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Seasonal offerings range from tech toys to gifts that give back to
Whole Foods Market’s exclusive recycled Paper Source gift wrap line
Just in time for the giving season, Whole Foods Market is offering customers a variety of last minute gifting options for family and friends. Ranging from Amazon devices, to beauty and body care sets that benefit charitable foundations, to an exclusive collection of sustainable holiday gift wrap from Paper Source, all can be picked up during your weekly grocery shopping trip. As an added convenience, shoppers can also pick up and return eligible Amazon purchases and holiday gifts from Amazon Lockers, now available at nearly 400 Whole Foods Market stores nationwide.
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Responsibly sourced PBS Kids toys (Photo: Business Wire)
About Whole Foods Market® For 39 years, Whole Foods Market has been the world’s leading natural and organic foods retailer. As the first national certified organic grocer, Whole Foods Market has over 470 stores in the United States, Canada and United Kingdom. Whole Foods Market has been ranked one of the “100 Best Companies to Work For” in America by FORTUNE magazine for 20 consecutive years. To learn more about Whole Foods Market, please visit media.wfm.com. About Paper Source: Founded in 1983, Paper Source is a premier paper and gift store offering a curated selection of fine and artisanal papers, invitations, gifts, gift wrap, greeting cards and an exclusive collection of envelopes and cards. With the goal to "Do Something Creative Every Day," Paper Source is committed to offering inspiration and innovation to their customers as they celebrate all of life's moments, both big and small. In support of this mission, Paper Source offers a creative aesthetic with a unique color palette and proprietary designs that are hand-illustrated by an in-house Art and Design team. As of August 2017, Paper Source operates stores in 29 states, the District of Columbia, plus an ecommerce store and wholesale division. For more information, please visit www.papersource.com.
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Source: Whole Foods MarketWhole Foods Market Joanna Cochran, 512-279-0231 media@wholefoods.com |
Veille Marché / Acquisition / Création / Cession / Redressement / Restructuration / Financement / Adossement / Transmission d'Entreprise / Press Release
lundi 11 décembre 2017
Whole Foods Market® Offers Unique Gifts and Convenient One-Stop Shopping in Time for the Holidays#gerardpocquet
Qu’aimeriez-vous que l’on dise de vous quand vous serez mort ?#gerardpocquet
Capture d'écran et source: https://www.widoobiz.com/entrepreneurs-startupsJulie Galeski |
Qu’aimeriez-vous que l’on dise de vous quand vous serez mort ?
Samedi après-midi Johnny Hallyday aura illuminé une dernière fois les Champs Elysées après s’être éteint quelques jours plus tôt. Pour ce « monument » français, le gouvernement a souhaité rendre un « hommage populaire », à celui qui a fait vibrer le coeur de millions de femmes et d’hommes depuis près de 60 ans. De lui, chacun retiendra une chanson, un concert, une émotion. Pour certains, « c’était un Dieu », pour d’autres « une légende ».
Comme l’écrivain Jean d’Ormesson qui s’en est allé la veille et dont la « clarté » manquera à Emmanuel Macron, la star du rock laisse derrière lui une image.
Et vous, quelle image aimeriez-vous laisser de vous ?
Corinne Lejbowicz, CEO de PrestaShop :
« À défaut d’avoir touché autant de monde que ces
personnalités, j’aimerais avoir marqué les personnes avec qui j’ai pu
travailler, collaborer, oeuvrer comme étant quelqu’un qui leur ait
appris et apporté tant sur le plan professionnel que personnel, et avec
qui ils ont eu plaisir à échanger.»
Marjolaine Grondin, CEO de Jam :
« J’aimerais qu’on dise que j’ai vécu comme j’en ai eu
envie ; que j’ai participé à rendre les gens plus libres dans leurs
choix de carrière et projet. »
Damien Guermonprez, CEO de Lemon Way :
« À cette question, j’aimerais que la réponse soit « Ses initiatives ont créé de nombreux emplois. » »
Alexandre Chouraqui, CEO de Webpopulation :
« Le fait que l’on parle de vous lorsque vous n’êtes plus
là est déjà une sorte de réussite. Cela prouve que nous avons vécu. Se
dire que l’on continue d’exister à travers les souvenirs des vivants est
quelque chose de magique. Je n’ai pas encore laissé une empreinte dans
l’Histoire, comme Jean d’Ormesson ou Johnny Hallyday, mais si je devais
disparaître aujourd’hui, j’aimerais juste que l’on dise de moi que
j’étais un bon papa, un bon mari, un bon fils, un bon ami,…que j’étais
un « Mensch »».
