOC), admits this
has failed to stop trading on the mainland.
The frenzy surrounding cryptocurrency has led to high price volatility
and in some cases fraud. On Saturday, angry investors took Jiang Je the
founder of the ICO project ARTS forcibly down to the Beijing
Municipal Financial Bureau accusing him of committing fraud. The value
of ARTS token fells from 0.66 yuan to 0.13 yuan two weeks after its ICO
and listing on an exchange in late January.
China had originally banned both ICOs and crypto-exchanges in
September. However, trading between individuals, whilst legally dubious,
continued un-impeded and many major investors raised funds from
mainland investors whilst relocating to either Hong Kong or Japan.
Instead of an outright ban, other countries have announced plans to
create a regulated cryptocurrency market; then Russian Finance Ministry
has announced plans to introduce a bill that will recognise
cryptocurrencies as “digital financial assets”.
Mark Zuckerberg, cofondateur de Facebook. REUTERS/Brian Snyder
Un chercheur français a imaginé ce que
Facebook devrait verser si le réseau social rémunérait tous ses
utilisateurs pour leur "travail numérique" invisible.
Cette initiative a surtout pour objectif de sensibiliser les
internautes à l'étendue des données qu'ils confient aux géants du web.
Un chercheur français
vient de lancer une initiative pour facturer 350.000Mds$ à Facebook pour
l'utilisation de vos données personnelles
Si Facebook devait rémunérer ses utilisateurs pour l'exploitation de
leurs données personnelles, il devrait verser au total près de 350.000
milliards de dollars.
C'est le calcul effectué par Olivier Auber, un chercheur et artiste
français qui a publié, le 14 janvier 2018 sur son compte Facebook, une lettre ouverte à Mark Zuckerberg dans laquelle il annonce son intention de supprimer son compte du réseau social.
"Avant de quitter Facebook, voici la facture", annonce-t-il dans un
billet sur sa page, accompagné d'un lien vers un petit sondage Google
Doc qu'il a créé.
Intitulé "My Facebook Invoice"
("ma facture Facebook"), il permet à n'importe quel utilisateur
d'évaluer, grossièrement, combien d'argent le réseau social devrait lui
verser pour le travail qu'il ou elle fournit de manière invisible depuis
des années d'inscriptions et d'interactions.
Ce concept de travail numérique, ou "digital labor", peut se résumer à
la création de valeur sur internet, consciente ou non. Lorsque l'on
parle de réseaux sociaux, cela prend en compte toutes les interactions
des utilisateurs — discussions, échanges de photos — qui génèrent de la
valeur, sans obtenir de compensation financière.
Sensibiliser les utilisateurs sur l'utilisation de leurs données
Mais ce Français qui habite aujourd'hui en Belgique a conscience que
le réseau social ne déboursera jamais une telle somme. Il a d'ailleurs précisé
que son projet n'avait pas réellement vocation à ce que les géants du
web rémunèrent les utilisateurs pour leurs données, mais plutôt de sensibiliser les utilisateurs de Facebook à l'étendue des données que possède la multinationale sur eux.
Contacté par Business Insider France, celui qui se définit comme un
"hamster au poil rebelle" coincé dans la roue de Facebook explique
pourquoi il s'est senti "pris en otage" du réseau social.
"Il n'a rien d'évident à essayer de
quitter Facebook. Il est très difficile de se couper des autres, surtout
quand on est chercheur et que l'on a une position d'observateur",
indique-t-il.
Lorsqu'il a demandé à télécharger la totalité de ce qu'il avait posté
sur le réseau social depuis son inscription 2006, le chercheur a été
surpris de découvrir qu'on ne lui proposait, au final, que très peu de
données à récupérer:
"Sur Facebook, n'y a pourtant pas que les
photos et les vidéos que l'on poste! Il y a aussi tous les liens, tous
les commentaires, et surtout toutes les conversations que vous avez
jamais eues", ajoute-t-il.
