jeudi 28 avril 2016

Ce qu'attendent les Français du numérique pour changer la politique

Ce qu'attendent les Français du numérique pour changer la politique 

http://www.frenchweb.fr

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/02/elysee-rue-saint-honore.jpg
Palais de l'Elyse 
A l'heure du numérique, comment changer le système politique français? 
Peut-on par exemple y mettre véritablement de la participation citoyenne. 
L'étude «Portrait de la France Numérique» publiée ce mardi par Renaissance Numérique
le think tank de la société numérique tente d'apporter des pistes. 
L'étude réalisée avec Médiamétrie a été menée auprès de 1 000 internautes âgés de 15 ans et plus, représentatifs de la population internaute résidant en France.
53% des Français attendent en priorité des pouvoirs publics qu’ils développent des services administratifs en ligne (impôts, passeports, etc.), 
et qu’ils soient plus transparents concernant les budgets administratifs.
Plus surprenant, ils sont à peine plus d’un tiers à souhaiter pouvoir voter par Internet (36%), et à attendre l’ouverture des données publiques (34%).
Selon les auteurs de l’étude, les jeunes (15-34 ans) sont plus sensibles au développement d’outils de participation citoyenne, comme les pétitions en ligne par exemple, et peu intéressés par la transparence des budgets administratifs. 

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/04/renaissance-numerique-1.png
renaissance-numerique-1
On notera que seuls 7% des répondants déclarent avoir participé à des concertations en ligne organisées par des administrations publiques, 
(à l’image du budget participatif de la ville de Paris par exemple).
29% des répondants n’utilisent pas Internet à des fins politiques (la proportion augmente avec l’âge, avec 32% des plus de 50 ans à déclarer être dans cette situation). 19% des répondants déclarent ne pas être intéressés par les outils politiques en ligne. 


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AccorHotels franchit une nouvelle étape dans le projet d’acquisition de Fairmont Raffles Hotels International

AccorHotels franchit une nouvelle étape dans le projet d’acquisition de Fairmont Raffles Hotels International avec l’obtention des autorisations de l’ensemble des autorités de la Concurrence


Communiqué de presse http://pressroom.accorhotels-group.com/

26 avril 2016
 
AccorHotels annonce ce jour avoir reçu les autorisations de toutes les autorités de la concurrence des juridictions concernées, satisfaisant ainsi l’une des conditions nécessaires à la finalisation du projet d’acquisition de Fairmont Raffles Hotels International.
Comme annoncé, la prochaine étape clé pour finaliser cette opération sera la tenue de l’Assemblée Générale Extraordinaire des Actionnaires, qui sera appelée à se prononcer sur l’augmentation de Capital réservée, ainsi que la nomination au Conseil d’Administration du groupe des représentants de Qatar Investment Authority et Kingdom Holding. Celle-ci devrait être convoquée dans les semaines qui viennent. La clôture de la transaction est prévue pour mi-2016.
À PROPOS DE ACCORHOTELS
AccorHotels, un groupe uni autour d’une même passion, l’accueil, et porté par une même promesse : Feel Welcome.
Plus de 190 000 femmes et hommes, sous enseignes AccorHotels, veillent chaque jour sur des milliers d’hôtes dans 3 900 hôtels implantés dans 92 pays.
Premier opérateur hôtelier au monde, AccorHotels met au service de ses clients, partenaires et collaborateurs :
- ses deux expertises d’opérateur/franchiseur (HotelServices) et de propriétaire/investisseur (HotelInvest) ;
- un large portefeuille de marques de renommée internationale allant du luxe (Sofitel, Pullman, MGallery, Grand Mercure, The Sebel) à l’économique (ibis, ibis Styles, ibis budget, adagio access et hotelF1) en passant par le milieu de gamme (Novotel, Suite Novotel, Mercure, Adagio) ;
- la puissance de sa place de marché et de son programme de fidélité Le Club AccorHotels;
​- l’engagement depuis près de 50 ans d’une entreprise citoyenne et solidaire avec son programme PLANET 21.
ACCOR SA est une société cotée sur Euronext Paris (Code ISIN : FR0000120404) et sur le marché OTC aux USA (Code ACRFY)