Clément Altersco, CEO de Bureaux A Partager :
« « C’était un mec bien » me suffit amplement »
Bastien Rabastens, co-fondateur de Jimini’s :
« Quand je ne serai plus là, j’aimerais que l’on dise
« Entrepreneur et non pas poète, il se sera lancé dans les vers sans
remord et aujourd’hui, ceux-ci le rongent » »
Ludovic Huraux, CEO de Shapr :
« Pourquoi pas « Il nous a donné l’envie d’avoir envie ! » »
Taoufik Vallipuram, co-fondateur de OuiShare :
« J’aimerais qu’on dise que j’ai essayé de faire de mon
mieux, aussi bien dans les bons moments que dans les moins faciles. Que
mes succès comme mes échecs furent collectifs. Que les erreurs que j’ai
pu faire sont inhérentes au fait que je ne sois qu’un humain parmi
d’autres.»
Olivier Courtade, CEO de Myxyty :
« J’aimerais que l’on dise de moi que j’ai offert de nouveaux espoirs aux personnes subissant un handicap en leur apportant un meilleur confort dans leur vie quotidienne.»À lire aussi :
Ces startups qui révolutionnent le business de la mort.
Julie Galeski
Rédactrice pour Widoobiz, Julie Galeski couvre l'actualité des entreprises et des entrepreneurs. Amatrice de Taekwondo et passionnée de sciences-économiques, Julie Galeski tente d'apporter ses valeurs et sa culture dans ses actualités Entrepreneurs & Startups.Valorisé 1 milliard en 2015, Shazam se fait racheter 400 millions de dollars par Apple#gerardpocquet
Capture d'écran et source:https://www.frenchweb.fr |
Lors de son dernier tour de table, qui avait atteint 30 millions de dollars en février 2015, la société londonienne était en effet valorisée à hauteur de 1 milliard de dollars, l’élevant de ce fait au statut de licorne. En moins de deux ans, la valorisation de Shazam a ainsi subi une baisse spectaculaire de 600 millions de dollars. Selon une étude publiée cet été par deux chercheurs des universités de Stanford et de Colombie britannique, plus d’une licorne sur deux serait sur-évaluée. Plus précisément, cette sur-valorisation concernerait 116 sociétés sur un total d’environ 200 licornes recensées à travers le monde.
100 millions d’utilisateurs par mois
Fondée en 1999 par Avery Wang, Chris Barton, Dhiraj Mukherjee et Philip Inghelbrecht, quatre expatriés américains basés à Londres, Shazam a développé une application intelligente capable d’identifier le titre d’une chanson en quelques secondes grâce au microphone du smartphone. Pour ce faire, la technologie de reconnaissance sonore développée par l’entreprise est associée à une immense base de données qui regroupe quasiment toutes les chansons existantes.Téléchargée plus d’un milliard de fois depuis son lancement, l’application compte plus de 100 millions d’utilisateurs par mois. Malgré son succès planétaire, Shazam a toujours rencontré des difficultés pour atteindre la rentabilité. L’an passé, la société avait misé sur la publicité avec son offre Shazam for Brands pour rééquilibrer ses comptes.
Freiner les ardeurs de Spotify
L’acquisition de l’application de reconnaissance musicale constitue une aubaine pour Apple afin de réaliser des millions de dollars d’économies chaque année. Et pour cause, la firme de Cupertino payait une commission à Shazam à chaque fois qu’un utilisateur était redirigé sur iTunes pour acheter un morceau. Cependant, Shazam redirigeait également ses utilisateurs vers les plateformes de streaming comme Spotify ou Google Play Music.Avec ce rachat, Apple peut donc faire d’une pierre deux coups, en décrochant d’une part l’exclusivité de Shazam et en coupant l’herbe sous le pied de ses concurrents du streaming d’autre part. Sur ce segment, la marque à la pomme doit notamment affronter le Suédois Spotify, qui revendique 60 millions d’abonnés payants, soit le double d’Apple Music. De plus, le géant du secteur, qui prévoit d’entrer en Bourse en 2018, vient de conclure un accord avec Tencent pour avoir un accès privilégié au marché chinois. Tencent possède deux services de streaming musical en Chine, à savoir QQ Music et KuGou, qui représentent une base cumulée de 450 millions d’utilisateurs.
