mercredi 28 février 2018

Les GAFA représentent 36% du temps Internet des Français#gerardpocquet

Les GAFA représentent 36% du temps Internet des Français

Médiamétrie vient de sortir son étude annuelle « Année Internet 2017 ». L’occasion de faire un point sur l’état des usages en France. Internet, mobile, réseaux sociaux… Que faut-il retenir ?
Fin 2017, on compte désormais près de 52 millions d’internautes chaque mois, soit 83% de la population, dont 42,2 millions au quotidien. En 10 ans, la population internaute a ainsi progressé de 40%, portée par l’explosion des usages mobiles et des réseaux sociaux.

Une population sur tous les écrans mais mobile first

En 2017, 92% des foyers en France sont équipés d’au moins un écran internet : smartphone, tablette ou ordinateur. Et s’il reste encore 17% de non connectés, Internet est devenue une activité quotidienne pour une large majorité : 2/3 des Français se connectent tous les jours et le temps passé sur la toile est d’1h28 par jour et par personne, avec des disparités entre les individus : ce sont les CSP+ et les 25-49 ans qui tirent la consommation vers le haut avec respectivement 2h15 et 2h12 de surf quotidien. Le heavy user existe bel et bien, Médiamétrie l’a rencontré : les 15% des Français les plus consommateurs comptabilisent à eux seuls près de la moitié du temps total passé sur internet.
Avec plus de 30 millions de mobinautes chaque jour (48%), le smartphone est désormais le premier écran pour se connecter au quotidien, devant l’ordinateur. Près d’1 individu sur 5 n’utilise même que son mobile pour surfer. Le smartphone pèse 40% du temps passé sur Internet, et 65% chez les jeunes (15-24 ans).

Les plateformes sociales engrangent puissance et engagement

Les plateformes sociales occupent une place prépondérante dans le quotidien des internautes. Plus de la moitié des Français (50,4%) se rendent tous les jours sur au moins un réseau social. En termes de temps passé, les internautes de 2 ans et plus y passent 24 minutes par jour, soit plus d’un quart de leur consommation internet : Facebook s’impose devant YouTube et Snapchat. A l’inverse, chez les 15-24 ans, qui consacrent près de la moitié de leur temps internet aux plateformes sociales (43 min), YouTube arrive en tête devant Snapchat et Facebook.

Les applications, au cœur de la bataille de l’attention

Les applications ont connu un essor considérable ces dernières années : si les mobinautes consultent chaque mois 3 fois plus de sites que d’applications en 2017 (52 sites contre 16 applications), ils consacrent 87% de leur temps passé aux applications, dont la moitié sur les applications des réseaux sociaux, des jeux et de plateformes vidéos. Les 15-24 ans ont un usage encore plus concentré des applications sur leur mobile : elles représentent 92% de leurs temps passé avec une part des réseaux sociaux, des jeux et de la vidéo qui atteint 70%.
Autre facette de cette concentration d’internet, les 10 applications disponibles dans les Stores les plus consultées appartiennent toutes aux GAFA. Les sites et applications des GAFA représentent 36% du temps total passé sur internet et 64% des Français (38,2 millions) s’y connectent tous les jours.

