lundi 28 août 2017

#Spotify s’implante en Thaïlande et continue son offensive en Asie

Capture d'écran: source https://twitter.com/SpotifyThailand#gerardpocquet

Spotify s’implante en Thaïlande et continue son offensive en Asie

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Le lancement de Spotify en Thaïlande permet à l'entreprise suédoise de streaming d'étendre son implantation à 61 marchés à travers le monde

Spotify Premium, qui compte plus de 60 millions d’utilisateurs payants, coûtera 129 THB en Thaïlande.
Cela représente environ 3,3 euros, soit un tarif proche des autres pays d’Asie, et de son plus proche concurrent en Thaïlande, Deezer qui facture 155 baht par mois pour son abonnement premium.
Fait intéressant, Spotify proposera des forfaits quotidiens et hebdomadaires pour faciliter son implantation en Thaïlande, où les revenus de la musique en ligne ont en fait diminué de plus de 20% depuis 2012, a déclaré Sunita Kaur, de Spotify Asia, aux médias lors d’une conférence de presse de lancement à Bangkok.
Le lancement en Thaïlande permet à Spotify d’être présent sur 61 marchés à travers le monde, et il est emblématique de la volonté de l’entreprise de miser sur l’expansion de ses activités en Asie.
Spotify est d’abord entré en Asie en 2013 à Hong Kong, à Singapour et en Malaisie, et a relancé son plan d’expansion en Asie l’année dernière lorsqu’il a lancé son service en Indonésie, la plus grande économie de l’Asie du Sud-Est et la quatrième plus grande population mondiale.
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Quand l'empire des sens transcende les lois mathématiques


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Quand l'empire des sens transcende les lois mathématiques


Publié le 27/08/2017
Apprendre la musique demande de la curiosité. Parler son langage permet d'explorer ses désirs et ses émotions, et de les partager. Si la curiosité procède du désir d'explorer de nouvelles voies, elle permet aussi d'explorer ces "failles qui laissent passer la lumière".

La curiosité n’est pas un vilain défaut. Ne lui dites jamais non, car vous direz toujours non à vos désirs. Heidegger disait que « même lorsque l’on a tout vu, la curiosité invente du nouveau ». Il est certain que dire que l’on a tout entendu serait d’un grand manque d’égard envers nos oreilles, qui n’ont pas de paupières. Pour créer, il est impératif d’être curieux. Pour être ouvert à des choses qui n’existent pas. Pour imaginer de nouveaux mondes.

Une forme d’expression de la gourmandise et du désir

Victor Hugo, lui, pensait que « la curiosité est une gourmandise. Voir, c’est dévorer. » Écouter, c’est aimer. Une belle façon de nourrir son âme. La musique est une gourmandise de l’esprit. C’est aussi une gourmandise des sens. Elle a besoin de désir et d’amour pour exister. La curiosité est par conséquent un instrument qui éveille le désir, la gourmandise et le « gai savoir ». Elle nous propose des paysages sans cesse renouvelés. Des paysages sonores et des mondes à découvrir.

Elle est le propre de l’enfance, qui nous fait vivre des expériences et nous permet d’apprendre par nos sens. Elle nous tient en éveil à la petite musique de la vie. Elle nous fait découvrir de nouveaux paradis. Les sons, comme la musique, sont des marqueurs de l’époque. Il y a des sons qui ont disparu. Certains qui vont disparaître. D’autres qui vont naître. Des sons qui évoquent des tranches de vie et éveillent la curiosité et le désir dans l’oreille. Des sons et des musiques qui racontent notre histoire passée, présente et future.

Un instrument du paradoxe musical


On constate un vrai paradoxe dans la musique. On est dans le plaisir des sens, le désir, les émotions. Et... dans les mathématiques. Le rythme et le tempo sont affaire de mathématiques. La longueur d’onde produite par chaque note aussi. L’harmonie est une forme artistique et esthétique de la synchronisation. Bien sûr, il ne s’agit pas de réduire la musique à de simples règles ou axiomes. La musique n’est-elle pas l’instrument qui permet de rendre compte de la synchronisation du vivant avec son environnement ?

