mercredi 24 janvier 2018

Brian Kelly : “Ce n’est pas la fin du Bitcoin”#gerardpocquet


Une pièce Bitcoin
Capture d'écran et source: https://www.crypto-france.com

Brian Kelly : “Ce n’est pas la fin du Bitcoin”

Brian Kelly, gestionnaire du fonds d’investissement en crypto-monnaies BKCM et intervenant régulier de l’émission “Fast Trader” diffusée sur la chaîne CNBC, est loin d’être perturbé par la chute du prix du Bitcoin. Il estime d’ailleurs qu’il s’agirait d’une excellent opportunité pour se placer sur le marché, après la correction majeure qu’il a pu subir.

Après un record historique, -50% pour le Bitcoin

Hausse prix Bitcoin
Après avoir franchi un record historique à plus de 20 000 dollars à la mi-décembre, le prix du Bitcoin avait perdu mercredi dernier plus de 50% de sa valeur, en passant sous la barre des 10 000 dollars.
Et de nombreux autres actifs numériques, au premier rang desquels le Ripple ou le Bitcoin Cash, ont fait les frais du climat baissier qui entoure actuellement les marchés.
Mais pour Brian Kelly, gestionnaire du fonds BKCM, le Bitcoin est loin d’avoir dit son dernier mot :
“En ce moment, tout le monde est en train de dire que c’est fini, que ça y est, le Bitcoin est mort, pour la 175ème fois. Mais c’est le moment de commencer à s’y intéresser, du côté des acheteurs. Et des capitaux continuent d’affluer. Ces flux n’ont pas cessé. Ce n’est pas la fin du Bitcoin”.

Des chutes brutales

Chute Bitcoin Saxo BankM. Kelly s’attend à ce que le marché des crypto-monnaies reste, sur le long terme, un marché haussier. Il estime que la vaste majorité des investisseurs qui évoluent dans cet écosystème demeurent optimistes.
Mais il préfère prévenir les épargnants qui lorgnent du côté de l’actif numérique : ils devront être capables de faire face à des corrections brutales, pouvant aller jusqu’à 20%, voire 30% par jour – des corrections qui sont monnaie courante sur ce marché.
Ces actifs peuvent évoluer de 20 à 30% en une seule journée“, a alerté M. Kelly, en ajoutant que les investisseurs avaient tendance à revendre trop tôt leurs monnaies numériques. “Une fois qu’un élan [momentum] prend place, il faut conserver ses crypto-monnaies – même si cela vient d’augmenter de 20 à 30%“.
L’analyste a par ailleurs invité les téléspectateurs à ne pas placer plus de 5% de leur patrimoine dans de tels supports d’investissement.
Brian Kelly CNBC

Une baisse “extrêmement saine”

Un BitcoinLe Bitcoin et les autres crypto-monnaies ont connu une année 2017 exceptionnelle, aussi bien en termes de valorisation (celle-ci a été multipliée par 33) qu’en termes de popularité.
Mais comme l’a précédemment fait remarquer le créateur du Litecoin, Charlie Lee, un cycle haussier va devoir, de manière quasi-systématique, laisser place à un cycle baissier. Et il n’est pas étonnant, du fait de la flambée des actifs numériques l’année dernière, d’assister à l’une des corrections les plus sévères de l’histoire de ces marchés.
À la fin du mois de décembre, alors que le Bitcoin était passé en quelques jours de 20 000 dollars à 13 000 dollars, l’analyste financier Tom Lee avait déclaré qu’il s’agissait d’une phase de “consolidation“, et que cette baisse était “extrêmement saine“. Il y a deux semaines, il réaffirmait sa confiance en indiquant que le prix du Bitcoin pourrait “facilement doubler, voire tripler” sur l’année 2018. Il avait d’ailleurs fixé un prix-cible de 25 000 dollars pour la première crypto-monnaie décentralisée.
Alors que l’arrivée de solutions de “scaling” pourraient très prochainement lui permettre de redevenir un outil pertinent pour effectuer des paiements, le Bitcoin fait toujours office de référence sur les marchés des actifs numériques. Il est d’ailleurs le seul a avoir été adoubé par Wall Street, à travers les contrats à terme proposés aux investisseurs institutionnels sur deux bourses d’échange : le CBOE (Chicago Board Options Exchange) et le CME (Chicago Mercantile Exchange).
Et même si la popularité des crypto-monnaies alternatives a fortement augmenté sur les 6 derniers mois, on peut penser que le Bitcoin pourrait très certainement s’apprécier cette année – et parvenir à conserver un fauteuil de leader que de nombreux actifs aimeraient lui ravir.
Références : CCN, CNBC
Cet article ne constitue pas une recommandation d’investissement. Nous vous suggérons de mener vos propres recherches avant de décider de vous procurer des crypto-monnaies – des actifs extrêmement risqués. Ne dépensez pas plus que ce que vous pouvez vous permettre de perdre. Nous ne saurons être tenus responsables de toute perte en capital, en lien avec la lecture de cet article.

