mercredi 28 décembre 2016

Comment vivrons-nous en 2020 à Paris ?


01
Capture d'écran: http://www.jcdecaux.fr/

L’économie collaborative fera loi

Comment vivrons-nous en 2020 à Paris ?

Se déplacer, se restaurer, s’informer, la ville de Paris est en train de d’évoluer en une cité toujours plus communicante. Nous sommes en 2020 et voilà ce que nous offre la ville lumière…

L'IPAG Business School en collaboration avec l'Institut de l'économie circulaire et la Fondation Nicolas Hulot ont réalisé une étude intitulée «sur la mise en œuvre de l’économie de fonctionnalité : Paris 2020 ». En se basant sur les nouveaux comportements des consommateurs et partant de leur point de vue et de l’approche par les besoins, l’étude a dégagé 4 axes qui permettent d’imaginer ce que pourrait être Paris, ou toute agglomération française en 2020 en matière de mobilité, d’hébergement, d’alimentation et d’équipements. Ainsi, « l’étude plus créative que prospective permet d’inventer demain. Tous les domaines de la vie quotidienne  seront régis par un accès plus simple aux ressources, moins de gaspillage et donc une meilleure optimisation des usages. Avec l’aide de 4 étudiants de l’IPAG en Master 2 « Supply chain management et Economie Circulaire», les différentes équipes ont réfléchi et scénarisé l’avenir à partir de ces constats. Ainsi, Paris en 2020 sera plus écologique, égalitaire et rentabilisée  », analyse Dominique Bonet Fernandez, enseignante chercheuse à L’IPAG et en charge de l’étude. Focus…

Avec les Vélib, Autolib… nous sommes entrés dans l’ère de l’économie collaborative et d’ici 5 ans, cette économie de la fonctionnalité, où la propriété ne prime pas sur la fonction de l’objet, fera loi. « Nous nous sommes demandés comment chaque secteur de la consommation serait impacté par cette nouvelle économie et comment nous la vivrions dans notre quotidien. Notre étude se focalise donc sur l’économie de la fonctionnalité mais toutes les stratégies de réduction des flux de matière s’imbriquent dans ce modèle économique et nous les avons intégrés à l’étude. Il est question de nouveaux comportements de consommation basés sur la mutualisation, l’échange, le troc et la location que nous avons mis en exergue et qui répondent aux nouvelles attentes et besoins des citoyens  », précise Anne de Béthencourt de la FNH.

Demain, où habiterons-nous ?

En 2020, les Parisiens souhaiteront vivre dans des immeubles Eco-conçus, c’est-à-dire autonomes en termes d’énergie, où il fait bon vivre (chaleur, lumière, etc…) et réalisés à base de matériaux d’isolation recyclés par des associations socialement responsables (insertion et réinsertion).
Les étudiants parisiens seront amenés de plus en plus à se déplacer pour leurs études, leurs stages, leurs emplois en alternance et ce à travers toute la France et dans le monde. Au lieu de louer des appartements dans deux villes différentes, ils échangeront leurs appartements avec des étudiants dans la même situation dans une autre ville, évitant une double location pour quelques jours ou semaines par mois.
Une réflexion sur le meilleur usage des ressources immobilières inoccupées ou sous utilisées amènera les entreprises et les universités par exemple dont les espaces ne sont utilisés que dans des périodes précises (septembre à avril) à faire des échanges ou à louer ces espaces inoccupés. Ces solutions pourront aussi s’étendre et s’appliquer aux gares et aux autres espaces collectifs inexploités de la ville.

Demain, que mangerons-nous ?

2020, verra naître une agriculture urbaine en plein cœur de Paris. Là encore, le moteur principal de ce développement est la valorisation de l’espace non utilisé. Ainsi, les jardins publics, les toits, les terrasses seront utilisés pour cultiver et produire localement des fruits, des légumes, des céréales, … avec un impact environnemental positif puisque les aliments frais ne traverseront plus la France pour arriver dans nos assiettes, mais juste le coin de la rue.
L’alimentation en vrac explosera, ainsi que le système de consigne avec là encore une baisse de l’impact carbone grâce à l’absence de packaging et donc une diminution des déchets.

Demain, comment nous déplacerons-nous ?