Dark Vador, Voldemort, Alien et le Joker réunis par Greenpeace#gerardpocquet
Capture d'écran et source: http://www.influencia.net
Twitter : @BenjaminAdlerLA
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Dark Vador, Voldemort, Alien et le Joker réunis par Greenpeace
Publié le 10/12/2017
Pour
sa prise de parole traditionnelle de fin d'année, en amont de sa
campagne de dons, Greenpeace France prend le pari d'un mash-up de
blockbusters hollywoodiens pour continuer à convertir une nouvelle
cible.
Le débat a peut-être déjà pourri
plusieurs de vos diners de famille - quand la tante professeure en ZEP
vous agresse de sa frustration, ou entre potes - lorsque votre ami
bachelier de Louis Le Grand vous bâche de toute son assurance: la
réussite d'un établissement scolaire est-elle d'exacerber l'excellence
chez les meilleurs ou au contraire d'assurer la réussite des moins bons ?
Et bien vous savez quoi, la question peut aussi se poser pour une
campagne publicitaire: la plus réussie est-elle celle qui fait un carton
sur une catégorie déjà convaincue à la base ou bien celle qui suscite
des conversions en arrivant à toucher une cible plus large ? Quand il
s'agit pour une ONG de donner de l'écho à ses combats en suscitant le
don, il n'y a pas vraiment de bonne réponse universelle. Juste des
stratégies différentes. Pour sa troisième campagne consécutive avec
l'agence 84.Paris, Greenpeace France insiste sur une nouvelle forme de narration pour embarquer une plus grande part de l'opinion publique dans son message.
Après Game of Thrones en 2015 et Les Simpson en
2016 pour ses deux dernières prises de parole de fin d'année, l'ONG
reste encore dans le hacking de codes de marques (de ciné ou de TV)
entrés dans l'imagerie populaire. Présenté comme le trailer du plus gros
blockbuster de tous les temps, "Evil League" puise
dans quatre méga productions hollywoodiennes pour réaliser un mash-up
dont le principe possède deux mérites: primo il confirme Greenpeace sur
le territoire de la pop culture pour provoquer une prise de conscience
sur une nouvelle cible. Secundo, le montage et le rythme de cette bande
annonce effrénée de 60 secondes colle complètement à la culture web de
ceux dont l'ONG veut convaincre de manger moins de viande. "Dark
Vador, Predator, le Joker, Alien ou encore Voldemort, ils ont tous tenté
tour à tour d’anéantir le monde, mais le bien a toujours triomphé.
Cette année, revenant des quatre coins de la galaxie, ils ont décidé de
s’unir pour atteindre leur but ultime et détruire l’humanité. Absorbé
par ces images inédites, promettant le pire film catastrophe de tous les
temps, notre spectateur ne réalise pas que la menace est bien réelle
pour notre planète et bien plus proche qu’on ne pourrait le penser",
explique Greenpeace France dans sa présentation. Après deux mois de
travail, le spot réalisé uniquement avec des plans inconnus au cinéma
lance ce lundi une campagne digitale et RP qui a pour mission de servir
la recherche de dons qui va suivre.
Une clef d'entrée catchy pour une nouvelle cible
"Le discours de Greenpeace sur la
surconsommation est moins intransigeant que celui d'autres organisations
et associations anti-viande industrielle. Mais avec les algorithmes
actuels sur les réseaux sociaux, chacun est dans sa bulle et il fallait
réussir à parler à des gens, notamment les jeunes, qui ne sont pas
forcément confronté à ce message. Et parce qu'il est moins
rentre-dedans, nous devions offrir une clef d'entrée très catchy pour
que le film ait de l'impact", résume pour INfluencia Arnaud Depaul, general manager de 84.Paris.
L'objectif de Greenpeace France état
donc de rajeunir ses donateurs, le choix de la pop culture et des codes
audiovisuels du web est a priori le bon. "Nous aurons plusieurs
curseurs pour juger la réussite de la campagne, dont évidemment
l'augmentions des dons. Mais le reach et l'engagement seront aussi
importants. Puisqu'on touche une nouvelle cible, il y a un gros enjeu
dans la mesure de la pertinence du message, celui des discussions et
conversations qu'il va générer sur les réseaux sociaux auprès de gens
qui d'habitude ne parlent pas des problèmes liés à la surconsommation de
viande", développe Arnaud Depaul.