L’Allemand Blacklane lève 40 millions de dollars pour gagner du terrain face à Uber#gerardpocquet


L’Allemand Blacklane lève 40 millions de dollars pour gagner du terrain face à Uber


Le montant

La société berlinoise Blacklane, qui développe un service de VTC haut de gamme, a bouclé un tour de table de 40 millions de dollars mené par ALFAHIM, un conglomérat basé aux Emirats Arabes Unis. Le constructeur allemand Daimler, qui possède notamment les marques Mercedes et Smart, ainsi que btov Partners ont également participé à l’opération. En août 2016, Daimler avait déjà injecté 20 millions de dollars dans Blacklane. Très actif sur le marché des VTC, le groupe allemand s’est également offert le Français Chauffeur Privé fin 2017.

Le marché

Fondée en 2011 par Frank Steuer et Jens Wohltorf, Blacklane propose des limousines et d’autres véhicules haut de gamme pour les trajets depuis et vers les aéroports mais aussi des courses de distance moyenne, plus grande que celle habituelle pour d’autres compagnies de VTC comme Uber et Lyft. En moyenne, un trajet avec Blacklane s’étale sur 35 kilomètres et dure entre 45 et 60 minutes.
Actuellement, la société berlinoise opère dans 250 villes et 500 aéroports dans 50 pays à travers le monde. En pleine expansion, Blacklane reste cependant encore très loin du leader absolu des VTC qui n’est autre qu’Uber. La plateforme américaine couvre désormais 633 villes dans le monde entier. Toutefois, l’offre d’Uber ne se limite pas au segment haut de gamme. A l’échelle mondiale, Blacklane devra également se méfier de Didi Chuxing, qui entame le lancement de son service à l’international. La société chinoise, valorisée 56 milliards de dollars, a notamment mis la main en début d’année sur 99, le leader brésilien du secteur.

Les objectifs 

Ce nouveau tour de table doit permettre à Blacklane de poursuivre son expansion internationale. Cette année, la plateforme allemande ambitionne de couvrir plus de 300 villes dans le monde, en mettant l’accent sur le Moyen-Orient et l’Afrique. La société réfléchit également sur des offres bas de gamme pour toucher davantage d’utilisateurs. Comme la plupart des entreprises dans le secteur du transport de passagers, Blacklane s’intéresse aussi aux voitures autonomes et électriques pour améliorer sa flotte de véhicules.

Blacklane : les données clés

Fondateurs : Frank Steuer et Jens Wohltorf
Création : 2011
Siège social : Berlin
Activité : service de VTC haut de gamme
Financement : 40 millions de dollars en janvier 2018
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Maxence Fabrion https://www.frenchweb.fr

Journaliste chez Adsvark Media / FrenchWeb - We Love Entrepreneurs

Fiscalité: le piège Macron se referme sur les expatriés.https://www.thailande-fr.com#gerardpocquet

Capture d'écran et source: https://www.thailande-fr.com
Il se confirme un peu plus chaque jour qu’ Emmanuel Macron suivra le chemin familier déjà maintes fois emprunté par ses prédécesseurs: taxation, fiscalisation et promesses électorales vite oubliées. 
Pourtant lors des élections présidentielle des de 2017, les expatriés ont très largement apporté leurs suffrages au candidat Macron qui semblait pouvoir incarner une véritable rupture avec la présidence de François Hollande.
Dans leur globalité, les Français de l’étranger ont massivement voté en faveur d’Emmanuel Macron au premier tour (40,40%) et François Fillon (26,32%), à quelques exceptions près.
Au deuxième tour les Français de Thaïlande ont été 2238 à approuver l’élection d’Emmanuel Macron soit 69,74% des suffrages exprimés, contre 30,26% à Marine Le Pen.