Et si les pires cauchemars des Parisiens prenaient fin en 2020 ? C’est ce que prédit l’étude : plus d’embouteillages et des places de parkings faciles à trouver. Non ce n’est pas un rêve mais une réalité à  l’ère des smart cities, grâce à des applications qui permettront de trouver les places disponibles dans Paris en temps réel et qui nous éviteront de tourner en rond pendant des heures. Des navettes professionnelles  permettront aux travailleurs de ne pas prendre leur voiture pour aller travailler, traversant Paris d’un point à un autre sans arrêt, limitant par la même occasion l’impact carbone. Et enfin, en libérant Paris des camions de livraison grâce à l’utilisation du métro la nuit, les marchandises seront livrées depuis les gares vers les quartiers commerçants; la logistique du dernier kilomètre sera optimisée et le trafic fluidifié durant la journée.

Demain, comment nous équiperons-nous ?

2020 verra la fin de la fracture numérique, qu’elle soit intergénérationnelle, socio-culturelle ou économique. Tout le monde aura accès aux technologies grâce à la location de courte ou longue durée ou la mutualisation des équipements (ordinateurs, imprimantes, scanner…) et des accès internet. Ainsi, par exemple dans un même immeuble parisien où se côtoient toutes les générations et profils socio-économiques, les habitants partageront entre eux leur wifi et leurs objets connectés selon leurs besoins. En effet, pourquoi acheter une imprimante alors qu’on imprime qu’une fois par an des billets de train ? Mais ce partage s’étendra à tous les objets électriques et électroniques du quotidien et pourra prendre la forme d’échange, de troc ou de location.

Alors si Paris en 2020 sera toujours et encore plus communicante, elle le sera grâce à plus de fonctionnalités et plus de créativité permettant de mieux y vivre concrètement mais aussi de s’y épanouir et pourquoi pas de s’y évader.

vendredi 23 décembre 2016

Cession de l'imprimerie Sensey (62) et optimisation des moyens de production

Capture d'écran: http://www.graphiline.com
L'imprimerie Sensey (62) cédée au groupe dirigé par Dorothée Leveaux. © Google Street View

Cession de l'imprimerie Sensey (62) et optimisation des moyens de production

http://www.graphiline.com

Cette imprimerie installée dans le Pas-de-Calais a réalisé en 2015 un chiffre d'affaires de 3,3 millions d'euros. Avec son acquisition, le groupe dirigé par Dorothée Leveaux vise un chiffre d'affaires consolidé d'environ 5 millions d'euros sur trois unités.

L'imprimerie Sensey (62) cédée au groupe dirigé par Dorothée Leveaux. © Google Street View
L’imprimerie Sensey, installée à Saint-Laurent-Blangy près d’Arras (62) change de direction. Viviane Nawrot, ex-propriétaire, a cédé en octobre 2016 l’entreprise à Dorothée Leveaux.

Une imprimerie familiale fondée en 1978

Créée en 1978 par la famille Sensey, l’imprimerie avait été acquise en 2005 par Viviane Nawrot.
Spécialisée dans les moyennes et petites séries (offset, UV et numérique), l’imprimerie Sensey emploie 27 personnes pour un chiffre d’affaires en 2015 de 3,3 millions d’euros.
Pour Dorothée Leveaux, qui dirige un groupe comportant trois sites d'impression, cette nouvelle acquisition va permettre un développement plus rapide du groupe sur la région Hauts-de-France.

Trois pôles : offset, numérique et publicitaire

Avec ses trois unités ; l’imprimerie Sensey, l’imprimerie Centrale du Nord et l’imprimerie Balder, le groupe dirigé par Dorothée Leveaux vise un chiffre d’affaires consolidé d’environ 5 millions d’euros.
Les activités du groupe sont réparties en trois pôles, l’offset pour l’imprimerie Sensey, le numérique et les courts-tirages à Centrale du Nord et le pôle publicitaire et grand format à Balder (objets publicitaires, sérigraphie, tampographie, etc.)
"On optimise les moyens de production sur les différents sites, par thématiques" résume Dorothée Leveaux.