L'élevage bovin industriel, c'est 14% des gaz d'émission à effet de serre
Par ce film publicitaire qui en jette,
Greenpeace France offre le fauteuil cossu et les pop-corn pour mettre à
l'aise une cible qu'elle souhaite informer. De quoi exactement ? Au cas
où vous ne le sauriez pas, l'’élevage a un impact dramatique sur la
planète. Il est responsable de plus de 14 % des émissions de gaz à effet
de serre mondiales, consomme et pollue l'eau et entraîne une
déforestation massive dans certaines régions du globe. "Autant de
drames environnementaux relégués au second plan alors que des solutions
existent : adopter un régime végétalien, végétarien ou privilégier des
alternatives végétales aux protéines animales plusieurs fois par semaine
participent à un meilleur respect de l'environnement. C'est aussi le
cas des modes de production écologique, sans OGM, ni antibiotique, qui
assurent également un meilleur bien-être à l’animal", précise l'ONG.
Le premier rempart contre la conversion
aux obligations écologiques ne réside pas tant dans leur résonance,
surtout auprès d'une masse qui globalement refuse d'en accepter les
vraies conséquences concrètes sur son quotidien. Le noeud coulant du
problème, c'est simplement qu'il est pris à l'envers par refus
d'accepter un changement culturel et comportemental impliquant des
sacrifices. C'est le débat entre radicalisme et moindre mal. Par
pragmatisme respectueux du contexte français, Greenpeace a préféré
prôner la responsabilisation individuelle plutôt que de choisir un camp.
Histoire d'envoyer un autre message, plus subliminal, au
citoyen-consommateur : arrête de toujours te dédouaner par la
victimisation en accusant l'autre, parce que le premier coupable c'est
toi ! C'est donc nous tous.
Benjamin Adler
Journaliste
et spécialiste communication, innovation et média du marché U.S. Après
15 années à l'étranger dont 5 aux Etats-Unis, il est de retour en France
et abreuve l'éditorial d'INfluencia de son expérience internationale.
Twitter : @BenjaminAdlerLA
#RocknRoll Entrepreneurs, les 6 leçons à retenir de la carrière de Johnny Hallyday#gerardpocquet
Capture d'écran et source: https://www.maddyness.com par Geraldine Russell |
Le 6 décembre dernier, le roi du rock français, Johnny Hallyday, décédait. Un monument de la musique dont la carrière de près de 60 ans force l’admiration. Et les entrepreneurs feraient bien de s’en inspirer : voici 6 leçons à retenir pour espérer rencontrer le même succès que le rockeur.
Trouver un nom de scène qui décoiffe (et qui a du sens)
Jean-Philippe
Smet aurait-il eu la même carrière sur scène que Johnny Hallyday ?
Difficile à dire. Grand admirateur des États-Unis, le jeune homme a
choisi pour nom de scène celui que quatre générations scanderont dans
ses concerts : Johnny Hallyday. Mais il ne s’agit pas seulement d’une
lubie américanophile, plutôt d’un hommage appuyé à l’homme qui lui a
fait découvrir le monde du spectacle : Lee Hallyday, le mari d’une de ses cousines.
Avec eux, installés à Londres, il entre au milieu des années 50 dans un
monde de musique et de fête qu’il ne quittera plus. Et se forge une
identité qu’il se plaira lui-même à modeler. Au dos de son premier
album, il est ainsi décrit comme “un Américain de culture française“, tordant légèrement la vérité.
À l’instar de ce qu’a réalisé Jean-Philippe Smet, le “naming” est évidemment une composante essentielle à la construction de votre marque.
Mais il ne s’agit pas seulement de trouver un nom de startup percutant,
drôle ou facile à retenir. Il faut que ce nom soit en adéquation avec
vos produits ou services ainsi qu’avec le positionnement que vous
souhaitez avoir auprès de vos acheteurs. Votre marque, c’est un peu de
vous et un nom bien choisi et qui vous correspond pourra d’autant plus
facilement donner lieu à un certain storytelling.