Nous aimons vibrer sur la même fréquence pour nous sentir ensemble. Esthétique et mathématiques sont nécessaires l’une à l’autre pour répondre à notre exigence sensorielle et artistique. Nous y répondons par des émotions. La musique est curieuse. C’est un langage « mathématique » des émotions qui touchent nos émotions. La musique reste soumise aux lois de la physique et les transgresse sans cesse pour toujours nous surprendre en nous faisant découvrir de nouveaux mondes.

Une expérience menée par des musiciens et des ingénieurs montre que la musique, comme le son, donne des formes géométriques parfaites. Le son, comme la musique, bat à une fréquence, une vibration qui traverse et produit des réactions nombreuses, variées et variables chez chacun d’entre nous.

Le son comme la musique ne seraient-ils pas des instruments pour synchroniser et harmoniser toute chose s’inspirant des lois de la physique en les sublimant par celles du vivant ? Qu’est-ce qui nous amène à résonner ensemble ? De concert, synchronisés et en harmonie au rythme de notre groupe préféré ? Pourquoi le son, la musique comme le rythme ont-ils un impact sur chacun de nous ? Pourquoi les fréquences et les vibrations sonores, et la musique en général, ont-elles une influence sur notre comportement au plan physiologique, émotion­nel et cognitif ? Ne naissons-nous pas musicaux  ? Restons curieux ! Et n’hésitez pas à aller découvrir les sons et tempos du monde sur le cabinet de curio­sités musical en ligne sur influencia.net.

Laboratoire de curiosité sonore





Olivier Covo
Cofondateur de Brandy Sound et président de Sound Value, spécialisé dans le capital sonore des marques et des institutions. Son credo : le son est un signe de marque qui contribue à son capital. Il en explore les champs d'expression.


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#Agfa-Gevaert dévoile ses résultats du deuxième trimestre2017#http://www.agfa.com



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T +32 (0) 3 444 71 24
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Corporate Press Relations Manager
T +32 (0)3/444 80 15

The full press release and financial information is also available on the company's website: www.agfa.com




Full Press release
HY Report
Financial statements Q2 2017

Agfa-Gevaert dévoile ses résultats du deuxième trimestre http://www.agfa.com

lundi, 28 août 2017 | Auteur La rédaction | Télégrammes

Après avoir annoncé le lancement d’une étude visant à transformer HealthCare en une branche indépendante, le groupe Agfa-Gevaert a publié les résultats de son deuxième trimestre 2017.
Alors que le chiffre d’affaires connaît une baisse de 3,6% par rapport à l’an dernier pour s’établir
à 622 millions d’euros, le bénéfice net se situe autour de 27 millions d’euros, ce qui représente
une baisse de 32,5% par rapport à l’an dernier. La division Agfa Graphics a réalisé un chiffre d’affaires de 309 millions d’euros, en baisse de 3,7% par rapport à l’an dernier, et un EBITDA
en baisse de 20,8%. Le secteur du jet d’encre a affiché une croissance à deux chiffres grâce
à l’augmentation des ventes des volumes d’encres. Le segment prépresse souffre davantage
de la pression concurrentielle même si les solutions durables sans chimie ont bien fonctionné.
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#MaddyTips 6 étapes pour passer de la procrastination à la productivité

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#MaddyTips 6 étapes pour passer de la procrastination à la productivité

Entrepreneurs, nous avons des tâches à réaliser que nous préférerions tout simplement ne jamais devoir faire. Nous prenons donc l’habitude de les reporter et faisons tout ce que nous pouvons pour finalement les éviter.


Personnellement, je ne m’intéresse pas à la paperasse et je n’aime pas faire mes comptes. D’autres fondateurs, eux, exècrent d’autres activités. Mais ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose, car il existe une solution évidente : déléguer.
Le travail d’entrepreneur, après tout, est de se concentrer sur les plus importantes tâches de l’entreprise, comme par exemple générer des revenus. Et bien qu’il existe d’autres tâches nécessaires à l’exploitation d’une entreprise, il risque de les éviter parce qu’elles le ralentissent. Donc, il les délègue à son équipe. D’une certaine manière, nous sommes tous capables d’être des procrastinateurs.
Dans un sondage réalisé par Salary.com en 2013, 69% des répondants déclaraient perdre du temps au travail tous les jours, soit 5% de plus que l’année précédente. 34% des répondants estimaient ainsi gaspiller régulièrement 30 minutes ou moins chaque jour, 24% pensent perdre entre 30 et 60 minutes quotidiennement, tandis que 11% gaspillent plusieurs heures.
En tant qu’entrepreneur, je peux imaginer à quel point ces chiffres pourraient faire grimper en flèche la pression artérielle de mes associés, mais ma propre réaction est plus pratique : mettre en place des outils, des astuces et des techniques pour minimiser la procrastination et maximiser la productivité. En voici quelques-unes :