AZUR DRONES lève 3,5 M€ auprès d’une famille industrielle

Capture 'écran: http://www.azurdrones.com/
Acteur majeur et pionnier dans le secteur du drone civil en France, Azur Drones profite de l’entrée au capital d’une grande famille industrielle française pour accélérer l’extension géographique de son réseau, réaliser des acquisitions stratégiques et amplifier le déploiement de son offre unique de vidéoprotection par drone, Azur Drones’Guard.

Soutenue depuis juillet dernier par Inter Invest Capital à hauteur de 1 million d’euros, Azur Drones accueille à son tour de table une grande famille industrielle française. Celle-ci a été séduite par la vision stratégique de la société ainsi que par ses compétences, tant techniques que managériales. Affichant une croissance à deux chiffres depuis sa création en 2012 et comptant déjà 15 collaborateurs, la start-up figure en effet parmi les leaders du drone civil en France. D’un montant de 3,5 millions d’euros, cette nouvelle levée de fonds, qui en préfigure déjà une troisième à court-terme en 2017, va lui permettre d’élever encore ses ambitions.

UN ACTEUR DÉJÀ INCONTOURNABLE SUR UN MARCHÉ AMENÉ À SE CONSOLIDER

Forte de son expertise technique et opérationnelle autour des usages du drone civil, Azur Drones s’impose déjà comme un partenaire stratégique des grands donneurs d’ordre (SNCF, EDF, RATP, Aéroports de Paris…). Au travers de ses offres, la start-up propose des services de captation et de traitement des données, mais assure également des prestations de conseil, de formation et de surveillance. Elle intervient principalement dans les secteurs du bâtiment, des travaux publics, de l’industrie et de la sécurité. Elle a notamment été sélectionnée pour figurer au catalogue de l’UGAP (Union des Groupements d’Achats Publics), partenariat qui offre un accès privilégié pour les collectivités publiques aux prestations par drones.

AZUR DRONES DÉPLOIE MAINTENANT SON OFFRE UNIQUE DE VIDÉOSURVEILLANCE PAR DRONES BAPTISÉE AZUR DRONES’GUARD.

Jean Gagneraud, son président, confie ainsi : « nous avons souhaité nous associer à notre nouveau partenaire dès maintenant, pour être proactifs dans la consolidation du marché, et pour y occuper rapidement la position de leader. Nous sommes aujourd’hui soutenus par un investisseur de long-terme, qui partage nos valeurs d’excellence et qui souhaite continuer à investir régulièrement dans Azur Drones au fil de notre croissance. Il fait confiance à l’équipe que j’ai réunie autour de Jean-Marc Crépin et Stéphane Morelli (par ailleurs actuel Président de la Fédération Professionnelle du Drone Civil) pour assurer notre développement.»

2017 : UNE ANNÉE HAUTEMENT STRATÉGIQUE POUR AZUR DRONES

Avec, pour la 4e année consécutive, une croissance annuelle à deux chiffres, Azur Drones réalise une très belle performance sur un marché porteur. L’entreprise souhaite ainsi passer à la vitesse supérieure en 2017, en renforçant notamment sa présence sur le territoire national, par voie de croissance externe, mais aussi en diversifiant encore ses activités autour de la vidéo-protection. Ces activités de sécurité privée sont principalement regroupées dans l’offre Azur Drones’Guard, légitimée par une équipe essentiellement composée d’anciens militaires spécialistes du renseignement par drones, et par d’importants investissements sur des solutions technologiques de pointe. La société accélère aujourd’hui ses recrutements de spécialistes opérateurs du renseignement et entend développer une offre qualitative en adéquation avec les attentes des acteurs publics, mais aussi des exploitants de sites et chantiers sensibles.
S’appuyant aujourd’hui sur une structure solide et des compétences bien identifiées, Azur Drones affiche donc des ambitions fortes pour lesquelles cette nouvelle levée de fonds se révèlera pertinente.

À PROPOS D’AZUR DRONES

Azur Drones est un des leaders du marché du drone civil spécialiste des services de captation et de traitement de données, conseil, formation et surveillance. L’expertise technique et opérationnelle d’Azur Drones se déploie autour de 5 offres : Azur Drones’Guard (vidéoprotection), Bati Drones, Thermo Drones, TP Drones et Expert Drones. Azur Drones est le partenaire stratégique des grands donneurs d’ordre comme SNCF, EDF, RATP, Aéroports de Paris. Créée en 2012 par Jean Gagneraud, Président, et Stéphane Morelli, Directeur Général, responsable des opérations et actuel Président de la Fédération Professionnelle du Drone Civil, Azur Drones compte 15 collaborateurs. En juin 2016, Jean-Marc Crépin renforce l’équipe de direction en qualité de Directeur Général en charge du développement et des finances.