Un souverain mépris pour l’électorat expatrié

Mais malgré les engagements d’Emmanuel Macron pendant la campagne électorale,  “LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE” a maintenu la CSG-CRDS pour les français de l’étranger, affichant un souverain mépris pour sa base électorale expatriée.
Le candidat Macron, lors de sa campagne, avait dit vouloir « réexaminer » ce dossier, mais en réalité son action est la continuation pure et simple de la présidence de François Hollande en dépit des nombreuses décisions de justice ayant condamné la France.
Les expatriés de Thaïlande qui figurent parmi ceux qui ont été taxés illégalement par la CSG auraient pu espérer un changement, mais sur ce dossier  LRM se positionne totalement dans la continuité du Parti Socialiste.


Emmanuel Macron incarne pour les expatriés la continuité avec la présidence de François Hollande
Emmanuel Macron incarne pour les expatriés la continuité avec la présidence de François Hollande

Baisse de 33 millions d’euros de la subvention publique aux lycées français de l’étranger

Non seulement le gouvernement Macron n’a strictement rien changé au matraque fiscal des expatriés mis en place par son prédécesseur, mais en plus il a décidé des coupes budgétaires sans précédent dans le budget alloué à l’enseignement des Français à l’étranger.
Les mesures annoncées auront un impact sur les contributions des familles expatriées, mais également sur la capacité financière des établissements à faire face à leur développement, leurs projets immobiliers ou pédagogiques.
La réduction du nombre d’enseignants titulaires alors même que les établissements sont déjà fragilisés par les refus de détachement est un signal très inquiétant.

Le maintien intégral de l’héritage très contesté du mandat Hollande par le gouvernement Macron

Depuis 2015, les prélèvements sociaux sur le patrimoine immobilier des non-résidents n’ont pas été abrogés en dépit de nombreux jugements défavorables rendus tant par les juridictions européennes que françaises.
Pour contourner ces jugements, le gouvernement a simplement décidé de changer l’affectation, de la sécurité sociale au Fonds de solidarité vieillesse (FSV).
Conséquence : des dizaine de milliers de contentieux en attente depuis que en 2012, l’État français a décidé d’imposer les loyers des expatriés à la CSG, provoquant une augmentation moyenne de 4200 euros d’imposition par foyer.

Malgré la condamnation de la Cour de justice européenne et du Conseil d’État, le gouvernement persiste et signe et décide de contourner les décisions de justice avec des petites magouilles juridiques pour continuer à taxer de manière discriminatoire les Français de l’étranger.
“Excellente nouvelle pour le pays”. Sur son compte Twitter Anne Genetet se félicite du vote de la loi de finance qui entérine la taxation illégale des expatriés à la CSG !

10.000 réclamations en attente

Lors de la dernière session de l’Assemblée des Français de l’étranger, la responsable de la division des affaires juridiques à la Direction des impôts des non résidents, Virginie Schaeffer-Monteils a expliqué qu’environ 10.000 réclamations contre les prélèvements sociaux perçus pour la période 2014/2016 n’avaient pas encore été traitées, essentiellement des demandes des résidents hors Union européenne.
Tandis que dans le cadre des discussions à l’Assemblée nationale du Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS2018), les députés des Français de l’étranger ont déposé des amendements demandant la suppression de la CDG CRDS pour les Français de l’étranger.
Sans succès, une fois encore. Députés et sénateurs des Français de l’étranger luttent depuis plusieurs années dans une belle unanimité pour faire entendre la voix des expatriés sur le dossier des prélèvements sociaux des non-résidents.
Meyer Habib, député UDI de l’Europe du Sud, a rappelé que « plus de 90 % des 2,5 millions de Français établis hors de France ne bénéficient pas du système français de protection sociale. » Il dénonce une situation « injuste, absurde et surtout contraire au droit de l’Union européenne. Or, au lieu de l’abroger, votre gouvernement veut faire passer la CSG de 8,2 à 9,9 % : c’est absolument délirant ! Comment justifier une si lourde cotisation à un système de protection sociale dont on ne tire aucun bénéfice ? »