Internet, le média de tous les médias

Pour Médiamétrie, la télévision reste le premier média en France loin devant internet. Au global, les Français passent 3h42 en moyenne chaque jour devant leur téléviseur, contre 1h28 sur internet. Mais l’équilibre TV / Internet est différent chez les 15-24 ans : leur temps passé sur internet (1h38) est désormais supérieur à celui passé devant le téléviseur (1h26) et il y a plus d’internautes quotidiens de 15-24 ans que de téléspectateurs du même âge. Cependant, ce temps passé sur internet comprend toutes les activités réalisées en ligne dont un tiers consacrées à regarder des contenus vidéos.
Médiamétrie définit Internet comme un méta-media, « autant un média à part entière qu’une plateforme vecteur de transformation des usages des autres médias ».
On retrouve ce concept du côté des contenus audios en ligne, portés par les écrans mobiles. Ainsi, 11 millions de Français consultent les sites et applications de radio chaque mois, 15 millions se rendent sur les sites de streaming et les podcasts rassemblent 4 millions de personnes.
Côté éditeurs, Internet a permis de multiplier les points de contact pour les marques d’actualité. Leur audience numérique a doublé en 10 ans ; 2/3 des Français consultent chaque mois des sites d’actualité en ligne, ils sont 7/10 chez les 15-24 ans. Pour les marques presse, les audiences sont dorénavant plus élevées sur le digital qu’en version papier, portées là aussi par le mobile.
Enfin, les nouveaux canaux de distribution de contenus comme AMP de Google ou Instant Articles de Facebook, en déployant des contenus presse sur les plateformes sociales et les écrans mobiles, ont permis de toucher des audiences plus jeunes.
Tags

Carolina Tomaz

Computer Girl depuis 2000. Stratégie numérique, innovation, direction éditoriale. Spécialisée en médias, TV et internets. Chief Content Officer @AdsVark Media

samedi 17 février 2018

Hydro-Quebec Mulls Higher Rates as Bitcoin Miners’ Demands Surge#gerardpocquet

Hydro-Quebec Mulls Higher Rates as Bitcoin Miners’ Demands Surge https://www.ccn.com

Bitcoin McAfee
Capture d'écran et source:
AUTHOR Gerelyn Terzo

https://www.ccn.com

Rising demand for Montreal’s low-cost hydroelectric power among bitcoin miners could spur higher electricity rates. Hydro-Quebec revealed it may consider hiking the cost for bitcoin miners given a flood of pent-up demand in the region, which would thwart the plans of bitcoin miners who depend on low rates for the massive amounts of electricity it requires to power their operations.
The Canadian province has been inundated with requests from more than 100 mega bitcoin mining operations looking to set up shop there — a handful of which are already under way — to lock-in lower hydropower costs that have already lured the likes of Amazon.com for its data centers. But the local utility provider says not so fast.
A Hydro-Quebec spokesman told CTV News Montreal:
“We’ve had such an important volume (of requests) that there are questions being asked on the tariff offered and the quantity of clients we’ll be able to plug in.”
For now, Hydro-Quebec has more than enough power supply, but that surplus could be diminished if more bitcoin miners move to town. The power utility is strategically playing its hand, as evidenced by a shift in its typical strategy to lure industry by offering lower rates. In the case of bitcoin miners, it’s looking to charge more for overtaxing capacity.
For instance, multiple proposed bitcoin mining projects boast capacity as high as 100 mw, which is much more power even than it takes to keep the lights on at the home of the Montreal Canadiens.
But bitcoin miners are crying foul, including local operation Bitfarms. The startup’s co-founder bemoaned a possible rate hike, saying in a statement:
“We are building the computing power and electrical infrastructure that will power the blockchain with Quebec hydroelectric power,” said Pierre-Luc Quimper, pointing to the dozens of jobs that the company has ushered into the region.
Plus, according to Bitfarms’ Twitter page, they plan to hire hundreds more across analyst, technician, engineer and developer positions.
Montreal is conducive to bitcoin mining not only for its cheap hydropower but also its frigid temperatures. The cold climate helps to keep the computer systems performing the energy-intensive round-the-clock bitcoin mining cool.

North American Grip

Meanwhile, in the lower 48 bitcoin miners are being drawn westward to Washington, where they are similarly capitalizing on cheap hydroelectric power.
Bitcoin mining and blockchain have gripped the North American region even as China stands to lose its top spot. Despite being home to about 75% of the world’s bitcoin mining, China’s harsh stance toward bitcoin mining threatens to knock it down as the US and Canadian profile rises.

Featured image from Shutterstock.

