« Sommes-nous ce que nous lisons » ? de Georges Orwell ( 1903-1950) auteur de 1984.
De ses souvenirs de libraire aux confessions de critique littéraire, Georges Orwell cite G K Chesterton ( 1874-1936) appelé « le prince du paradoxe », journaliste, poète, biographe, apologète du christianisme, qui surnommait un type de littérature « les bons mauvais livres »,
des œuvres dénuées de toute prétention littéraire, mais qui demeurent lisibles
durant les pénuries de production plus sérieuses.
Alice Develey du LeFigaro/culture, considère le livre d’Orwell, comme littérature amère, et, cela suscita qu’un commentaire de son article.
Aujourd’hui, « qu’est-ce qu’un bon mauvais livre », un roman de gare, facile et distrayant
à lire, que sais-je. Est-ce le livre que l’on achète et qui reste sur l’étagère pendant des années ? Ou le livre dont il ne reste rien après l’avoir consommé.
« Vous avez dit consommé, bizarre ».
Mais, un livre se consume en une nuit mystique ou spirituelle à la lueur d’une bougie.
Dans l’analyse « des bons mauvais livres »,
sommes-nous objectif dans notre opinion subjective.
En son temps, il existait une collection Poésie 1 (1967-1968) à 1 franc, le prix de ticket de métro à l’époque éditée par les Éditions Saint-Germain des Près de Jean Orizet, Michel Breton et Jean Breton.
Mes amitiés à Alain Breton (poète) et à Philippe Héraclès du Cherche Midi Éditeur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.