dimanche 11 février 2018

PANTERA CAPITAL : LE MARCHÉ BITCOIN S’APPRÊTE À REDEVENIR HAUSSIER#gerardpocquet

PANTERA CAPITAL : LE MARCHÉ BITCOIN S’APPRÊTE À REDEVENIR HAUSSIER

Taureau Wall Street
Capture d'écran et source: https://www.crypto-france.com
La chute récente des marchés n’a pas érodé l’enthousiasme de Dan Morehead, le fondateur et CEO de Pantera Capital. Il estime que l’on devrait assister, d’ici quelques semaines, à un nouveau cycle haussier.

La fin prochaine du cycle baissier

Hausse prix BitcoinDan Morehead, fondateur et CEO de Pantera Capital, était en fin de semaine l’invité de l’émission Fast Money, diffusée sur CNBC. Il a partagé son opinion vis-à-vis du Bitcoin et du marché des crypto-monnaies : il estime que les actifs numériques vont prochainement connaître un nouveau cycle haussier.
En dépit de la forte baisse du Bitcoin, constatée depuis plusieurs semaines, M. Morehead est convaincu que les perspectives qui s’offrent au marché sont réjouissantes. Il s’appuie notamment sur les évolutions historiques du cours du BTC pour prédire la fin imminente de la morosité du marché.
Car il s’attend à ce que le Bitcoin renoue avec une tendance haussière :
“Nous sommes bien conscients qu’il s’agit d’un marché extrêmement spéculatif. Il est volatil lorsqu’il évolue à la hausse, mais également lorsqu’il évolue à la baisse. Mais nous avons assisté à une chute de 64% depuis son record historique, et il s’agit de la baisse moyenne du Bitcoin sur les sept derniers cycles baissiers qu’il a enregistrés. Par conséquent — et même si les performances passées ne préjugent pas des performances futures — il semblerait qu’il ne s’agisse que d’une correction normale.”
“L’autre statistique intéressante à évoquer, c’est que la durée des cycles baissiers est, en moyenne, de 71 jours. Nous en sommes à 52 jours. Par conséquent, il semblerait que, d’ici quelques semaines, tout reviendra à la normale, et nous pourrons à nouveau repartir sur une tendance haussière.”
Mais si M. Morehead est optimiste, c’est aussi parce qu’il pense que les investisseurs institutionnels(banques, compagnies d’assurance, caisses de retraite, fonds d’investissement,…) sont encore peu nombreux à s’être tournés vers le marché – ce qui offrirait à la crypto-monnaie une marge de manœuvre conséquente :
“Il existe un tel appétit des investisseurs institutionnels pour s’exposer à cet actif. Il s’agit déjà d’un actif de plusieurs dizaines de milliards de dollars, que personne ne semble détenir. C’est un élément étonnant. Par ailleurs, il existe une corrélation de seulement 0,1% avec les autres marchés financiers […] Le Bitcoin est toujours ‘sous-détenu’ par les investisseurs institutionnels, de sorte qu’il s’échange à son propre rythme”.
Pas sûr que tous les observateurs soient du même avis. En effet, certains ont pu faire remarquer que l’arrivée des contrats à terme sur le Bitcoin, en décembre dernier, avait coïncidé avec la baisse du prix de l’actif. Ils estiment que des gestionnaires de fonds se seraient appuyés sur ces produits financiers pour faire chuter le cours de la monnaie numérique – et en tirer profit.