Selon lui, ces conversations devraient pourvoir être récupérées par
les utilisateurs et non "appartenir à l'endroit où elles sont
prononcées".
"Il faut arrêter d'être prisonniers à ce point", insiste celui qui
espère voir naître une class-action "aussi collective, désordonnée et
surréaliste que possible". En somme: une prise de conscience générale
qui permettrait de rejeter le monopole de Facebook pour soutenir les
réseaux décentralisés, comme le récent Mastodon, qui avait séduit l'internet français en avril dernier.
Deux jours avant la présentation de ses résultats trimestriels — dont son revenu moyen par utilisateur (ARPU) — ce mercredi 31 janvier 2018, Facebook a publié une liste détaillée
de ses "principes de confidentialité", et notamment de la manière dont
ses utilisateurs pouvaient contrôler leurs publications sur sa
plateforme.
Olivier Auber a créé et développé en 1986 "Le Générateur poïétique", une oeuvre d'art libre devenue célèbre, basée sur la collaboration humaine simultanée.
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« 100 jours pour entreprendre » :
Le concours est ouvert du 15 janvier au 25 avril
« TU VEUX MONTER TA BOITE ? GAGNE-LA ! » : c’est l’appel que «
100 jours pour entreprendre » lance aux jeunes qui veulent créer leur
entreprise. Après Jacques-Antoine Granjon, Augustin Paluel-Marmont,
Anne-Laure Constanza, Frédéric Mazzella, Fany Péchiodat et Nicolas Rohr,
la Marraine de cette édition est la Fondatrice et CEO de Leetchi,
Céline Lazorthes.
Du 15 janvier au 25 avril 2018, les 18 à 30 ans sont invités à publier une vidéo présentant leur projet de création d’entreprise sur le site www.100jourspourentreprendre.fr
et à faire le buzz pour accumuler un maximum de votes. 20 projets
seront sélectionnés parmi les 40 ayant le plus de votes et selon la
qualité du dossier de candidature. Les jeunes viendront pitcher le 23 mai 2018 devant un jury de professionnels et d’entrepreneurs qui sélectionnera les 10 lauréats 2018. Ils remporteront la « Boîte 100 jours »d’une valeur de 15 000 euros offrant les outils indispensables pour lancer son entreprise. Les 10 lauréats recevront leur Boîte lors de la « Fête 100 jours » qui se déroulera en juin prochain. Une campagne de communication TV, radio et affichage sera déployée sur toute la France grâce à nos partenaires : JCDecaux, RATP, TF1 et Virgin Radio. Parmi les nouveautés de cette Saison 7 : l’ouverture du concours aux jeunes jusqu’à 30 ans, la création d’un Prix Spécial « Alimentation solidaire » parrainé par la Fondation Carrefour et d’un Prix Spécial « Start-upeuse de l’année », la mise en place de 2 après-midi de formation pour tous les candidats les 15 février et 22 mars, notamment pour les jeunes issus des banlieues et de la ruralité.
Widoobiz est le média en ligne des Entrepreneurs & Startups.
Articles d'actualités, émissions radio et vidéos vous donneront
informations et témoignages utiles au développement de votre business !
Recommerce, spécialiste du reconditionnement de mobiles à l’échelle
européenne, annonce aujourd’hui une levée de fonds de 50 millions
d’euros. Ce troisième tour de table, en Série C, est essentiellement
mené par les fonds d’investissement Capzanine et Creadev (contrôlé par
la famille Mulliez).
Recommerce Group est la société pionnière du smartphone reconditionné
et des services autour de la « seconde vie mobile ». Fondée en 2009,
Recommerce a développé son expertise de la reprise, du reconditionnement
et de la revente de smartphones. La société distribue ses produits
reconditionnés, notamment sous la marque grand public “Recommerce”, en
Europe, via des distributeurs et des opérateurs Télécoms. S’inscrivant
dans la logique de l’économie circulaire et responsable, la société
favorise la reprise et le réemploi des mobiles grâce à des approches
commerciales et financières fortement technologiques. Elle tire
notamment sa performance de la mise en œuvre de technologies
d’intelligence artificielle appliquée au secteur industriel et
spécificités des marchés de l’occasion.