Fragilité du projet de reprise des EAUX QUEZAC

Fragilité du projet de reprise des EAUX QUEZAC
27 avril 2016 à 14h44  http://www.fusacq.com/buzz

La SOCIETE DES EAUX DE MONT ROUCOUS

Capture d'écran: https://www.mont-roucous.com/
(siège social à Lacaune-Les-Bains/ Tarn, CA 33 millions d'euros) 
est entrée en négociation le 10 mars dernier pour racheter son concurrent Quézac 
qui appartient au groupe NESTLE 
(siège social à Issy les Moulineaux/ Hauts-de-Seine, CA 7 milliards d'euros).

La société des Eaux de Mont Roucous annonce la lancée d'un second audit, 
car le Groupe Nestlé avait mis en avant la fragilité du premier projet industriel de reprise. 
En effet ce projet industriel ne serait pas en phase avec les objectifs affichés.

Le désaccord porte aussi bien sur l'aspect commercial que sur l'aspect social. 
Nous suivrons l'évolution du second audit.

Source : Flash-infos

Capture d'écran: http://www.fusacq.com/buzz


Autres articles sur l'opération :

11/03/2016Boissons : Les eaux MONT ROUCOUS pourrait racheter QUEZAC (Flash Infos)
11/03/2016Les EAUX MONT ROUCOUS veulent racheter les EAUX QUEZAC à NESTLE WATERS (AFP)

5 conseils pour trouver ses premiers business angels

5 conseils pour trouver ses premiers business angels


Souvent indispensables pour les premiers financements d'une start-up, les business angels sont très courtisés. Toutefois, dans un contexte où de nouvelles entreprises ne cessent de voir le jour chaque semaine, les entrepreneurs ne sont pas tous logés à la même enseigne. En 2015, les business angels ont investi plus de 41 millions d'euros dans l'Internet français, selon le baromètre FIBAMY.
Stéphanie Hospital, la fondatrice du fonds One Ragtime, et Mounia Rkha, Seed Club Manager chez ISAI Gestion, partagent leurs conseils pour trouver ses premiers business angels.

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/04/St%C3%A9phanie-Hospital.jpg
Stéphanie Hospital1- Développer son réseau : ce n'est un secret pour personne. Pour boucler une levée de fonds, décrocher un sponsor ou trouver un business angel, tout commence par le biais du réseau à sa disposition. Cela commence par le réseau proche (famille, amis, collègues, etc.) pour progressivement trouver les bonnes personnes, celles qui permettront d'accélérer le développement de la société.  «Idéalement, un angel, c'est quelqu'un qui comprend le business, qui est positif, qui apporte une expertise et qui peut l'accélérer par son réseau d'expérience», note Stéphanie Hospital. ll est essentiel de bien s'entourer car ce sont des personnes qui accompagnent le projet pendant 5 à 7 ans. «C'est un mariage», ajoute la fondatrice de One Ragtime.
2- Avoir un mentor : créer des relations avec un mentor peut se révéler très astucieux et efficace. En lui demandant des conseils pour se lancer, il sera sensible à cette demande. Le jour venu pour lever des fonds, il est utile d'en parler à son mentor. «Ce dernier sera tenté d'investir et emmènera ses copains dans son sillage», commente Mounia Rkha, Seed Club Manager chez ISAI Gestion. Il faut prendre le temps d'échanger avec les business angels sur le long terme, ils seront contents de vous voir évoluer.
3- Ne pas s'associer trop vite : avant même de convaincre un quelconque investisseur, le succès futur de la start-up réside dans l'équipe qui la compose. Il est important pour un entrepreneur d'avoir cette capacité de choisir. Une très forte équipe se distingue par un binôme marketing business. Pour être crédible, l'équipe doit établir un plan financier solide et une feuille de route claire pour atteindre ses objectifs. Se précipiter ne va pas accélérer le développement de la start-up. Bien au contraire. Une levée de fonds mal ficelée au départ renvoie une mauvaise image du projet. «Une levée de fonds n'est pas une fin en soi, c'est développer un business», explique Stéphanie Hospital.