Réseauter, c’est la clé
Après avoir
découvert le rock’n’roll, le tout jeune Johnny Hallyday est constamment
fourré dans ses temples parisiens, comme le Golf-Drouot, où il débute
sur scène avec des reprises d’Elvis Presley, son idole. C’est finalement
en participant à l’émission de télévision Paris cocktail qu’il attire l’attention du directeur artistique de Vogue, qui
devient son premier employeur fin 1959. À peine trois mois plus tard,
il sort son premier album et enchaîne avec un deuxième au mois de juin, Souvenirs Souvenirs, qui lance sa carrière.
Évidemment,
le talent est important. Mais pour stimuler votre créativité (et vos
chances de réussir), mieux vaut baigner dans le milieu dans lequel vous
souhaitez vous intégrer. Espaces de coworking, incubateurs,
accélérateurs, réseaux d’accompagnement, conférences dédiées à
l’entrepreneuriat… L’écosystème startup regorge aujourd’hui de lieux et
d’événements où vous pourrez vous imprégner de la culture
entrepreneuriale, glaner quelques idées et pourquoi pas quelques numéros
de téléphone bien utiles.
S’adapter à vos consommateurs
Égérie du rock’n’roll, Johnny a pourtant navigué entre différents style tout au long de sa carrière. “Il
sait faire siens tous les styles qu’il va aborder ; il a de l’oreille,
sent bien les modes musicales qui viennent des États-Unis et de
l’Angleterre et dont il sera souvent le passeur pour le grand public
français“, analysent Véronique Mortaigne et Sylvain Siclier, journalistes au Monde. Et pour cause : du rock, il passe sans difficulté au twist – “plus acceptable par les parents qui financent les achats de disques de leurs adolescents”
– , ne cache pas non plus son admiration pour le blues et se donne même
le droit d’aller empiéter sur les plate-bandes de la pop, prisée
notamment des filles qui constituent à ses débuts la grande majorité de
son public.
L’innovation,
c’est bien. La faire adopter par les consommateurs, c’est mieux. Or le
marché n’est pas toujours assez mature pour apprécier une innovation de
rupture. Comme le rock, qui a mis des années avant de devenir un style
musical socialement acceptable, certains produits peinent à trouver leur
public en-dehors des early adopters. Élargir votre gamme de
produits ou de services peut vous aider à toucher des consommateurs qui
ne constitueront pas votre cible principale mais vous permettront
d’initier un effet boule de neige utile pour faire accepter des
innovations plus radicales.
Savoir (bien) s’entourer
Johnny
Hallyday, c’est une voix, une personnalité, une bête de scène. Mais
c’est aussi une sacrée équipe qui l’a épaulé tout au long de sa
carrière. C’est le cas de l’auteur-compositeur Michel Mallory qui,
durant dix ans puis de manière plus épisodique, lui écrit pas moins de…
114 titres, parmi lesquels Toute la musique que j’aime. Puis
viendront Michel Berger, Jean-Jacques Goldman, Pascal Obispo, Zazie mais
aussi Miossec, qui, tour à tour, lui écriront des chansons au succès
toujours renouvelé. Côté cinéma, c’est le réalisateur Claude Lelouch qui
le prend sous son aile et le dirigera dans trois de ses films : L’aventure c’est l’aventure, Salaud, on t’aime et le dernier film dans lequel Johnny Hallyday a tourné, Chacun sa vie.
Pour un
entrepreneur, savoir s’entourer aussi bien que l’a fait Johnny
Hallyday au long de sa carrière, c’est primordial. N’importe quel
investisseur vous le dira : sans équipe, un entrepreneur même
exceptionnel a très peu de chances de réussir. Mais constituer sa garde
rapprochée, c’est en soi un challenge. Il faut trouver les bons profils
(de préférence complémentaires), jongler entre les personnalités et les
égos pour construire un groupe équilibré, à mi-chemin entre la bande de
potes et la machine de guerre.
Gérer intelligemment sa communication
Multiples
liaisons et mariages, rumeurs d’adultères, tentative de suicide et
déclarations polémiques sur la drogue : Johnny Hallyday était, en bon
rockeur, un habitué des sorties de route. Une vie tumultueuse qui a
contribué à asseoir sa légende mais a pu, périodiquement, menacer son
aura, notamment auprès du public le plus jeune. Une batterie de
communicants désamorcent les polémiques, étouffent les scandales. C’est
sa dernière femme, Laeticia Hallyday, qui initie Johnny Hallyday aux réseaux sociaux
et gère sa communauté en ligne, dans un mélange d’instantanés de sa vie
quotidienne et de communication glamour… qui font oublier les erreurs
passées.