Ethereum Comminity Fund : Des startups s’associent pour financer des projets liés au réseau Ethereum#gerardpocquet

Ethereum Comminity Fund : Des startups s’associent pour financer des projets liés au réseau Ethereum

Statrtups ICOs et Ethereum
Capture d'écran et source: https://www.crypto-france.com
Six startups blockchain se sont associées pour lancer un nouveau fonds d’investissement. Doté d’une enveloppe de 100 millions de dollars, il permettra de financer des projets prometteurs liés à la blockchain Ethereum.

100 millions de dollars pour l’Ethereum Community Fund

Ethereum Community Fund
Ce fonds – baptisé Ethereum Community Fund — sera soutenu par plusieurs startups : Omise GoCosmosGolemMaker, et Raiden, auxquelles viendra se joindre la société de capital risque japonais Global Brain. La porte reste toutefois ouverte à d’autres entités qui pourraient venir, par la suite, rejoindre leurs rangs.
Il s’agit d’acteurs de poids dans l’écosystème, comme en témoigne leur “Market Cap” : près de 1,8 milliards de dollars pour OmiseGo, 366 millions de dollars pour Golem ou encore 709 milliards de dollars pour Maker.
Les membres de l'Ethereum Community Fund
De leur côté, Raiden et Cosmos sont perçus par de nombreux observateurs comme des projets prometteurs du fait de leurs technologies innovantes.
TechCrunch rapporte que plus de 100 millions de dollars en monnaies fiduciaires, en Ethers et autres tokens auraient été recueillies par le fonds. Celui-ci financera, sous la forme de subventions, des projets, des services ou des entreprises qui seront susceptibles d'”enrichir” l’écosystème Ethereum.
Ce programme correspondra à une dotation financière pour soutenir et aider des projets qui façonnent des infrastructures open-source décisives, des outils et des applications“, peut-on lire sur le site internet du fonds.
D’un point de vue pratique, ce programme devrait principalement se concentrer sur le financement du développement technique d’Ethereum, ou de projets qui s’inscrivent pleinement dans son écosystème.
Si l’Ethereum Community Fund ne fournit pas de détail sur ces subventions, TechCrunch précise que le fonds devrait signer des chèques d’un montant pouvant varier entre 50 000 et 500 000 dollars. Il pourra également offrir des financements supplémentaires au fur et à mesure de l’évolution des projets.
Un unique projet est susceptible de déboucher sur un produit capable de disrupter un secteur tout entier“, s’est enthousiasmé Jun Hasegawa, le fondateur d’OmiseGo. “Mais en travaillant conjointement, nous pourrons développer un cadre susceptible de changer le monde“.

La Fondation Ethereum, un partenaire clé

Le logo de la Fondation EthereumAu-delà des entités précédemment citées, la Fondation Ethereum sera impliquée à travers Vitalik Buterin qui jouera, avec d’autres figures de ce secteur, un rôle de conseiller.
Sur les dernières années, la croissance d’Ethereum a dépassé toutes mes espérences, mais notre travail est loin d’être terminé” a déclaré M. Buterin.
Et de poursuivre ainsi :
“Le leitmotiv de 2018 : apporter un niveau de valeur qui soit en adéquation avec l’engouement suscité par le projet. Des initiatives, telles que l’ECF, qui aideront a favoriser le développement de l’écosystème, permettront de rendre cela possible.”
Le site de l’ECF déclare que ce programme de subvention constitue “une première étape vers le soutien de la croissance de l’écosystème Ethereum“. On peut également penser qu’il pourra à terme s’agir, en partie, d’un fonds à but lucratif – et pas seulement d’une entité distribuant des subventions.
On se souvient que la Fondation Ethereum avait annoncé le mois dernier le lancement de deux programmes de subvention pour accompagner le développement de solutions de “scaling” – des solutions qui pourraient l’aider à faire face à l’intensification de l’utilisation du réseau. La fondation compte ainsi accorder des chèques d’un montant de 50 000 à 1 million de dollars.
Le mois dernier, Tech Crunch prédisait que “2018 [serait] l’année durant laquelle les sociétés ICO deviendront également des investisseurs“.
Ainsi, celles-ci pourraient être de plus en plus nombreuses à participer au développement de l’écosystème – et ce parfois seulement quelques mois après être parvenues à boucler leur propre levée de fonds. C’est déjà le cas d’OmiseGo, dont l’ICO s’était terminée en juin 2017.
Références : TechCrunch, EthNews https://www.crypto-france.com