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/01/Mounia-Rkha-Une-credit-Olivier-Ezratty.png
Mounia-Rkha-Une-credit-Olivier-Ezratty4- Bien préparer son dossier : c'est une étape primordiale pour convaincre un business angel. Le dossier présenté constitue le premier contact concret avec le projet pour l'investisseur. Ainsi, il est impératif de veiller à la cohérence du projet et à l'intérêt que peut voir l'angel dans l'aventure. Il faut garder en tête que les business angels sont des investisseurs qui vont miser sur la tête de l'entrepreneur. Il est donc indispensable pour ce dernier de connaître parfaitement son marché et la concurrence qui en découle. Ces deux points doivent transparaître dans le dossier. De plus, il est plus facile de vendre un dossier à un business angel qui gravite dans la sphère dans laquelle se trouve la start-up en question. «Si vous prenez un business angel qui n'est pas du tout de votre secteur, ce sera compliqué de lui vendre votre vision. Il sera plus rassuré avec un dossier plus classique», confie Mounia Rkha, Seed Club Manager au sein d'ISAI. Les dossiers trop sophistiqués sont déconseillés, tout comme mentionner l'idée de revendre la boîte deux ans après.
5- Se faire recommander : c'est une option à ne surtout pas négliger. Se faire recommander peut mettre des business angels dans un contexte favorable pour une start-up en quête de financements. «J'ai une règle d'or : quand on m'envoie un dossier provenant de quelqu'un de mon réseau, je rencontre systématiquement les projets qui me sont recommandés», confie Mounia Rkha. Un business angel qui reçoit des entrepreneurs qu'on lui a recommandés sera plus susceptible de les écouter et de les aiguiller pour détecter leur potentiel.
 
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Maxence Fabrion

Journaliste stagiaire chez Adsvark Media / FrenchWeb - We Love Entrepreneurs

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Un entrepreneur en SASU paie plus d’impôts qu’un auto-entrepreneur…

[INSIDERS] Un entrepreneur en SASU paie plus d’impôts qu’un auto-entrepreneur…

  • Le chiffre du jour :

Un entrepreneur en SASU paie 1,5 fois plus de charges qu’un auto-entrepreneur (1/3)

image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/04/ilovetax.png
ilovetaxSi un auto-entrepreneur paie en moyenne 6.325 euros de charges (cotisations sociales, impôts sur le revenu et impôts sur les société confondus), un entrepreneur seul ayant choisi d’exercer son activité avec un statut de SASU (Société par Actions Simpifiées Unipersonnelle) en paiera environ 1,5 fois plus. Les 9.785 euros de charges qu’il devra payer se composent de cotisations sociales à 94%, d’impôts sur le revenu à 5% et d’impôt sur les sociétés pour 1%. C’est ce que nous apprend une simulation de charges sociales et d’impôts réalisée par ILoveTax pour Frenchweb, une start-up lancée en 2014 par Jérémie Voslion, spécialiste en fiscalité et Cédric Bidet, développeur informatique.
Autrement dit, cela veut dire un revenu annuel de 13.000 euros pour l'entrepreneur en SASU ou pour l'auto-entrepreneur. Assez peu, mais que la start-up justifie ainsi: «Nous sommes partis de cas hypothétiques, mais qui sont significatifs par rapport aux demandes de simulations que l'on reçoit, et de ce que nous avons pu constater autour de nous. Nous nous intéressons ici au cas d'une personne qui vient de se lancer dans son projet, et qui se verse une faible rémunération car il perçoit des aides de Pôle Emploi». Dont acte. Espèrons que ses revenus puissent croître sur la durée…
image: http://www.frenchweb.fr/wp-content/uploads/2016/04/ilovetax-entrepreneur.png
ilovetax-entrepreneur
** Pour réaliser sa simulation, ILoveTax a considéré le profil d’un entrepreneur célibataire, profession libérale, réalisant 25.000 euros de chiffre d’affaires par an. Il se rémunère 13.000 euros net par an, et dépense 2.000 euros en frais divers.

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