Pour un
entrepreneur comme pour un artiste, communiquer, c’est la clé. Pour se
faire connaître, d’abord ; pour asseoir sa marque, ensuite ; pour
imposer un discours cohérent, enfin. Beaucoup misent sur la publicité,
certains préfèrent le côté viral des campagnes en ligne. Quelques
astuces permettent de déployer une communication efficace sans trop de moyens.
Mais le plus grand défi de l’entrepreneur en matière de communication,
ce sont les médias. Meilleurs ennemis, ils sont utiles au moment
d’annoncer une actualité mais peuvent devenir gênants s’ils se montrent
trop curieux. Reste à trouver le bon ton pour s’adresser aux journalistes, éviter les erreurs de communication et se garantir une jolie couverture médiatique.
Ne pas hésiter à pivoter
En 2004,
après plus de quarante ans de carrière, Johnny Hallyday prend une
décision radicale : changer de maison de disques. Il quitte Universal
Music, qui le produit depuis… 1961, lorsque la maison s’appelait alors
Philips. L’affaire se conclut au tribunal, Johnny Hallyday accusant
notamment son ancienne maison de disques “violences morales et taux usuraires“. Il finit par perdre son procès mais parvient néanmoins à négocier un juteux contrat avec sa nouvelle crèmerie, Warner
: un million d’euros pour chaque nouveau disque en studio, assorti de
25% de redevances, soit des conditions similaires à celles dont il
bénéficiait chez Universal Music.
Pourquoi persévérer dans une voie qui n’est pas la bonne ? Comme Johnny Hallyday, il ne faut pas hésiter à changer de direction
si celle que vous empruntez ne vous convient pas… ou ne porte pas ses
fruits. D’autant qu’un retour à la case départ peut être bénéfique :
vous avez appris de vos erreurs et avez les idées plus claires sur le
chemin à prendre (celui du succès). Il s’agit d’abord de pivoter au
moment opportun, quand vous êtes sûr d’avoir épuisé tous les recours.
Mais ce pivot doit aussi être porté par une équipe solide, qui saura
rebondir et attirer de nouveaux talents. Après son “pivot”, Johnny
Hallyday a enregistré pas moins de six albums, tous classés numéro 1 des
ventes. Alors, convaincus ?
Le top 5 Entrepreneurs.
Stay Hungry, Stay Foolish.
#RH La vraie valeur d’une startup, c’est la passion de ses collaborateurs ! 15/11/2017
#Delivery Le groupe Monoprix investit dans epicery pour accélérer son développement national 07/12/2017
#RH Comment éviter une crise des talents en entreprise ? 13/11/2017
#MaddyTips Comment pitcher votre startup à votre grand-mère ? 13/11/2017
Fin de l'entente commerciale De Grisogono et de la société de droit maltaise Victoria Holding Limeted du groupe Joalheiro de Grisogono.#gerardpocquet
Capture d'écran et source: https://uk.job-lux.com/page/blog/de-grisogono-lch-par-langola |
JEWELRY & WATCHES - 04 December 2017
- by BlogLux
De Grisogono lâché par l'Angola
La Société publique angolaise de commercialisation des diamants (Sodiam) a annoncé son retrait du capital du joaillier et horloger de luxe genevois De Grisogono, dont est actionnaire le mari d'Isabel dos Santos, la fille de l'ancien président angolais. En 2016, De Grisogono avait acheté le plus gros diamant jamais trouvé en Angola (404 carats).
Dans un communiqué, la Sodiam explique que "pour des raisons d'intérêt public et de légalité" son conseil d'administration "a adopté (...) un ensemble de délibérations en vue de son départ de la société maltaise Victoria Holding Limited", dans laquelle elle détient une "participation minoritaire".Victoria Holding chapeaute les bijoux de luxe De Grisogono, très prisés des stars d'Hollywood et dont Sindika Dokolo, époux d'Isabel dos Santos, est actionnaire.
"La participation de la Sodiam à la Victoria Holding Limited" a généré des frais pour la Sodiam, notamment en raison des "résultats négatifs systématiquement présentés par le groupe", ajoute l'entreprise publique dans son communiqué vendredi.
Le président angolais Joao Lourenço a récemment nommé un nouveau président à la tête de la Sodiam, Eugene Bravo da Rosa, en remplacement de Beatriz Jacinto de Sousa, qui avait été nommée plus tôt cette année par José Eduardo dos Santos.
