mardi 13 février 2018

Gucci est la marque préférée des millennials mais certains investisseurs craignent qu'ils ne se lassent#gerardpocquet


Gucci est la marque préférée des millennials mais certains investisseurs craignent qu'ils ne se lassent


Capture d'écran et source: www.businessinsider.fr
REUTERS/Charles Platiau
Le groupe de luxe Kering a publié ce mardi 13 février 2018 des résultats annuels historiques, grâce à sa marque Gucci, dont les ventes ont décollé de 42,6% au T4 contre 39% attendus par le consensus.
Kering a ainsi signé des ventes en hausse de 25% à 15,48 milliards d'euros, un chiffre légèrement supérieur aux 15,38 milliards attendus par les analystes, faisant état d'un bond en avant de 27,2% à taux de change constants sur l'année 2017 et de 27,2% au T4.
La maison-mère Kering a signé les meilleures performances du secteur, loin devant ses concurrents LVMH ou encore Hermès.
Malgré "l'année phénoménale" de Kering, comme l'a déclaré son PDG français François-Henri Pinault, le titre chute en bourse de 2,47% à 370,6 euros vers 10h18, affichant la plus forte baisse du CAC40, qui recule au même moment de 0,13%, rapporte l'agence Reuters.
En effet, certains analystes d'Exane BNP Paribas doutent de la capacité du groupe à maintenir la cadence en termes de croissance, en particulier pour Gucci, la marque préférée des millennials.
La griffe italienne, qui pèse pour plus de 70% des profits du groupe, a su convaincre les millennials avec son esthétique foisonnante imaginée par Alessandro Michele.
Mais certains analystes craignent un phénomène de lassitude, car l'esthétique Gucci pourrait perdre, au bout d'un moment, le lustre de la nouveauté. 
Ainsi, l'évolution de sa ligne créatrice devra d'une part être pensée et d'autre part, il faudra trouver un moyen de fidéliser la masse de nouveaux clients.
Par ailleurs, vu les résultats de l'année 2017, les bases de comparaisons s'annoncent très difficiles pour Gucci pour l'année en cours.
Profitant d'un succès fulgurant auprès de la clientèle chinoise et d'une montée en flèche de ses ventes en ligne, Gucci a franchi pour la première fois la barre des 6 milliards d'euros de ventes (6,2 milliards) et son résultat opérationnel courant a grimpé de 69%, pour une marge record de 34,2%.
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CEO de Nvidia : “Les crypto-monnaies commencent à s’imposer”#gerardpocquet

CEO de Nvidia : “Les crypto-monnaies commencent à s’imposer”

La société Nvidia
Capture d'écran et source: https://www.crypto-france.com
Nvidia croule sous les profits, en particulier grâce à l’engouement croissant suscité par le minage de crypto-monnaies. Il n’est donc pas étonnant d’entendre l’enthousiasme de son CEO, Jensen Huang, vis-à-vis de ces actifs.

“Pas prêtes de disparaître”

Minage avec des cartes NvidiaAlors que le Bitcoin et les autres crypto-monnaies poursuivent leur démocratisation, les cartes graphiques (GPUs) – qui peuvent être utilisées pour miner différentes monnaies numériques – s’arrachent à travers le monde.
Jensen Huang, le CEO de la société, a récemment fait part de son opinion vis-à-vis des actifs numériques au cours d’un entretien accordé à l’hebdomadaire financier Barron’s :
"Les crypto-monnaies sont bien là – et elles ne sont pas prêtes de disparaître. Cette année, elles commencent à s’imposer au monde. Basées sur la technologie blockchain, elles sont extrêmement sécurisées, et supposent des investissements très réduits. Je pense qu’elles apportent clairement une véritable utilité. Il s’agit d’un véritable phénomène, et elles sont en train de s’imposer à tout le monde”.

Des actifs virtuels… dotés d’une valeur bien réelle

Rig de minage EthereumPour M. Huang, les crypto-monnaies et les actifs que l’on peut retrouver dans les jeux vidéo ne sont pas aussi éloignés que ce que l’on pourrait penser :
“Je ne suis pas contre le concept d’une monnaie virtuelle – il s’agit d’éléments aussi ‘réels’ que les objets virtuels ou les jeux vidéos.
Et, comme vous le savez, des dizaines de millions d’objets virtuels sont créés, partagés et vendus en réalité virtuelle, et les gens investisseurs des milliers d’heures pour créer des vaisseaux spatiaux qui s’affrontent les uns contre les autres. Par conséquent, le concept des biens virtuels, des mondes virtuels et des monnaies virtuelles semblent être analogues”.
Si les crypto-monnaies sont “virtuelles”, elles ont bien des conséquences sur le monde réel. La flambée de la demande pour les GPUs conçus par la société californienne – notamment pour miner des Ethers – a abouti à des ruptures de stocks. Et celles-ci ont fait grimper le prix de ces cartes graphiques, mais également le cours de l’action Nvidia.