Ne vous submergez pas

Il est facile de s’accabler d’une grande quantité de travail, de réunions et de délais en tout genre. Lorsque les tâches semblent insurmontables, voici une façon de réduire ce fardeau : préparez une “to-do” list, puis décomposez-la et suivez-la. Séparer une grosse tâche en plusieurs éléments la rend plus gérable. Vous avez votre objectif final, mais en le réduisant à des composants plus petits, vous avez une vue plus claire de ce que vous devez faire.
Exécuter chaque petite partie d’une importante tâche que vous avez à réaliser vous donnera un sentiment d’accomplissement que vous n’auriez pas si vous abordiez la tâche d’une seule traite. 

Réécrivez l’histoire

Je ne me soucie pas de qui vous êtes : un salarié, un manager ou un PDG, vous êtes comme tout le monde, et nous détestons tous faire certaines tâches. Alors pourquoi ne pas changer le scénario ? 
Mettez cette tâche ingrate que vous avez à faire au sommet de votre to-do list du jour. Cela vous permettra de passer rapidement au reste de votre journée. Sans oublier que vous aurez un plus grand sentiment d’accomplissement en sachant que vous avez dépassé le plus grand obstacle qui vous attendait ce jour-ci. 

Oubliez la perfection

Tout le monde veut faire bonne impression au travail. La procrastination ne vient pas de l’incapacité de faire le travail, mais de la peur et de l’insécurité. Être incertain quant à la façon d’effectuer une tâche spécifique nous fait peur, craindre l’échec, et d’être vu d’un mauvais oeil par le patron.
Je dis toujours à mon équipe : “Personne ne va mourir”. Quel est le pire qui peut se produire si une tâche spécifique n’est pas parfaite ? Je pourrais être fâché si la tâche n’est pas terminée dans le délai imparti, mais pas si elle doit simplement être modifiée. Plusieurs fois, les pires scénarios se produisent dans notre propre tête et nous laissons ces prévisions imaginaires gouverner nos autres décisions. C’est à ce moment-là que nous faisons des erreurs.
Si vous êtes préoccupé par la qualité de votre travail, allouez une quantité de temps fixe chaque jour pour compléter (ou revoir) les parties de chaque projet. Il est possible de perfectionner une tâche sans y passer trop de temps. C’est alors que vous savez qu’il est temps de laisser aller le projet et de vous concentrer sur d’autres choses. Dites-le avec moi : personne ne mourra.

Éliminez les distractions

Il est facile de procrastiner avec le million de distractions que nous avons tous les jours. Dans un sondage réalisé par Stop Procrastinating, 68% des Américains interrogés déclarent avoir été distraits de leurs fonctions de travail en vérifiant leurs courriels, en naviguant sur le web ou en trainant sur les réseaux sociaux. Un chiffre en augmentation de 9% par rapport à l’année précédente. 
Bien sûr, il est tentant de vérifier constamment vos flux Facebook ou Twitter, mais voici un concept radical : déconnectez-vous de vos comptes sociaux pendant quelques heures, tous les jours.
Au lieu de cela, concentrez-vous sur vos tâches et rien d’autre. Faites tout ce qu’il faut pour entrer dans votre «bulle», pour atteindre votre objectif. Certaines personnes à mon bureau utilisent un casque pour étouffer le bruit extérieur. Pour ma part, je bloque un créneau sur mon calendrier (auquel mes employés ont accès) et je consacre ce temps à une tâche spécifique que je dois accomplir. Je peux même préciser «aucun appel téléphonique» pour m’assurer de rester dans ma bulle.