Source : Communiqué de presse


Toute l'actualité de : - AZUR DRONES
Les investisseurs et experts de l'opération
Investisseur : - INTER INVEST CAPITAL (3)

Partager sur facebook Partager sur twitter Partager sur Google+ Icone partage sur Viadeo Icone partage sur LinkedIn



Ils veulent faire des acquisitions dans ce secteur
Titre Localisation CA Max(K€) Réf.
Fabrication d'électronique professionnelle Ile-de-France 5000K€   A11077
Les acheteurs du secteur "Constructeurs matériel électronique"

En direct de Fusacq
22/12 Dirigeant de PME - Industrie mécan…
22/12 Fabrication d'outillages, pièces m…
22/12 Installation de matériel de sécur…
22/12 Portefeuille de gestion et administ…
22/12 Groupe de TAXI, VSL et VTC
22/12 Travaux de menuiserie bois et PVC
22/12 Portefeuille clients en relations c…
21/12 Fabrication et pose de clôtures et…
21/12 Fabrication de pièces de chaudronn…
21/12 Agence d'études de marché et mark…


Publicité

jeudi 22 décembre 2016

Uber enregistre une perte de plus de 800 millions de dollars au troisième trimestre


Uber
Capture d'écran: http://www.frenchweb.fr
  • Sur les 9 premiers mois de l'année, Uber a enregistré 3,7 milliards de dollars de revenus, pour 2,2 milliards de dollars de pertes. 
  • Entre le deuxième et le troisième trimestre, la plateforme de VTC a vu ses revenus nets augmenter de 55%. 
 
Le chiffre d'affaires d'Uber devrait dépasser les 5,5 milliards de dollars en 2016, selon une information rapportée par Bloomberg. Sur les 9 premiers mois de l'année 2016, la plateforme de VTC américaine aurait déjà réalisé près de 3,76 milliards de dollars de chiffre d'affaires, pour une perte qui dépasse les 2,2 milliards de dollars. Sur le seul troisième trimestre, la société a ainsi enregistré une perte de plus de 800 millions de dollars. Sur l'ensemble de l'année, Uber devrait réaliser 3 milliards de dollars de pertes. 
En termes de saisonnalité, près du tiers (31%) des revenus de la société ont été générés au troisième trimestre cette année. Si elle atteint ses prévisions pour l'année, c'est au quatrième trimestre de l'année qu'elle sera la plus performante, avec 1,74 milliard de dollars de revenus nets. 
Si l'on considère les «réservations» (le montant des courses payées par les usagers, qui comprend donc l'indemnisation de ses chauffeurs partenaires, ndlr) enregistrées par la plateforme, cette dernière a enregistré des résultats en hausse (3,8 milliards de dollars au premier trimestre, 5 milliards de dollars au second trimestre, et 5,4 milliards de dollars au troisième trimestre). A noter, entre le deuxième et le troisième trimestre, l'entreprise dirigée par Travis Kalanick a vu le montant de ses encaissements augmenter de 8%. Dans le même temps, ses revenus nets ont augmenté de 55%. 
uber-bloomberg-2016
Les données présentées n'incluent pas les activités d'Uber en Chine. 
Depuis son lancement en 2009, Uber n'a jamais atteint la rentabilité. Bien qu'elle soit valorisée 68 milliards de dollars, la société aurait perdu plus de 4 milliards de dollars depuis sa création, toujours selon Bloomberg. En octobre dernier, l'entreprise annonçait avoir dépassé la barre des 40 millions d'utilisateurs actifs par mois. 
 