De nombreuses applications

Carte graphique Geforce NvidiaPourtant, M. Huang tient à minimiser le rôle des actifs numériques dans la hausse du titre de son entreprise. Il explique que business model de Nvidia est intimement lié à la demande pour les GPUs – une demande qui existera toujours en dehors de l’univers des crypto-monnaies :
“Au final, tout est lié à la demande pour les GPUs. La raison pour laquelle l’intelligence artificielle et la réalité augmentée, mais aussi toutes les autres applications qui s’appuient sur nos GPUs, c’est qu’ils sont aujourd’hui équipés des processeurs qui sont dotés de la meilleure puissance de calcul, qui sont les plus programmables et qui offrent la meilleure efficacité énergétique. C’est la raison pour laquelle nous attirons toutes ces applications.”
Des applications multiples qui ne devraient pas réjouir le cœur de cible historique de Nvidia, les gamers. Ils sont nombreux à être mécontents de la hausse du prix des cartes graphiques – une hausse qui est liée à des facteurs externes au monde du jeux vidéo.
D’autant plus que l’entreprise est accusée par certains de limiter volontairement sa production, afin de pouvoir maintenir des prix élevés. Pour redorer son blason, et calmer la colère des gamers, Nividia avait demandé le mois dernier aux revendeurs de répondre en priorité à leur demande, aux dépens des mineurs de crypto-monnaies.
Références : Bitcoinist, Barron’s https://www.crypto-france.com

Iceland Lawmaker Proposes Tax on Incoming Cryptocurrency Miners#gerardpocquet

Iceland Lawmaker Proposes Tax on Incoming Cryptocurrency Miners

Capture d'écran et source: https://www.ccn.com
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Lester Coleman
Virtual currency miners are flocking to Iceland due to its abundance of renewable energy, and some lawmakers want to tax them, according to ABC News. Iceland’s renewable energy from hydroelectric and geothermal power plants has delivered competitive electricity rates.
Smari McCarthy, a lawmaker from Iceland’s Pirate Party, wants to tax bitcoin mines. According to ABC News, the lawmaker’s initiative will find support due to Icelanders’ skepticism about financial speculation following the country’s banking crash in 2008.
Companies creating value pay taxes under normal circumstances, McCarthy told The Associated Press.
The town of Keflavik on Iceland’s southern peninsula has attracted virtual currency miners who are building large construction sites on the town’s outskirts.

Mining To Double

Johann Snorri Sigurbergsson, a business development manager at Hitaveita Sudurnesja, a local energy company, expects virtual currency mining to double the country’s energy consumption to around 100 megawatts, which exceeds that used for the country’s 340,000 households, according to the country’s National Energy Authority.
Sigurbergsson said he could not have predicted this development four months ago. The Svartsengi geothermal plant supports the southwestern peninsula, where the mining takes place. He said he recently met with a mining company that wants to purchase 18 megawatts.
At Mjolnir, the largest of three mining farms in Keflavik, tall metal fences surround 50-meter-long warehouse buildings containing computer mining rigs.
These data centers are designed to take advantage of the regular wind on the peninsula. The buildings have partial walls to allow cold air to cool the equipment.

Miner Objects

Helmuth Rauth, who oversees operations for Genesis Mining, said bitcoin mining should not be singled out as environmentally taxing. He said computing always requires energy. He pointed to the energy needed for credit card transactions and Internet research, and said cryptocurrencies have the same global impact.
Rauth compared the mining activity to gold mining. Genesis Mining began in Germany and moved to Iceland in 2014.
Residents of Reykjavik remain skeptical. When the bank crash hit in 2008, the Pirate Party was swept into power and presently holds 105 of the seats in Parliament. McCarthy questions the benefit of bitcoin mining to society, and believes it should be regulated and taxed.
Iceland is spending tens or hundreds of megawatts to produce something with no tangible existence or real use for humans outside of financial speculation, which cannot be good, he said.
Featured image from Shutterstock.

Lester Coleman is a media relations consultant for the payments and automated retailing industries. He is available for writing and media relations assignments.

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Lester Coleman