jeudi 15 février 2018

Report: Litecoin Gains Popularity on the Dark Web#gerardpocquet

Report: Litecoin Gains Popularity on the Dark Web https://www.ccn.com

Capture d'écran et source: https://www.ccn.com
AUTHOR
Gareth Hunt
Litecoin, according to a new report published by Recorded Future, is now the second most popular cryptocurrency token on the Dark Web. The report undertook a longitudinal analysis of digital communications avenues available to users on the dark web and found that nearly 30 percent of Dark Web vendors accept Litecoin.

Report Findings

Whilst Bitcoin remains supreme, Recorded Future undertook a longitudinal analysis of dark web communication portals – like message boards, marketplaces etc. – to help understand the structural apparatus for cryptocurrency payments within this ecosystem.
The authors found that 30 percent of the dark web evaluated by the report accepted Litecoin. The report also noted that one in five dark web platforms accept Dash. However, Bitcoin’s dominance was still ever-present.
The report noted:
“Bitcoin remains the gold standard in the dark web, with all vendors accepting it as a payment, and Litecoin emerged as the second most popular currency, with 30 percent of all vendors who implemented alternative payment methods willing to accept it. Dash is closely trailing Litecoin with 20 percent of the market. Unexpectedly, Bitcoin Cash was the third most common cryptocurrency with 13 percent of vendors trusting it as a payment method.”

What do Dark Web users think?

According to the report, dark web ‘criminals’ have started to voice dissatisfaction connected with the transactional cost of using Bitcoin and that in response to a loss of ‘revenue’ many dark web operators have started to utilise alternative token cryptocurrencies.
However, the initial commentariat thinking was that criminals would simply move to Monero or Dash. The evidence from this longitudinal study articulates an alternative reality on the dark web – one that sees Litecoin as a popular crypto coin for dark web transactions.
The report also argued that Litecoin will play a part within the mainstream criminality of cyber-attacks. As Litecoin’s popularity grows, so will the usage of Litecoin-enabled malware. This could result in a brand-damaging outcome for the Litecoin Core Development Team. The latest news that Litecoin will be ‘forking’ could also be connected to the dark web antecedents that have slowly impugned on the credibility of the token’s authority within the mainstream.
The news that Litecoin is forking into Litecoin Cash was met with market uncertainty as the price fell 1.78 percent in post-announcement trading. The founder of Litecoin, Charlie Lee, has questioned the fork – with some articulating that the move could be a scam.
Featured image from Shutterstock.
I'm a big fan of blockchain, crypto and the public policy dynamics of technology, digital currency and beyond.


mardi 13 février 2018

Gucci est la marque préférée des millennials mais certains investisseurs craignent qu'ils ne se lassent#gerardpocquet


Gucci est la marque préférée des millennials mais certains investisseurs craignent qu'ils ne se lassent