LIRE aussi : 
 
Crédit photo: Uber
Claire Spohr

Claire Spohr

Chargée d'études à la Rédaction at Adsvark Media / FrenchWeb - We Love Entrepreneurs

Speaken, une app pour mettre les Français à la pratique de l’anglais


Capture d'écran: http://www.frenchweb.fr

[FW Radar] Speaken, une app pour mettre les Français à la pratique de l’anglais

Par | le 21 décembre 2016 |
Speaken a été fondée par trois amis Olivier Croce, Jeremy Marc et Pierre Josseaux. Après avoir travaillé ensemble sur différents projets, ils se lancent dans l'entrepreneuriat en janvier 2016.
L'application Speaken propose aux utilisateurs de discuter quotidiennement avec des natifs étrangers via un live chat. Le but est d'améliorer son niveau d'anglais rapidement tout en pratiquant. 
Le dispositif est accessible à partir de 4,99 euros. Plus de détails avec Olivier Croce, cofondateur de Speaken.

FrenchWeb: à quel besoin répond Speaken?

olivier-croceOlivier Croce, cofondateur: Speaken va réconcilier les Français avec l’anglais. La France est classée 17ème sur 44 pays non-anglophones au classement TOEFL. J’ai été chasseur de têtes pendant 8 ans, j’ai rencontré beaucoup de cadres qui étaient frustrés de leur niveau d’anglais et passaient à côté d’opportunités professionnelles. Je côtoie de nombreux entrepreneurs Français qui souhaitent se développer à l’international et la barrière de la langue est un vrai frein.
Sur un marché de 60 milliards de dollars, 70% des élèves abandonnent les solutions traditionnelles de formation. En outre, l’enseignement est jugé trop théorique et les formations sont onéreuses.
Maîtriser une (ou plusieurs) langue est devenu indispensable partout dans le monde, et est une question de survie pour les Français!

Quelle est votre proposition de valeur?

Denenir bilingue an anglais en pratiquant 20 minutes par jour. Notre application met en relation 24/7 des tuteurs natifs anglophones et des élèves souhaitant perfectionner leur niveau d’anglais. La pratique de l’anglais devient facile, accessible n’importe quand et n’importe où.

Qui sont les utilisateurs de vos solutions? 

Nos clients sont pour l’instant principalement des cadres, jeunes actifs ou confirmés, qui possèdent des bases en anglais mais qui ont besoin de progresser pour parler couramment.
Ce sont des personnes hyper connectées, nomades, et qui n’ont pas le temps pour faire des formations intensives. Ils ont besoin de progresser pour changer de job, partir vivre à l’étranger, être à l’aise avec des clients internationaux ou développer leur business à l’étranger (CEO de Start-up par exemple).
Aucun rendez-vous n'est nécessaire. Les utilisateurs de l’application peuvent parler directement avec les tuteurs en direct ou réserver des sessions de conversations. A la fin de chaque session, le tuteur évalue l’élève et inversement, en toute transparence. Les sessions ont lieu par video conférence et sont toutes enregistrées. Ils peuvent regarder et re-regarder les sessions autant de fois qu’ils veulent.
Grâce à l'application, ils peuvent parler anglais quand ils veulent, les conversations sont des micro-moments ludiques et interactifs. 

Qu'est ce qui vous distingue de vos concurrents?

Nous sommes les seuls à proposer une alternative fullweb et totalement mobile à l’enseignement classique et à mettre en relation directement natifs et élèves n’importe où, n’importe quand.
Nos concurrents sont Babbel, Duolingo…des solutions algorithmiques où on est seul face à un robot. C’est fun, gratuit, mais pas très motivant. Mais aussi les acteurs traditionnels de la formation en anglais…Wall Street, Berlitz…solutions pro, connues et reconnues mais avec des prestations onéreuses, pas très fun et motivantes.

Quel est votre plan de développement?

Notre application est disponible sur iOS. La version Android est prévue dans quelques semaines. Nous imaginons aussi une version Desktop.
Nous avons intégré un newsfeed, avec des sujets d’actualité sur lesquels les élèves peuvent échanger avec nos tuteurs.
Nous sommes en train de préparer de gros partenariats avec des acteurs de la formation pour cibler le marché B2B. Nous prévoyons de recruter des développeurs, des commerciaux et des talents marketing online.

Quels sont vos enjeux?