Depuis qu'il a pris les rênes de l'Angola en septembre, Joao Lourenço a commencé à démanteler pièce par pièce l'empire politico-financier bâti pendant le long règne de son prédécesseur et mentor José Eduardo dos Santos.
Emblème ou caricature du régime familial instauré par Jose Eduardo dos Santos, sa fille Isabel, classée femme la plus riche d'Afrique par le magazine américain Forbes, est tombée la première.
Mi-novembre, un décret présidentiel a mis fin à ses fonctions de présidente de la compagnie pétrolière nationale Sonangol, navire-amiral en difficulté de l'économie d'un pays à qui il fournit les trois-quarts de ses recettes.
Capture d'écran et source: http://www.endiama.co.ao/en/the-endiama-group/sodiam/sodiam |
01.12.2017 - ven. : 17'09 - Mise à jour 01.12.2017 - ven. : 17'10
La Sodiam cesse de participer à la Victoria Holding Limited et Joalheiro de Grisogono
Luanda - La Société nationale angolaise de commercialisation de diamants (Sodiam EP) a annoncé vendredi, à Luanda, son retrait de la société de droit maltaise Victoria Holding Limeted du groupe Joalheiro de Grisogono.
Capture d'écran et source: http://www.angop.ao/angola/fr_fr/noticias/economia/2017/11/48/Sodiam-cesse-participer-Victoria-Holding-Limited-Joalheiro-Grisogono |
LA PARTICIPATION DE LA SODIAM À CES GROUPES N'A GÉNÉRÉ QUE DES PERTES POUR L'ENTREPRISE PUBLIQUE
PHOTO: ANGOP
Cette décision a été prise le même jour par le Conseil d'administration de la société lors de sa session extraordinaire, après avoir adopté une série de délibérations, pour des raisons d'intérêt public et de légalité, selon un communiqué de presse parvenu à l'Angop.
Dans Victoria Holding Limited, la Sodiam EP détient indirectement une participation minoritaire dans la société du Groupe Joalheiro de Grisogono.
La note souligne que la participation de la Sodiam EP dans Victoria Holding Limited, et indirectement dans le groupe Joalheiro de Grisogono, a généré, depuis sa constitution en 2011, des coûts exclusivement pour la Sodiam.
Ces coûts sont dus tant à des emprunts bancaires contractés comme soit à des résultats négatifs qui ont été systématiquement présentés par le Groupe découlant d’un modèle de gestion auquel la Sodiam EP est et a toujours été, totalement étrangère.
Pour cette raison, la Sodiam EP, en tant qu'entreprise publique, dans le strict respect de la législation en vigueur et de ses perspectives commerciales futures, réaffirme son engagement à travailler pour augmenter et améliorer la rentabilité des activités de marketing et de lapidation de diamants produits en Angola.
Le nouveau Conseil d'Administration de la Sodiam, qui a été nommé le 03 novembre dernier, par le Président de la République, João Lourenço, et a pris ses fonctions trois jours plus tard a préconisé des améliorations dans le système de commercialisation des diamants exploités dans le pays et la mise en œuvre de bonnes règles sur le marché de commercialisation, comme des mesures qui permettront de mieux structurer le secteur et d'augmenter les niveaux de production.
Wechat, le réseau social chinois investi par les marques de luxe : Hermès, Furla#gerardpocquet
Capture d'écran et source: http://www.beautydecoder.com |
Wechat, le réseau social chinois investi par les marques de luxe : Hermès, Furla
WeChat
est désormais le terrain de jeu des maisons de luxe pour séduire et
accompagner la clientèle chinoise. Ainsi, le sellier Hermès a récemment
ouvert un pop-up store sur ce réseau social chinois aux multiples
fonctionnalités. De même, à l’occasion de la Golden Week chinoise
d’octobre, le maroquinier italien Furla a investi la messagerie pour
accompagner les touristes chinois durant leur voyage et les gratifier.
Cet engouement s’explique par le rebond de la consommation luxe chinoise
et par la puissance de WeChat, troisième application mondiale de
messagerie avec 750 millions d’utilisateurs actifs mensuels.