Capture d'écran et source: www.businessinsider.fr
REUTERS/Charles Platiau
Le groupe de luxe Kering a publié ce mardi 13 février 2018 des résultats annuels historiques, grâce à sa marque Gucci, dont les ventes ont décollé de 42,6% au T4 contre 39% attendus par le consensus.
Kering a ainsi signé des ventes en hausse de 25% à 15,48 milliards d'euros, un chiffre légèrement supérieur aux 15,38 milliards attendus par les analystes, faisant état d'un bond en avant de 27,2% à taux de change constants sur l'année 2017 et de 27,2% au T4.
La maison-mère Kering a signé les meilleures performances du secteur, loin devant ses concurrents LVMH ou encore Hermès.
Malgré "l'année phénoménale" de Kering, comme l'a déclaré son PDG français François-Henri Pinault, le titre chute en bourse de 2,47% à 370,6 euros vers 10h18, affichant la plus forte baisse du CAC40, qui recule au même moment de 0,13%, rapporte l'agence Reuters.
En effet, certains analystes d'Exane BNP Paribas doutent de la capacité du groupe à maintenir la cadence en termes de croissance, en particulier pour Gucci, la marque préférée des millennials.
La griffe italienne, qui pèse pour plus de 70% des profits du groupe, a su convaincre les millennials avec son esthétique foisonnante imaginée par Alessandro Michele.
Mais certains analystes craignent un phénomène de lassitude, car l'esthétique Gucci pourrait perdre, au bout d'un moment, le lustre de la nouveauté. 
Ainsi, l'évolution de sa ligne créatrice devra d'une part être pensée et d'autre part, il faudra trouver un moyen de fidéliser la masse de nouveaux clients.
Par ailleurs, vu les résultats de l'année 2017, les bases de comparaisons s'annoncent très difficiles pour Gucci pour l'année en cours.
Profitant d'un succès fulgurant auprès de la clientèle chinoise et d'une montée en flèche de ses ventes en ligne, Gucci a franchi pour la première fois la barre des 6 milliards d'euros de ventes (6,2 milliards) et son résultat opérationnel courant a grimpé de 69%, pour une marge record de 34,2%.
Vous avez apprécié cet article ? Likez Business Insider France sur Facebook !

www.businessinsider.fr 


CEO de Nvidia : “Les crypto-monnaies commencent à s’imposer”#gerardpocquet

CEO de Nvidia : “Les crypto-monnaies commencent à s’imposer”

La société Nvidia
Capture d'écran et source: https://www.crypto-france.com
Nvidia croule sous les profits, en particulier grâce à l’engouement croissant suscité par le minage de crypto-monnaies. Il n’est donc pas étonnant d’entendre l’enthousiasme de son CEO, Jensen Huang, vis-à-vis de ces actifs.

“Pas prêtes de disparaître”

Minage avec des cartes NvidiaAlors que le Bitcoin et les autres crypto-monnaies poursuivent leur démocratisation, les cartes graphiques (GPUs) – qui peuvent être utilisées pour miner différentes monnaies numériques – s’arrachent à travers le monde.
Jensen Huang, le CEO de la société, a récemment fait part de son opinion vis-à-vis des actifs numériques au cours d’un entretien accordé à l’hebdomadaire financier Barron’s :
"Les crypto-monnaies sont bien là – et elles ne sont pas prêtes de disparaître. Cette année, elles commencent à s’imposer au monde. Basées sur la technologie blockchain, elles sont extrêmement sécurisées, et supposent des investissements très réduits. Je pense qu’elles apportent clairement une véritable utilité. Il s’agit d’un véritable phénomène, et elles sont en train de s’imposer à tout le monde”.

Des actifs virtuels… dotés d’une valeur bien réelle

Rig de minage EthereumPour M. Huang, les crypto-monnaies et les actifs que l’on peut retrouver dans les jeux vidéo ne sont pas aussi éloignés que ce que l’on pourrait penser :
“Je ne suis pas contre le concept d’une monnaie virtuelle – il s’agit d’éléments aussi ‘réels’ que les objets virtuels ou les jeux vidéos.
Et, comme vous le savez, des dizaines de millions d’objets virtuels sont créés, partagés et vendus en réalité virtuelle, et les gens investisseurs des milliers d’heures pour créer des vaisseaux spatiaux qui s’affrontent les uns contre les autres. Par conséquent, le concept des biens virtuels, des mondes virtuels et des monnaies virtuelles semblent être analogues”.
Si les crypto-monnaies sont “virtuelles”, elles ont bien des conséquences sur le monde réel. La flambée de la demande pour les GPUs conçus par la société californienne – notamment pour miner des Ethers – a abouti à des ruptures de stocks. Et celles-ci ont fait grimper le prix de ces cartes graphiques, mais également le cours de l’action Nvidia.