Le marché est énorme, ultra concurrentiel….mais le marché manque d’innovation. Nous croyons beaucoup au «speed language learning», c'est-à-dire la capacité à apprendre ou pratiquer une langue différemment. Nous voulons recréer les bénéfices de l’immersion à l’étranger grâce à notre solution viurtuelle et mobile.
Nous sommes en train de finaliser une levée de fonds qui va nous permettre d’industrialiser notre produit en France, de créer de la croissance sur la cible B2C et B2B, recruter de nouveaux talents et préparer le déploiement international (multi-langues, multi-pays). 
  • Speaken : Les données clés
Fondateur : Olivier Croce, Jeremy Marc et Pierre Josseaux
Date de création : janvier 2016
Levée de fonds : en cours
Siège : Paris
Lire aussi: 

#MaddyNoël Découvrez La Belle Assiette et remportez un dîner pour 6 personnes

Capture d'écran: https://www.maddyness.com/entrepreneurs/2016

Pour ce 14ème jour de notre MaddyNoël, découvrez La Belle Assiette, un service de réservation de chef à domicile. Et si l’idée vous met l’eau à la bouche, La Belle Assiette et Maddyness vous offrent un repas pour 6 personnes ! Découvrez comment le remporter en fin d’article. 

Alors qu’ils sont tous les deux déjà, à leur échelle, plongés dans le milieu de la “food” (le premier avait créé un service de réservation de nourriture en ligne pour les étudiants de son école et le second avait des amis travaillant en tant que chefs à domicile), Stephen Leguillon et Giorgio Ricco décident de s’unir en 2012 afin de créer une nouvelle façon de consommer la restauration. Après six mois de tests de concepts, parmi lesquels la livraison de plats de chefs aux particuliers, les deux jeunes entrepreneurs trouvent leur voie : Quoi de mieux que de profiter des services d’un chef, ce pour quoi l’on se rend au restaurant, sans avoir à sortir de chez soi ni partager son espace avec des inconnus ? La Belle Assiette et son concept encore jamais éprouvé en France voient le jour en 2013. 
la belle assiette
L’idée ? Offrir aux particuliers les services d’un chef à domicile, qui vient cuisiner sur place, servir à table, puis s’occupe de la vaisselle et nettoie la cuisine avant de partir. Une offre tout-en-un qui permet à chacun de bénéficier d’une soirée en toute sérénité, alliée à la proximité avec le chef qui est dédié à ses clients, le tout pour un tarif raisonnable débutant à 35 euros par convive. 
La startup, au départ composée de 5 collaborateurs et d’une quarantaine de chefs à Paris, compte aujourd’hui une trentaine de collaborateurs travaillant sur le projet à Paris, Londres et Berlin, accompagnés de plus de 700 chefs dont un peu plus de la moitié en France. Elle prévoit désormais d’accélérer son développement sur les cinq marchés existants (France, UK, Belgique, Suisse, Luxembourg) avant de viser, à plus long terme, d’autres pays.

Envie de remporter un dîner pour six personnes avec La Belle Assiette ? Deux choses à faire : Retweeter ou partager ce post sur Facebook (en public). Suivre le compte Twitter ou Facebook de La Belle AssietteTirage au sort le 28 décembre.

mercredi 21 décembre 2016

La réduction d’impôt pour souscription au capital d’entreprises de presse est renforcée

CAPTURE D'ÉCRAN: http://www.fusacq.com/buzz
 
20 décembre 2016 à 11h45  http://www.fusacq.com/buzz
 
La réduction d'impôt en faveur des particuliers souscrivant au capital d'entreprises de presse, créée au printemps 2015 , voit son champ d'application étendu et son montant maximal quintuplé par la loi visant à renforcer la liberté, l'indépendance et le pluralisme des médias.