L’expérience utilisateur est des plus simples. À l’issue de la vidéo présentant la nouveauté postée sur Wechat, un bouton d’action permettait d’atterrir directement sur la page des montres Hermès dont les prix se situent entre 1350$ et 1650$. Restait juste aux acheteurs de s’enregistrer avec leurs précieuses coordonnées pour suivre la commande et de payer avec le WeChat Pay. Une expérience fluide, rapide et efficace sans changement d’écran.
Elle gratifiait également les clients au-delà d’un certain montant d’un porte-clé, qu’ils fussent clients sur l’e-shop ou en magasin. Enfin, à tout moment, les fans avaient accès à la liste des points de vente dans le monde. Cette opération de marketing relationnel met en avant la maîtrise de la data client on et offline ainsi que la maîtrise des codes de ce réseau social.
Quant à la marque américaine Coach, elle a tiré profit de la Golden Week pour concevoir une opération de fidélisation sur WeChat. De nombreux discounts ou cadeaux étaient proposés aux clients les plus fidèles en fonction de leur localisation en Chine et à l’étranger.
Pionnières, d’autres maisons de luxe avaient déjà investi la messagerie chinoise l’an dernier : Dior, Hugo Boss, Burberry, Montblanc. Ainsi, Dior avait mis en vente sur WeChat en 2016 le sac Lady en édition limitée à l’occasion de la Saint Valentin chinoise, Qixi. 200 exemplaires arrachés en une journée.
En France, les Galeries Lafayette proposent à leurs clients chinois le paiement via mobile WeChat Pay. Preuve s’il en est que les innovations digitales viennent aussi de l’Est, et tout particulièrement dans le service luxe. Elles infusent progressivement en Europe.
Intéressé par la Chine, vous pourriez lire le post sur les 3 générations de clients luxe et l’enjeu du digital en Chine.
Pour sa montre connectée, Hermès exploite les fonctionnalités de WeChat dans un pop-up store dédié
Le 23 octobre dernier, la Maison Hermès opérait un mouvement stratégique dans l’univers digital chinois en ouvrant un pop-up store de 2 semaines pour le lancement de son nouveau modèle Eperon d’or Hermès x Apple Watch. Un objet plus que jamais signé Hermès avec les motifs iconiques ornant le bracelet.L’expérience utilisateur est des plus simples. À l’issue de la vidéo présentant la nouveauté postée sur Wechat, un bouton d’action permettait d’atterrir directement sur la page des montres Hermès dont les prix se situent entre 1350$ et 1650$. Restait juste aux acheteurs de s’enregistrer avec leurs précieuses coordonnées pour suivre la commande et de payer avec le WeChat Pay. Une expérience fluide, rapide et efficace sans changement d’écran.
Lors de la Golden week, Furla et Coach soignent les touristes chinois sur la messagerie chinoise
Temps fort du tourisme chinois, la Golden week d’octobre a inspiré aux maroquiniers premium que sont Furla et Coach des opérations de community management bien pensées. Surfant sur la tendance des Travel Looks, la marque italienne a invité ses fans sur WeChat à les partager pendant leur voyage. Elle récompensait le « Furla Style » le plus pointu, stimulant ainsi l’engagement de ses fans.Elle gratifiait également les clients au-delà d’un certain montant d’un porte-clé, qu’ils fussent clients sur l’e-shop ou en magasin. Enfin, à tout moment, les fans avaient accès à la liste des points de vente dans le monde. Cette opération de marketing relationnel met en avant la maîtrise de la data client on et offline ainsi que la maîtrise des codes de ce réseau social.
Quant à la marque américaine Coach, elle a tiré profit de la Golden Week pour concevoir une opération de fidélisation sur WeChat. De nombreux discounts ou cadeaux étaient proposés aux clients les plus fidèles en fonction de leur localisation en Chine et à l’étranger.
Pionnières, d’autres maisons de luxe avaient déjà investi la messagerie chinoise l’an dernier : Dior, Hugo Boss, Burberry, Montblanc. Ainsi, Dior avait mis en vente sur WeChat en 2016 le sac Lady en édition limitée à l’occasion de la Saint Valentin chinoise, Qixi. 200 exemplaires arrachés en une journée.
En France, les Galeries Lafayette proposent à leurs clients chinois le paiement via mobile WeChat Pay. Preuve s’il en est que les innovations digitales viennent aussi de l’Est, et tout particulièrement dans le service luxe. Elles infusent progressivement en Europe.
Intéressé par la Chine, vous pourriez lire le post sur les 3 générations de clients luxe et l’enjeu du digital en Chine.
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