De nombreuses applications

Carte graphique Geforce NvidiaPourtant, M. Huang tient à minimiser le rôle des actifs numériques dans la hausse du titre de son entreprise. Il explique que business model de Nvidia est intimement lié à la demande pour les GPUs – une demande qui existera toujours en dehors de l’univers des crypto-monnaies :
“Au final, tout est lié à la demande pour les GPUs. La raison pour laquelle l’intelligence artificielle et la réalité augmentée, mais aussi toutes les autres applications qui s’appuient sur nos GPUs, c’est qu’ils sont aujourd’hui équipés des processeurs qui sont dotés de la meilleure puissance de calcul, qui sont les plus programmables et qui offrent la meilleure efficacité énergétique. C’est la raison pour laquelle nous attirons toutes ces applications.”
Des applications multiples qui ne devraient pas réjouir le cœur de cible historique de Nvidia, les gamers. Ils sont nombreux à être mécontents de la hausse du prix des cartes graphiques – une hausse qui est liée à des facteurs externes au monde du jeux vidéo.
D’autant plus que l’entreprise est accusée par certains de limiter volontairement sa production, afin de pouvoir maintenir des prix élevés. Pour redorer son blason, et calmer la colère des gamers, Nividia avait demandé le mois dernier aux revendeurs de répondre en priorité à leur demande, aux dépens des mineurs de crypto-monnaies.
Références : Bitcoinist, Barron’s https://www.crypto-france.com

Iceland Lawmaker Proposes Tax on Incoming Cryptocurrency Miners#gerardpocquet

Iceland Lawmaker Proposes Tax on Incoming Cryptocurrency Miners

Capture d'écran et source: https://www.ccn.com
AUTHOR
Lester Coleman
Virtual currency miners are flocking to Iceland due to its abundance of renewable energy, and some lawmakers want to tax them, according to ABC News. Iceland’s renewable energy from hydroelectric and geothermal power plants has delivered competitive electricity rates.
Smari McCarthy, a lawmaker from Iceland’s Pirate Party, wants to tax bitcoin mines. According to ABC News, the lawmaker’s initiative will find support due to Icelanders’ skepticism about financial speculation following the country’s banking crash in 2008.
Companies creating value pay taxes under normal circumstances, McCarthy told The Associated Press.
The town of Keflavik on Iceland’s southern peninsula has attracted virtual currency miners who are building large construction sites on the town’s outskirts.

Mining To Double

Johann Snorri Sigurbergsson, a business development manager at Hitaveita Sudurnesja, a local energy company, expects virtual currency mining to double the country’s energy consumption to around 100 megawatts, which exceeds that used for the country’s 340,000 households, according to the country’s National Energy Authority.
Sigurbergsson said he could not have predicted this development four months ago. The Svartsengi geothermal plant supports the southwestern peninsula, where the mining takes place. He said he recently met with a mining company that wants to purchase 18 megawatts.
At Mjolnir, the largest of three mining farms in Keflavik, tall metal fences surround 50-meter-long warehouse buildings containing computer mining rigs.
These data centers are designed to take advantage of the regular wind on the peninsula. The buildings have partial walls to allow cold air to cool the equipment.

Miner Objects

Helmuth Rauth, who oversees operations for Genesis Mining, said bitcoin mining should not be singled out as environmentally taxing. He said computing always requires energy. He pointed to the energy needed for credit card transactions and Internet research, and said cryptocurrencies have the same global impact.
Rauth compared the mining activity to gold mining. Genesis Mining began in Germany and moved to Iceland in 2014.
Residents of Reykjavik remain skeptical. When the bank crash hit in 2008, the Pirate Party was swept into power and presently holds 105 of the seats in Parliament. McCarthy questions the benefit of bitcoin mining to society, and believes it should be regulated and taxed.
Iceland is spending tens or hundreds of megawatts to produce something with no tangible existence or real use for humans outside of financial speculation, which cannot be good, he said.
Featured image from Shutterstock.

Lester Coleman is a media relations consultant for the payments and automated retailing industries. He is available for writing and media relations assignments.

Capture d'écran et source: https://www.ccn.com
AUTHOR
Lester Coleman