La régulation est “une bonne chose”

Initial Coin OfferingsM. Morehead a également évoqué ce qui constituait, selon lui, les investissements les plus intéressants.
Même si sa société spécule sur les évolution du cours de très grosses valeurs comme le Bitcoin ou l’Ether, il s’intéresse tout particulièrement aux ICOs (Initial Coin Offerings), ces levées de fonds en crypto-monnaies lancées par des startups :
À mon avis, les paris les plus intéressants sont liés aux nouveaux tokens – que l’on appelle des ICOs – dans la mesure où ils représentent en quelque sorte les ‘small caps’ de ce secteur”.
Après un début d’année difficile pour les investisseurs, gageons que les déclarations haussières de l’analyste vis-à-vis du Bitcoin puissent se concrétiser dans les prochains jours.
Mais si l’on en croit M. Morehead (et de nombreux observateurs) , il ne s’agirait que de corrections conjoncturelles – des corrections qui ne remettent nullement en cause le potentiel de cet écosystème.
Référence : Bitcoinist
Cet article ne constitue pas une recommandation d’investissement. Nous vous suggérons de mener vos propres recherches avant de décider de vous procurer des crypto-monnaies – des actifs extrêmement risqués. Ne dépensez pas plus que ce que vous pouvez vous permettre de perdre. Nous ne saurons être tenus responsables de toute perte en capital, en lien avec la lecture de cet article.
Capture d'écran et source: https://www.crypto-france.com

Russian Engineers Caught Using State Supercomputer to Mine Bitcoin#gerardpocquet



Bitcoin Mining

Russian Engineers Caught Using State Supercomputer to Mine Bitcoin


Capture d'écran et source:https://www.ccn.com
Employees of the Russian Nuclear Center in Sarov have been caught using the facility’s supercomputer to mine Bitcoin.
The two engineers managed to connect the offline machine to the internet, applying its’ vast computational power to the Bitcoin network. However, it appears to pair did not get far. The RFNC-VNIIEF press-service announced that the operation had been “timely suppressed”, with Russia’s Federal Security Service (FSB)  immediately beginning investigations after picking up unauthorized data from the device. No information was provided regarding the number of bitcoins successfully mined, or the identities of the accused.
The offenders will face criminal charges, according to the Russian source. Due to the institution’s government connection the pair will allegedly be accused of “state-treason”, although no information is available regarding the punishment this charge may imply.  Allegedly they have been released from detention on the condition that they stay within the country.
Tatyana Zalesskaya, head of the research institute press service, spoke with the Russian source, stating that this was not the first occurrence of such a case:
“Similar attempts have recently been registered in a number of large companies with large computing capacities”
This is perhaps unsurprising, with individuals drawn to do so by the sheer capabilities they offer. Supercomputers such as the one at the Sarov facility dwarf home mining rigs, enabling much faster block discovery – and therefore greater rewards. Moreover, using institutional computers is made more profitable still by allowing miners to circumvent the notoriously high electricity costs.

The supercomputer in question is capable of one petaflop, or 1,000,000,000,000,000 FLOPS. FLOPS, (Floating Point Operations Per Second) are used to measure the performance of a computer’s processor, and the unit petaflop is reserved for only the most powerful supercomputers. It has been operational since 2011, performing highly complex scientific calculations, and, as the most powerful supercomputer in Russia it would likely have been the most profitable for bitcoin mining. This is because mining is a process that forces machines to do computational work, solving hash functions in order verify that process transactions on the network. It’s a process where the faster a machine can check  hashes, the more likely it is that it will be included in a block and be rewarded with Bitcoin, and in this digital race supercomputers have a clear and tantalizing advantage.

Sarov was home to theoretical physicist and Nobel laureate Andrei Sakharov, and is located in the Nizhny Novgorod region of the country. The state-owned facility, now officially closed, was until recently code-named Arzamas-16 and absent from maps.

Cryptocurrency mining is growing in popularity across Russia – a nation that often avoids the central issue of keeping mining machines cool due to it’s long and cold winters. It has become widely known, receiving endorsement from leader Vladimir Putin’s aide Dmitry Marinichev, who has publicly spoken regarding the ease of setting up a mining rig. The notoriety of crypto in this country is clear, with Russia last October announcing plans to issue an official state cryptocurrency, the CryptoRuble, and adopting a lax stance on regulation.
Featured image from Shutterstock.