Soyez votre propre manager

Passer du procrastinateur au chef proactif nécessite une organisation de votre part, de votre état d’esprit à votre calendrier. Il est difficile d’être organisé lorsque vous sentez que vous jonglez avec plusieurs choses, mais pour réussir, vous devez apprendre à jongler. Décider combien de temps consacrer à chaque tâche vous rendra plus efficace. Même votre temps de pause doit être planifié.
Récemment, j’ai assisté au Rocky Mountain Economic Summit, où j’ai côtoyé les meilleurs économistes, chefs d’entreprises et décideurs politiques. J’ai eu un programme chargé. Mais j’ai également réussi à me programmer un temps d’arrêt : étant du Dakota du Sud, j’apprécie les activités extérieures, alors j’ai planifié un temps de pêche à la mouche, loin de la technologie, des courriels et des appels téléphoniques.
Si vous êtes un bon gestionnaire de temps, vous aurez le temps pour tout, y compris pour les loisirs. Il faut un certain dévouement et une discipline, mais ce n’est pas impossible.

L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt

Je dors très peu. Comme n’importe quel bourreau de travail vous le dira, lorsqu’il va se coucher, le soir, il n’attend qu’une chose : commencer sa journée, le lendemain matin. En effet, l’aube est la partie la plus productive de la journée. Le travail matinal permet des distractions minimales, pas de courrier électronique et presque personne sur les réseaux sociaux.
Le PDG d’Apple, Tim Cook, commence sa journée à 3h45. Richard Branson aime “dormir” jusqu’à 5 heures du matin, et même mon ami et entrepreneur Peter Shankman se lève avant le soleil. Vous seriez surpris de savoir tout ce que vous pouvez faire avant même que tout le monde commence sa journée, au bureau.
Ce qui est à retenir ici, c’est que pour réussir à passer de la procrastination à la productivité, il faut être discipliné, motivé et concentré : suffisamment discipliné pour freiner les distractions, suffisamment motivé pour atteindre votre but final et suffisamment concentré pour exécuter un plan.

#EasyPark, l’application qui permet de trouver une place de stationnement plus rapidement#pocquetgerard


Julie Ludmann - EasyPark
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EasyPark, l’application qui permet de trouver une place de stationnement plus rapidement

Par | le 28 août 2017 | http://www.frenchweb.fr  Pour de nombreux automobilistes européens, chercher une place de stationnement s’apparente à un véritable parcours du combattant. Pour remédier à ce calvaire hebdomadaire, voire quotidien, le groupe suédois EasyPark a conçu une application mobile pour faciliter le stationnement.
Pour lancer le stationnement, l’usager doit seulement renseigner le code de la zone dans laquelle il se trouve, qu’il peut trouver grâce au système de géolocalisation de l’application, ainsi que sa plaque d’immatriculation, et choisir la durée du stationnement. Lorsqu’il retourne à son véhicule, l’automobiliste peut arrêter le stationnement en un clic sur l’application. Pour éviter les mauvaises surprises, EasyPark envoie une notification à l’utilisateur 15 minutes avant la fin du stationnement programmé.

Une solution prédictive pour écourter la recherche d’une place de stationnement à la rentrée

Grâce à son dispositif, la société suédoise entend réduire les embouteillages urbains. «Plus de 33% de la congestion urbaine est dûe à la recherche d’une place de stationnement», indique Julie Ludmann, responsable d’EasyPark France. Pour réduire le temps consacré à la recherche d’une place de stationnement, EasyPark lancera en septembre la solution prédictive Find & Pay pour guider l’usager vers une place de stationnement disponible. 
Pour cela, l’entreprise basée à Stockholm s’appuie sur les données transactionnelles et les informations de géolocalisation de ses utilisateurs. De cette manière, la société peut établir une carte précise des probabilités de stationnement, îlot par îlot, à un horaire donné. Cet automne, cette technologie sera déployée dans une trentaine de villes européennes. 
Présent dans 600 villes dans 10 pays en Europe (Suède, Norvège, Danemark, Finlande, Allemagne, Autriche, Italie, Espagne, France, Australie), EasyPark a lancé son service dans l’Hexagone cette année. A ce jour, 10 villes françaises en bénéficient. En Europe, le groupe suédois revendique 4 millions d’utilisateurs qui ont accès à 1 million de places de stationnement.

  • EasyPark : les données clés
CEO : Johan Birgersson
Création : 1999
Siège social : Stockholm
Activité : plateforme de géolocalisation et de paiement de places de stationnement
Lire aussi : Mobypark se fait racheter pour résister à la concurrence, son fondateur quitte l’entreprise
Maxence Fabrion

Maxence Fabrion http://www.frenchweb.fr

Journaliste chez Adsvark Media / FrenchWeb - We Love Entrepreneurs