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Le nouveau site, situé dans le centre de Londres à proximité d’Oxford Street, accueillera des ingénieurs, des développeurs, ainsi que des équipes marketing et commerciales. Conçu par l’architecte Frank Gehry (Guggenheim à Bilbao, Maison dansante à Prague, Fondation Louis-Vuitton à Paris…), le bâtiment est étalé sur sept étages et 23 000 mètres carrés. Il abritera notamment un incubateur interne de start-up, baptisé «LDN_LAB».
2 300 employés au Royaume-Uni d’ici fin 2018
Preuve supplémentaire de sa confiance au Royaume-Uni, Facebook a également annoncé la création de 800 emplois à Londres pour agrandir son siège social sur le territoire britannique. Les nouveaux collateurs seront principalement affectés à des postes d’ingénierie. Prévue pour 2018, cette phase recrutement portera à 2 300 employés les effectifs de Facebook en Grande-Bretagne d’ici la fin de l’année prochaine. «L’écosystème entrepreneurial dynamique du Royaume-Uni et sa réputation internationale d’excellence en ingénierie en font l’un des meilleurs endroits au monde pour bâtir une entreprise de technologie», a expliqué Nicola Mendelsohn, vice-présidente de Facebook pour la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) pour justifier la stratégie du réseau social au Royaume-Uni.Les ambitions de Facebook outre-Manche sont une bouffée d’oxygène pour le gouvernement britannique qui s’est d’ores et déjà mis en ordre de bataille pour éviter la fuite des talents et des géants du numérique présents sur son territoire. En novembre, le Royaume-Uni a ainsi dévoilé un plan de 80 millions de dollars pour retenir les entrepreneurs sur son territoire. De plus, le gouvernement britannique a annoncé le doublement du nombre de visas délivrés aux travailleurs hautement qualifiés. Le plafond de ces visas spéciaux est désormais fixé à 2 000, contre 1 000 auparavant. En parallèle, Facebook, Snap et Google ont prévoient d’augmenter leurs effectifs au Royaume-Uni. L’an passé, la filiale d’Alphabet a même annoncé la constriction de nouveaux bureaux à Londres qui accueilleront plus de 7 000 employés. De quoi permettre au Royaume-Uni d’aborder un peu plus sereinement le Brexit.
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