CSG/CRDS des expatriés : un impôt juridiquement contestable et discriminatoire

Dans le viseur, cette disposition prise en 2012 par le gouvernement Ayrault : les Français de l’Etranger doivent s’acquitter du paiement de la CSG-CRDS sur leurs revenus immobiliers, au taux de 15.5%, alors qu’ils ne bénéficient pas de la Sécurité Sociale.
En 2015, la Cour de Justice Européenne (Arrêt de Ruyter)et le Conseil d’État jugent que les personnes affiliées à un régime de sécurité sociale dans un des pays entrant dans le champ d’application territorial des règlements communautaires ne peuvent pas être assujetties en France à des prélèvements sociaux sur leurs revenus du patrimoine. La voie est donc ouverte pour les remboursements mais uniquement pour les personnes résidant dans l’espace économique européen*.
Pourtant la jurisprudence du Conseil d’Etat a condamné la France à traiter sur un même plan tous les Français de l’étranger, résidant dans l’UE ou hors de l’UE, sur la taxation des plus-values.
Examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale à l’Assemblée
Anne Genetet, députée LREM des Français de l’étranger (Asie Pacifique) a présenté à l’Assemblée, pour les 9 députés de la Majorité, un amendement visant à supprimer la CSG-CRDS pour les non–résidents, au nom de la « sécurité juridique et de l’équité », arguant qu’il est « anormal qu’ils contribuent à un système dont ils ne profitent absolument pas ».

Avis défavorable du rapporteur et du gouvernement

Les amendements déposés ont été rejetés. La Ministre de la Santé, Agnès Buzyn, estime qu’ « il serait étonnant d’exonérer de cette hausse de la CSG les Français de l’étranger, ce ne serait pas juste. C’est comme si une partie de la TVA qui aujourd’hui est affecté à la sécurité sociale devait être exonérée pour les touristes en France ou les Français de l’étranger. »

Coinbase : 1 milliard de dollars de recettes en 2017 – la société refuse de laisser entrer de nouveaux investisseurs dans son capital#gerardpocquet


Société Coinbase
Capture d'écran et source : https://www.crypto-france.com

Coinbase : 1 milliard de dollars de recettes en 2017 – la société refuse de laisser entrer de nouveaux investisseurs dans son capital


Coinbase, la plus grande plateforme d’achat de crypto-monnaies des États-Unis, aurait généré en 2017 un milliard de dollars de recettes. D’après ce qu’indique Recode, qui relaye les confidences de sources proches du dossier, c’est 66% de plus que les 600 millions de dollars qui avaient été prévus.https://www.crypto-france.com
Logo CoinbaseIl s’agit d’une année historique pour Coinbase. Avec des recettes d’un milliard de dollars en 2017, la société californienne a sans doute pu capitaliser sur la simplicité d’utilisation de sa plateforme, mais également sur la flambée du Bitcoin, qui a incité de nombreux épargnants à se tourner vers les crypto-monnaies.
Peu après l’annonce de l’introduction de contrats à terme sur le BTC  au début du mois de novembre 2017, Coinbase enregistrait l’arrivée de 100 000 nouveaux utilisateurs en seulement 24 heures. Le mois suivant, l’application Coinbase était devenue, provisoirement, l’application la plus téléchargée sur l’App Store aux États-Unis.
Pour générer des revenus, la plateforme facture des frais aux utilisateurs qui souhaitent échanger des monnaies fiduciaires (euros, dollars,…) contre des monnaies numériques (Bitcoin, Ether, Litecoin et Bitcoin Cash). Elle retient également des commissions relatives aux échanges effectués sur sa plateforme de trading, GDAX.