Les personnes physiques qui souscrivent en numéraire, d’ici au 31 décembre 2018, au capital initial ou aux augmentations de capital d'entreprises de presse soumises à l'IS et exploitant un journal quotidien, une publication au maximum mensuelle d'information politique et générale ou un service de presse en ligne ont droit à une réduction d’impôt correspondant à 30 % des sommes versées (50 % pour les participations dans des entreprises solidaires de presse d'information).
Le champ de la réduction d’impôt est doublement étendu :
- d’une part, la condition de périodicité mensuelle maximale des publications de presse éditées est supprimée,
- d’autre part, ouvrent droit désormais à la réduction les prises de participation dans des sociétés dont l'objet statutaire exclusif est de prendre une participation au capital d'entreprises de presse et qui sont exclusivement composées d’actionnaires individuels (cela vise en pratique les « sociétés d'amis » et les « sociétés de lecteurs » qui investissent dans des titres d'information politique et générale).
Le plafond des versements ouvrant droit à réduction d’impôt est également augmenté : jusqu’à présent, la limite annuelle du montant des prises de participation retenu était de 1 000 € pour les célibataires et de 2 000 € pour les couples soumis à imposition commune. Cette limite est quintuplée, passant respectivement à 5 000 € ou 10 000 €.
En l’absence de précisions dans le texte, ces modifications entrent en vigueur à compter du 16 novembre 2016.
Capture d'écran: http://www.fusacq.com/buzz




Le groupe Hachette Livre a acquis une participation majoritaire dans la société britannique d’applications mobiles Brainbow Ltd, éditeur de Peak

CAPTURE D'ÉCRAN: http://www.peak.net/


Les communiqués de presse


Le groupe Hachette Livre a acquis une participation majoritaire dans la société britannique d’applications mobiles Brainbow Ltd, éditeur de Peak



Vanves, le 19 décembre 2016
Le groupe Hachette Livre annonce avoir fait l’acquisition d’une participation majoritaire dans la société britannique d’applications mobiles Brainbow Ltd.
La société Brainbow, créée en 2012 par Itamar Lesuisse, Sagi Shorrer, Gerald Goldstein et Xavier Louis, édite notamment l’application d’entraînement cérébral « Peak ». Peak est une application mobile conçue pour que l’utilisateur développe ses capacités cognitives à partir d’exercices cérébraux ludiques. Lancée en 2014, elle a été téléchargée 15 millions fois, a été nommée Apple Best App en 2014 et Google Best App en 2015.
Arnaud Nourry, Président-Directeur général d’Hachette Livre, a dit : « Après l’acquisition par Hachette UK de Neon Play, celle de Brainbow représente une étape supplémentaire dans le développement de l’activité mobile au sein du groupe Hachette Livre. Les fondateurs sont des entrepreneurs de talent qui sauront apporter à Hachette Livre des compétences nouvelles. Nous sommes ravis de les accueillir dans le groupe
Les fondateurs ont dit : «Nous franchissons avec enthousiasme cette nouvelle étape dans le développement international de notre application à succès et de tous produits à venir. Rejoindre le groupe Hachette Livre nous ouvre des perspectives prometteuses en matière de contenus et de distribution
Isabelle Magnac, Directeur de la branche Hachette Illustré et PDG des filiales Fascicules a dit : « les fondateurs de Brainbow ont montré leur capacité à concevoir et à exploiter avec succès une application mobile par abonnement. Je me réjouis de les accueillir dans mes équipes et de travailler avec ces professionnels de talent pour développer leur activité.»
Brainbow restera basé à Londres. Pour découvrir Peak : Peak.net


Hachette Livre, filiale de Lagardère SCA, est le troisième éditeur de livres grand public (trade) et d’éducation dans le monde. Avec un chiffre d’affaires de 2206 M € pour l’année 2015, il est n°1 en France, n°2 en Grande Bretagne, n° 3 en Espagne, et n° 4 aux USA. La centaine de maisons d’édition qui font partie du groupe publient environ 17 000 nouveautés par an, dans une douzaine de langues, mais principalement en français, anglais et espagnol. Hachette Livre couvre tous les segments de l’édition grand public : fiction et essai, livre de poche, jeunesse, illustré, guides de voyage, scolaire et parascolaire et fascicules. Hachette Livre est basé à Vanves, France.

Press contact Hachette Livre : Myriam Simonneaux 00 33 1 43 92 34 20
Press contact Brainbow : Dianne See 00 44 798 85 39 921 dianne@peak.net

vendredi 9 décembre 2016

#MaddyTools Recouvreo, la plateforme qui permet de recouvrer ses impayés en toute simplicité

CAPTURE D'ÉCRAN:

www.maddyness.com/entrepreneur

#MaddyTools Recouvreo, la plateforme qui permet de recouvrer ses impayés en toute simplicité

www.maddyness.com/entrepreneurs

Recouvreo est un cabinet de recouvrement de créance qui propose une véritable solution pour que le créancier puisse calculer et relancer simplement la majoration.