Le marché
Recommerce reprend, traite et revend chaque mois 60 000 mobiles, en apportant aux consommateurs des produits « fiables, garantis, au juste prix et durables bénéficiant d’un niveau de service client identique au standard du neuf » selon l’entreprise.
La majorité des produits reconditionnés par Recommerce est issue de
programmes de reprise opérés pour le compte d’opérateurs téléphoniques
européens. Ces programmes leur permettent, lors d’une vente, de proposer
la reprise de l’ancien téléphone à leurs clients. Par ce biais,
Recommerce a reversé depuis 2009 plus de 100 millions d’euros pour la
reprise de ces téléphones.
Recommerce s’inscrit dans la logique de l’économie circulaire visant à
repenser les modes de production et de consommation afin d’optimiser
l’utilisation des ressources naturelles et ainsi de limiter les déchets
générés. Le développement de cette économie, à la croisée de
problématiques environnementales et économiques, suscite désormais
l’intérêt des investisseurs. « Notre levée de fonds illustre l’intérêt croissant du monde
financier pour l’économie circulaire. En s’engageant pour prolonger la
durée de vie des produits électroniques, nous permettons de préserver
les ressources naturelles de notre planète et de réduire les émissions
de gaz à effet de serre. En tant qu’entrepreneur, c’est une grande
satisfaction de pouvoir contribuer au développement d’une société plus
vertueuse », témoigne Benoît Varin, cofondateur et directeur du développement durable.
Le marché du mobile reconditionné croit de plus de 20% par an dans le
monde et selon Strategy Analytics, plus de 131 millions d’unités seront
reconditionnés en 2018 avec une croissance prévue de +48% entre 2017 et
2022.
Aujourd’hui, avec plus de 50% de part de marché de la reprise de
terminaux en France, Recommerce est le numéro 1 du rachat de smartphones
en France.
Les objectifs
Cette levée va permettre à l’entreprise de suivre la croissance
exponentielle du marché du smartphone reconditionné dans les pays où
elle est déjà implantée mais également d’accompagner son expansion vers
de nouveaux territoires. Se différenciant sur son marché par son
approche technologique et un pilotage des processus par de
l’intelligence artificielle, la société devient, avec ce nouveau tour de
table, la startup de son secteur d’activité la mieux financée d’Europe
avec plus de 60 millions d’euros levés jusqu’à présent.
Travaillant jusqu’à présent sous la marque des opérateurs et de
distributeurs, Recommerce souhaite investir massivement dans le
développement de sa marque grand public ‘Recommerce’ afin d’en faire la
première marque européenne de produits reconditionnés. « Entre un marché du neuf de moins en moins abordable
financièrement et un marché de l’occasion peu rassurant, le
reconditionné est une vraie réponse aux attentes des consommateurs.
Cette opération financière va nous permettre de structurer une phase de
croissance importante qui passera notamment par des opérations
d’acquisitions en Europe et aux Etats-Unis » indique Alain Cornu, directeur général.
Les données clés
Fondée en 2009 par Pierre-Etienne Roinat (Président), Cédric Maucourt (CTO), Antoine Jeanjean (R&D) et Benoit Varin (Comm et RSE)
Les précédentes levées de fonds : une série A d’un
montant de 1 million d’euros auprès de 3T Capital, Bouygues
Développement et OPALIC en 2010 ; une série B de 10 millions d’euros
auprès de Seventure Partners (Natixis) et du Fonds Ambition Numérique
géré par Bpifrance dans le cadre du Programme d’Investissement d’Avenir –
en 2013.
Computer Girl depuis 2000. Stratégie numérique, innovation,
direction éditoriale. Spécialisée en médias, TV et internets. Chief
Content Officer @AdsVark Media