Les investisseurs se bousculent pour entrer au capital de Coinbase

Recode ajoute que le succès de Coinbase suscite de nombreuse convoitises.
Des investisseurs et des capital-risqueurs, qui avaient manqué les premiers tours de table de la société, aimeraient pouvoir entrer à son capital – ce qu’elle aurait fermement refusé.
La société, fondée en juin 2012 par Brian Armstrong, appellerait d’ailleurs ses actionnaires à ne pas entrer en discussion avec celles et ceux qui lorgneraient sur leurs parts, en leur rappelant leurs engagements :
“En tant que société privée, Coinbase n’autorise pas le trading de ses actions sur des marchés secondaires, et ce pour de nombreuses raisons – notamment le fait que les marchés ne disposent pas d’une information complète et égalitaire. Nous serions contraints de prendre les mesures nécessaires si nous découvrions que certaines personnes vendent des actions de Coinbase, en violation de leur engagement à ne pas le faire”.
En août 2017, Coinbase avait levé 100 millions de dollars dans le cadre d’une série D. Ce financement lui avait permis d’étoffer son équipe d’ingénieurs, de recruter de nouveaux employés au sein de son service client, mais également de s’offrir de nouveaux bureaux pour piloter GDAX.
En décembre dernier, Coinbase était parvenue à convaincre plus de 13 millions d’utilisateurs. Il s’agit de près de 29% des 45 millions de personnes qui détiendraient des Bitcoins, si l’on se fie aux résultats d’une étude récente.
Références : CoinTelegraph, Recode

IMPRIMERIE À VENDRE. "Small is beautiful".


Paris, le 24 Janvier 2018  

 IMPRIMERIE À VENDRE. 
"Small is beautiful"

                           Cession 100 % des titres SAS ou le Fonds De Commerce.
 Fiche Anonyme – MYOSOTIS 48

Ancienneté de la société : + de 40 ans        
Localisation siège : Paris
Statuts : SAS Capital social : 10 000 euros

Résumé général de l’activité :
1967 Constitution sous forme de SARL.
Acquisition d’un fonds de commerce d’imprimerie créé en 1923.
2000 Transformation en SAS. Services de gestion d’édition, pré-presse.
2005 Reprise de la SAS par les actionnaires actuels : édition de livres,
comptoir de vente, travaux de ville. Depuis 2005, l’actionnaire retraité a géré
la société en bon père de famille sans rechercher à développer le chiffre d’affaires.

Raison de la cession :
Le dirigeant actionnaire se prépare à quitter Paris pour la province.
Il accompagnera le repreneur selon son désir.

Perspectives pour l’acquéreur
1° L’ancienneté et l’implantation au cœur de Paris se prête idéalement :
-       pour siège social
-        au développement d’une office commerciale de 3 personnes
-       ou/et d’un studio de pré-presse (imprimerie / édition)
  
2° Ces mêmes avantages pourraient convenir à une structure régionale
ou étrangère désireuse d’implanter une représentation d’imprimerie / édition
à Paris.

3° La reprise par un groupe de communication permettrait à celui-ci de s’adjoindre une antenne d’imprimerie possédant une implantation physique
très favorable et un réseau de partenaires existants.

Dans ces trois cas de reprise, l’existence d’un important déficit fiscal à reporter.

Bail 3/6/9 soit 15 000,00 € annuel Loyer + charges comprises, surface 42 m2
Vitrine sur rue. À usage exclusifActivité imprimerie.

Données informatives
En K euros / Année    2015        2016         2017
CA                              55            42                56
RN                                              - 8               - 4       
Effectif : aucun

Clientèle : galeries d'art, antiquaires, musées, ambassades, hôteliers, restaurateurs, éditeurs, écrivains--et bien entendu familles fidèles à la carte, à la tête de lettre,
aux faire-part et aux autres travaux de ville.
De grands comptes et marques à développer dans l’arrondissement
Depuis 2005, l’actionnaire retraité a géré la société en bon père de famille,
sans rechercher à développer le chiffre d’affaires.

Spécificités et / ou éléments  complémentaires
Concernant cette cession, le cédant est en recherche active.
Prix de cession souhaité : modalité à définir.

Prenez contact avec M. POCQUET Gérard par :
   
Document confidentiel.
Fiche établie sur les données communiquées par l’entreprise,
Sans audit, ni contrôle de POCQUET FINANCE
La responsabilité de POCQUET FINANCE ne serait être engagée
à quelque titre que ce soit concernant la fiche anonyme Myosotis 48.

Au plaisir de vous lire ou de vous entendre au +33 6 12 13 26 02.
Gérard POCQUET
POCQUET FINANCE
Cabinet Conseil en stratégie d'entreprise. Spécialisé en transmission d'entreprise
19, rue Monsigny - 75002 Paris
Mob + 33(0)6 12 13 26 02
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