En France, les créances impayés s’élèvent à 56 milliards d’euros par an. Chaque année, 16 000 entreprises déposent le bilan en raison de paiements non respectés. L’entreprise Recouvreo, développé par le cabinet Direct Recouvrement, édite un outil permettant de couvrir les créances d’une startup. En France, les délais de paiement sont trop longs : 12 jours de retard en moyenne, ce qui fragilise les entreprises. Inciter les débiteurs à régler rapidement ou à défaut leur notifier cette majoration est vertueux. Par ailleurs, l’utilisateur de l’outil peut déclencher des courriers de relance (prêts à l’emploi), du simple rappel à la mise en demeure, mais aussi et surtout générer des relances automatique du cabinet de recouvrement (courrier envoi simple, recommandé AR, mail).
recouvreo
Recouvreo est une solution en ligne simple en 3 étapes, pour déclencher le calcul des pénalités et les relances. A l’issue de la 3ème étape, l’utilisateur reçoit sur son adresse mail une copie des documents générés : un justificatif de calcul pour les pénalités de retard, qu’il peut imprimer et joindre à sa relance, le courrier choisi prêt à l’emploi et une copie des correspondances avec l’entreprise.
Le modèle économique est celui du Freemium. L’inscription sur la plateforme est gratuite. Les principales fonctionnalités sont ensuite payantes selon un abonnement mensuel ou annuel. A ce jour, plus de 10 nouveaux utilisateurs s’inscrivent chaque jour. 

Medtronic lance Guardian Connect pour alléger le quotidien des patients diabétiques


Medtronic lance Guardian Connect pour alléger le quotidien des patients diabétiques

[Contenu réalisé en partenariat avec Medtronic]

Par | le 8 décembre 2016 | Source: http://www.frenchweb.fr
Aujourd'hui, le quotidien de la majorité des patients diabétiques se résume à une succession de piqûres au bout du doigt pour connaître leur taux de sucre dans le sang. Non seulement cette méthode, appelée glycémie capillaire, est désagréable pour le patient puisqu'il doit renouveler l'opération 4 à 6 fois par jour, mais elle est aussi imprécise. En effet, elle ne permet pas de connaître le sens de l'évolution de la glycémie.
Devant ce constat, Medtronic, fournisseur de dispositifs médicaux, a développé Guardian Connect, un système portable de mesure du glucose en continu. Ce dernier est basé sur un capteur qui prélève des mesures glycémiques toutes les cinq minutes (288 fois par jour) dans le liquide interstitiel et les envoie directement sur le smartphone du patient via une application mobile. Tous les composants du système Guardian Connect communiquent sur un réseau Bluetooth basse énergie (BLE) et/ou via une connexion de données cellulaires ou sans fil.
Plus de détails avec Emmanuelle Hoppenot, responsable Marketing Diabète chez Medtronic :

Un suivi en temps réel sur smartphone

A l'aide de ce dispositif, le patient peut ainsi avoir accès à toutes les courbes de sa glycémie sur son téléphone portable. Il a également la possibilité de recevoir des alertes par SMS en cas de situations délicates (hypoglycémie ou hyperglycémie), ce qui lui permet de rester informé en temps réel en toute discrétion. S'il le souhaite, la patient a l'opportunité de partager ses données avec son entourage.
Le système inclut également une option qui permet la télétransmission automatique des données au quotidien vers le logiciel de gestion du traitement CareLink, ce qui permet aux fournisseurs de soins de santé de vérifier les données avant les rendez-vous et d'ajuster le traitement selon les besoins.
Pour l'heure, Guardian Connect est seulement disponible sur iOS. Cependant, Medtronic travaille également avec Samsung pour développer une application Android et améliorer l'expérience utilisateur sur les smartphones de la firme sud-coréenne.
gc-components_aus_HCP-site
  • Medtronic : les données clés
  • Date de création : 1949
  • Localisation : Irlande
  • Effectifs : + de 84 000 collaborateurs
 
FrenchWeb

FrenchWeb

l'équipe de FrenchWeb at AdsVark Digital Publishing